La deuxième journée de la phase de poule de la Coupe d'Afrique des Nations (groupe A) opposant le Mali à l'Algérie a quelque peu déçu. Les Aigles n’ont pu réaliser le même exploit de la première rencontre. Humiliée par le Malawi, l’Algérie a su profiter de la défense fébrile du Mali pour garder l'espoir d'une qualification en quart de finale en battant leur adversaire par un but à zéro.
Lors de la première mi-temps, la rencontre était fort bien équilibrée, même si la qualité technique laissait à désirer. Le départ imprévu de Khaled Lemmouchia n’a pas pesé sur la sélection algérienne qui a pu obtenir la victoire. Le but de Rafik Halliche à la 43è, a été l'un des très rares éclairs d'une première période particulièrement pauvre sur le plan technique. La réalisation algérienne, on l’a cru, allait forcer le Mali à revoir complètement ses plans pour le second acte. Malheureusement, les Aigles semblaient chercher leurs marques. On notera toutefois, l'importance prépondérante de Karim Ziani dans le jeu algérien grâce à sa capacité à surprendre l'adversaire. Les Algériens ont beaucoup fait tourner le ballon et sont restés trop timides voire apathiques dans la construction du jeu. Malgré le pressing des Maliens, matérialisé par Mamadou Diallo, à amener les Algériens à libérer le jeu, Bougherra et les siens resteront quasiment indifférents. A la 62e, les Maliens semblaient être motivés par l'entrée de Kanouté mais cela n’a pu profiter aux Aigles. La tactique adoptée par Rabah Saâdane lui a donné raison. La défense passée à quatre, il n'y a désormais plus eu qu'une seule pointe sur le front de l'attaque. Les forces et les faiblesses des coéquipiers de Frédéric Kanouté misent en exergue par les Angolais, le Mali, n’a pu corriger ses lacunes. Conséquence, l’encaissement du but qui signe leur défaite face à une équipe Algérienne, un peu taciturne dans les relances. La débauche d’énergie des Maliens ne les a pas permis de revenir au score. Le coup de sifflet final retentit, les deux équipes se sont séparées sur le score de 1 but à zéro en faveur de l’Algérie.
Thérèse Nabil
Lors de la première mi-temps, la rencontre était fort bien équilibrée, même si la qualité technique laissait à désirer. Le départ imprévu de Khaled Lemmouchia n’a pas pesé sur la sélection algérienne qui a pu obtenir la victoire. Le but de Rafik Halliche à la 43è, a été l'un des très rares éclairs d'une première période particulièrement pauvre sur le plan technique. La réalisation algérienne, on l’a cru, allait forcer le Mali à revoir complètement ses plans pour le second acte. Malheureusement, les Aigles semblaient chercher leurs marques. On notera toutefois, l'importance prépondérante de Karim Ziani dans le jeu algérien grâce à sa capacité à surprendre l'adversaire. Les Algériens ont beaucoup fait tourner le ballon et sont restés trop timides voire apathiques dans la construction du jeu. Malgré le pressing des Maliens, matérialisé par Mamadou Diallo, à amener les Algériens à libérer le jeu, Bougherra et les siens resteront quasiment indifférents. A la 62e, les Maliens semblaient être motivés par l'entrée de Kanouté mais cela n’a pu profiter aux Aigles. La tactique adoptée par Rabah Saâdane lui a donné raison. La défense passée à quatre, il n'y a désormais plus eu qu'une seule pointe sur le front de l'attaque. Les forces et les faiblesses des coéquipiers de Frédéric Kanouté misent en exergue par les Angolais, le Mali, n’a pu corriger ses lacunes. Conséquence, l’encaissement du but qui signe leur défaite face à une équipe Algérienne, un peu taciturne dans les relances. La débauche d’énergie des Maliens ne les a pas permis de revenir au score. Le coup de sifflet final retentit, les deux équipes se sont séparées sur le score de 1 but à zéro en faveur de l’Algérie.
Thérèse Nabil
