A quelques heures de cette rencontre capitale pour la suite de la compétition, les Ivoiriens dans leur ensemble sont optimistes. Mais, ils exigent des Eléphants beaucoup plus d’engagement.Hier, lors de la cérémonie de lancement de la Ligue 1, dirigeants, anciens joueurs, journalistes et observateurs du football ont été unanimes sur la question. Pas question de décevoir le peuple en sortant dès le premier tour.
Il faudrait aller au-delà de ces aptitudes habituelles. Ainsi, pour Aby Richmond, président du Stade, rien n’est perdu. Il suffit d’un peu plus de volonté pour s’ouvrir les portes du second tour.
Même son de cloche pour Didier Otokoré, vainqueur de la compétition en 1992. Selon lui, ce sera très difficile pour les Eléphants, mais l’espoir demeure. Il pense que cette formation a la capacité d’aller le plus loin possible. Mais, il leur faudra être très déterminés comme ce fut le cas pour sa génération en 1992. Quant à Axel Yéo, président du Capfoot (cadre de promotion du football ivoirien), la solution du problème est simple. Il souhaite simplement que les joueurs aient la rage de vaincre. Selon lui, ce sera un gâchis pour cette génération, si la Côte d’Ivoire sort au 1er tour. Et pour éviter ce scénario catastrophe, les Eléphants doivent mouiller le maillot, se défoncer comme ils le font régulièrement dans leurs clubs respectifs. Pour lui, la victoire sera au bout, si chacun d’entre eux pense à son pays et se bat honnêtement et concrètement.
Edgar Yéboué
Il faudrait aller au-delà de ces aptitudes habituelles. Ainsi, pour Aby Richmond, président du Stade, rien n’est perdu. Il suffit d’un peu plus de volonté pour s’ouvrir les portes du second tour.
Même son de cloche pour Didier Otokoré, vainqueur de la compétition en 1992. Selon lui, ce sera très difficile pour les Eléphants, mais l’espoir demeure. Il pense que cette formation a la capacité d’aller le plus loin possible. Mais, il leur faudra être très déterminés comme ce fut le cas pour sa génération en 1992. Quant à Axel Yéo, président du Capfoot (cadre de promotion du football ivoirien), la solution du problème est simple. Il souhaite simplement que les joueurs aient la rage de vaincre. Selon lui, ce sera un gâchis pour cette génération, si la Côte d’Ivoire sort au 1er tour. Et pour éviter ce scénario catastrophe, les Eléphants doivent mouiller le maillot, se défoncer comme ils le font régulièrement dans leurs clubs respectifs. Pour lui, la victoire sera au bout, si chacun d’entre eux pense à son pays et se bat honnêtement et concrètement.
Edgar Yéboué
