Le premier match des Eléphants hier à Cabinda à été suivi avec beaucoup d’intérêt dans les espaces et clubs abidjanais.
Dans la commune de Cocody au Café Théâtre, l’ambiance est bien différente de celle de la veille. Ceux qui ne tiennent pas dans leurs sièges ne cachent pas leur émotion tandis que certains sont plutôt observateurs dans leur coin sur le déroulement du jeu. La seconde période abordée, il y a de l’espoir sur les visages.
Au Vallon, l’espace Acoustic de Christophe Bilé reste un lieu qui fait le plein de son public. Ils étaient nombreux les spectateurs supporters qui ont investit l’espace qu’a choisit Orange pour le suivi de la CAN. Boissons, cigarettes, commentaires sur la rencontre ont constitué l’ambiance. Assis ou débout, pour ceux qui n’ont pu avoir de places assises, chacun donne son appréciation sur le comportement soit d’un joueur, soit sur la décision de l’arbitre, depuis sa place. Si pour beaucoup, l’arbitre a fermé les yeux sur de nombreuses fautes commises par les défenseurs burkinabés sur les attaquants ivoiriens, certains en veulent à la nonchalance dans les remplacements du coach Vahid. Pendant que le match court à son terme, certains ne supportent plus de suivre la rencontre qui leur semble perdue et abandonnent les lieux.
A Hollywood Boulevard, aux II Plateaux les Vallons, la grande salle à moitié pleine, les clients ont suivi la rencontre depuis l’écran géant qui couvre le mur quand quelques uns ont préféré la terrasse. Avec moins d’enthousiasme, chacun suit la rencontre où les Eléphants se montrent moins percutants face à l’adversaire. Au coup de sifflet final, certains regards sont graves quand d’autres décochent des flèchent soit contre Vahid soit contre la performance au rabais d’un tel joueur ivoirien. D’autres s’étaient même permit le jeu de pari : 6 à 0 ; 2 buts à 1 (etc) pour la Côte d’Ivoire. Pour Célestin Yapi, chef d’entreprise, les Ivoiriens ne doivent pas se conforter en attribuant ce match à l’arbitre qui n’aurait pas sifflé un où deux penalty net pour la Côte d’Ivoire. « Les jeunes burkinabè ont atteint leur objectif en tenant en échec Drogba et les autres », commentent-il. Georges Abié, technicien, s’explique difficilement le comportement, la performance de Drogba et ses camarades « méconnaissables ». Pour lui, « il faut espérer qu’on (Ndlr, la Côte d’Ivoire) relève la tête face au Ghana ».
Koné Saydoo
Dans la commune de Cocody au Café Théâtre, l’ambiance est bien différente de celle de la veille. Ceux qui ne tiennent pas dans leurs sièges ne cachent pas leur émotion tandis que certains sont plutôt observateurs dans leur coin sur le déroulement du jeu. La seconde période abordée, il y a de l’espoir sur les visages.
Au Vallon, l’espace Acoustic de Christophe Bilé reste un lieu qui fait le plein de son public. Ils étaient nombreux les spectateurs supporters qui ont investit l’espace qu’a choisit Orange pour le suivi de la CAN. Boissons, cigarettes, commentaires sur la rencontre ont constitué l’ambiance. Assis ou débout, pour ceux qui n’ont pu avoir de places assises, chacun donne son appréciation sur le comportement soit d’un joueur, soit sur la décision de l’arbitre, depuis sa place. Si pour beaucoup, l’arbitre a fermé les yeux sur de nombreuses fautes commises par les défenseurs burkinabés sur les attaquants ivoiriens, certains en veulent à la nonchalance dans les remplacements du coach Vahid. Pendant que le match court à son terme, certains ne supportent plus de suivre la rencontre qui leur semble perdue et abandonnent les lieux.
A Hollywood Boulevard, aux II Plateaux les Vallons, la grande salle à moitié pleine, les clients ont suivi la rencontre depuis l’écran géant qui couvre le mur quand quelques uns ont préféré la terrasse. Avec moins d’enthousiasme, chacun suit la rencontre où les Eléphants se montrent moins percutants face à l’adversaire. Au coup de sifflet final, certains regards sont graves quand d’autres décochent des flèchent soit contre Vahid soit contre la performance au rabais d’un tel joueur ivoirien. D’autres s’étaient même permit le jeu de pari : 6 à 0 ; 2 buts à 1 (etc) pour la Côte d’Ivoire. Pour Célestin Yapi, chef d’entreprise, les Ivoiriens ne doivent pas se conforter en attribuant ce match à l’arbitre qui n’aurait pas sifflé un où deux penalty net pour la Côte d’Ivoire. « Les jeunes burkinabè ont atteint leur objectif en tenant en échec Drogba et les autres », commentent-il. Georges Abié, technicien, s’explique difficilement le comportement, la performance de Drogba et ses camarades « méconnaissables ». Pour lui, « il faut espérer qu’on (Ndlr, la Côte d’Ivoire) relève la tête face au Ghana ».
Koné Saydoo