Le sélectionneur du Cameroun assure que son équipe restera dans la "continuité avec les qualifications" pour affronter le Gabon mercredi et que rester à 22, après le forfait pour raisons administratives du milieu Matip, n`était "pas un drame".
Q: Dans quel état d`esprit est votre groupe?
R: "Depuis le rassemblement le 4 janvier à Paris, nous avons fait ce que nous souhaitions. Nous avons fait un bon stage d`entraînement, on a souvent doublé les séances, et on a fait un bon match amical contre le Kenya au Kenya (victoire camerounais 3-1, ndlr). Le stage a été plutôt court mais intense, et il a été bien préparé avec la plupart des joueurs".
Q: Justement, pourquoi avoir récupéré les joueurs aussi tard?
R: "J`ai fait ce choix parce que je comprends les impératifs des clubs européens, ils ont des besoins et des exigences. Je n`étais pas opposé à une préparation courte parce que les joueurs sont en activité et jouent des matches. C`est même mieux: on les récupère en forme, et les stages courts sont souvent de meilleure qualité que les longs. Mais notre stage ne fut pas beaucoup plus court que celui des autres puisqu`on entre en lice en dernier. Les joueurs sont venus avec beaucoup de fraîcheur. On avait des intérêts communs avec les clubs, mais l`essentiel reste de préserver l`intérêt des Lions".
Q: Qu`en est-il de Joël Matip, convoqué mais absent, et sera-t-il remplacé?
R: "J`ai souhaité sélectionné Joël Matip et je ne le regrette pas. J`ai souhaité le faire de bonne heure, pour qu`on soit les premiers à le faire. J`ai appelé son papa (de nationalité camerounaise, ndlr) pour le prévenir. Des problèmes administratifs se sont posés, mais c`est un choix d`avenir qui va au-delà de la compétition. On est là pour faire une bonne CAN et préparer la suite, c`est dans cet esprit que je l`avais convoqué. Si on doit rester à 22 ce n`est pas un drame. Il y aura de toute façon une continuité avec les qualifications, même s`il y a une concurrence logique entre les joueurs: il y a les anciens, les cadres, et les jeunes qui viennent les titiller. Je suis l`arbitre de tout ça".
Q: Dans quel état d`esprit est votre groupe?
R: "Depuis le rassemblement le 4 janvier à Paris, nous avons fait ce que nous souhaitions. Nous avons fait un bon stage d`entraînement, on a souvent doublé les séances, et on a fait un bon match amical contre le Kenya au Kenya (victoire camerounais 3-1, ndlr). Le stage a été plutôt court mais intense, et il a été bien préparé avec la plupart des joueurs".
Q: Justement, pourquoi avoir récupéré les joueurs aussi tard?
R: "J`ai fait ce choix parce que je comprends les impératifs des clubs européens, ils ont des besoins et des exigences. Je n`étais pas opposé à une préparation courte parce que les joueurs sont en activité et jouent des matches. C`est même mieux: on les récupère en forme, et les stages courts sont souvent de meilleure qualité que les longs. Mais notre stage ne fut pas beaucoup plus court que celui des autres puisqu`on entre en lice en dernier. Les joueurs sont venus avec beaucoup de fraîcheur. On avait des intérêts communs avec les clubs, mais l`essentiel reste de préserver l`intérêt des Lions".
Q: Qu`en est-il de Joël Matip, convoqué mais absent, et sera-t-il remplacé?
R: "J`ai souhaité sélectionné Joël Matip et je ne le regrette pas. J`ai souhaité le faire de bonne heure, pour qu`on soit les premiers à le faire. J`ai appelé son papa (de nationalité camerounaise, ndlr) pour le prévenir. Des problèmes administratifs se sont posés, mais c`est un choix d`avenir qui va au-delà de la compétition. On est là pour faire une bonne CAN et préparer la suite, c`est dans cet esprit que je l`avais convoqué. Si on doit rester à 22 ce n`est pas un drame. Il y aura de toute façon une continuité avec les qualifications, même s`il y a une concurrence logique entre les joueurs: il y a les anciens, les cadres, et les jeunes qui viennent les titiller. Je suis l`arbitre de tout ça".