Mme Kandia Camara a profité du meeting de Mme Dominique Ouattara, pour appeler la communauté internationale a renouveler les sanctions contre les personnes qui font obstacle à tenue des élections.
(…) Nous femmes de Côte d’Ivoire, demandons aux autorités des Nations Unies en Côte d’Ivoire, de faire pression sur les leaders politiques pour que l’accord de Ouagadougou soit appliqué en ce qui concerne le chronogramme qui a été arrêté lors du dernier CPC. Nous savons qu’il y a des gens qui ne veulent pas aller aux élections, parce qu’ils savent qu’ils seront proprement battus. Nous sommes fatigués de souffrir. Nous sommes fatigués de voir nos enfants au chômage. Nous sommes fatigués de voir nos parents mourir comme des mouches, c’est pour cela que nous appelons le plus rapidement possible la tenue de l’élection présidentielle au plus tard au mois de mars. Et c’est pour cette raison, que nous allons, ici, apporter tout notre soutien au président de la CEI, Robert Beugré Mambé. Qu’il sache que les femmes le soutiennent. Nous lui demandons de ne pas écouter les uns et les autres et de faire en toute honnêteté intellectuelle son travail, dans l’intérêt de tous les Ivoiriens et pour l’organisation très rapide des élections justes et transparentes pour que la paix revienne de façon définitive en Côte d’Ivoire.
Et je m’en vais du haut de cette tribune, protester contre tous les responsables de la RTI, la Radio télévision ivoirienne qui est devenue la télévision mille collines. La RTI est devenue, la Radio télévision du FPI. Nous disons non à cela. Cette télévision est financée par tous les Ivoiriens et donc, nous demandons que cette télévision soit un outil à la disposition de tous les Ivoiriens, et à la disposition de tous les partis politiques de façon équitable.
C’est pour cette raison que nous dénonçons à partir de ce qui s’est passé hier devant la RTI, la barbarie dont a été victime nos enfants, parce que tous les enfants de Côte d’Ivoire sont nos enfants, parce qu’ils ont été mis au monde par une femme. Et, nous femmes, condamnons avec la dernière énergie, ce qui est arrivé à nos enfants KKB et à tous ses camarades. Nous demandons que des sanctions soient prises par l’Onu, à l’encontre du directeur général de la RTI, Brou Amessan Pierre, qui veut encore créer des problèmes à la Côte d’Ivoire. Nous disons non, ça suffit, nous demandons qu’on prenne des sanctions à l’encontre des responsables de la RTI. Nous apportons tout notre soutien et notre compassion à nos jeunes qui ont été brutalisés. Nous demandons à tous ceux qui sont chargés du processus de tout mettre en œuvre pour que, non seulement cette élection ait lieu, selon le chronogramme arrêté, mais surtout que cela se passe dans la paix et la sécurité pour tous les Ivoiriens (...)
Le meeting de l’unité retrouvée
La fin de la guerre des clans? C’est en tout cas l’impression qui a été donnée à tous ceux qui ont fait le déplacement d’hier dans la cité de la Cola. L’investiture de l’Association Dominique Ouattara (AD) aura été un prétexte pour afficher l’unité retrouvée au sein de la grande famille des Républicains. Une fois n’est pas coutume. Anyama a mis les petits dans les grands. Les cadres, jeunes et vieux, assis côte à côte, de même que les femmes.Tout ce beau monde entonne ensemble l’hymne nationale puis chante en cœur la victoire très prochaine du Président du RDR à la présidentielle. Tous les intervenants qui se sont succédé au pupitre ont appelé à une union sacrée pour la victoire d’ADO. «Avant de clore mon propos, je voudrais tout simplement vous dire combien j’ai été touchée par votre initiative et vous dire aussi combien je compte sur vous pour que dans la cohésion, dans l’esprit de franche, de camaraderie, vous travailliez en synergie, avec toutes les autres structures, toutes les personnes qui se réclameront d’ADO et du RDR pour que la victoire soit TOTALE », a fait remarquer Mme Dominique Ouattara. Pour Mme Soumahoro Fatou, présidente de l’ADO, son organisation «est composée de 1574 femmes issues de toutes les couches ethniques, socioprofessionnelles, provenant d’Anyama commune, des villages et des campements. Nous avons réussi ce qui n’avait jamais existé avant : mettre dans le même creuset les femmes Malinké et les femmes Attié». Une bonne opération que la direction départementale de campagne devra capitaliser.
Même refrain chez la secrétaire nationale chargée des Ong et du monde associatif, Mme Madiara Yao Coulibaly. Elle a également appelé à l’union. «La pré-campagne pour l’élection présidentielle bat son plein dans notre pays; le défi est grand, l’enjeu est d’importance , il ne doit plus avoir du repos; il n’y a plus de temps pour la diversion, les petits problèmes de personnes, tel le positionnement personnel , il faut dès maintenant que la lutte soit menée sans faiblir, sans relâche pour atteindre notre but et commun : Alassane Dramane Ouattara au Palais du Plateau à l’issue d’élections libres, transparentes et ouvertes entre 14 candidats retenus». Un bon signe qui fait espérer des lendemains meilleurs.
Coulibaly Brahima
(…) Nous femmes de Côte d’Ivoire, demandons aux autorités des Nations Unies en Côte d’Ivoire, de faire pression sur les leaders politiques pour que l’accord de Ouagadougou soit appliqué en ce qui concerne le chronogramme qui a été arrêté lors du dernier CPC. Nous savons qu’il y a des gens qui ne veulent pas aller aux élections, parce qu’ils savent qu’ils seront proprement battus. Nous sommes fatigués de souffrir. Nous sommes fatigués de voir nos enfants au chômage. Nous sommes fatigués de voir nos parents mourir comme des mouches, c’est pour cela que nous appelons le plus rapidement possible la tenue de l’élection présidentielle au plus tard au mois de mars. Et c’est pour cette raison, que nous allons, ici, apporter tout notre soutien au président de la CEI, Robert Beugré Mambé. Qu’il sache que les femmes le soutiennent. Nous lui demandons de ne pas écouter les uns et les autres et de faire en toute honnêteté intellectuelle son travail, dans l’intérêt de tous les Ivoiriens et pour l’organisation très rapide des élections justes et transparentes pour que la paix revienne de façon définitive en Côte d’Ivoire.
Et je m’en vais du haut de cette tribune, protester contre tous les responsables de la RTI, la Radio télévision ivoirienne qui est devenue la télévision mille collines. La RTI est devenue, la Radio télévision du FPI. Nous disons non à cela. Cette télévision est financée par tous les Ivoiriens et donc, nous demandons que cette télévision soit un outil à la disposition de tous les Ivoiriens, et à la disposition de tous les partis politiques de façon équitable.
C’est pour cette raison que nous dénonçons à partir de ce qui s’est passé hier devant la RTI, la barbarie dont a été victime nos enfants, parce que tous les enfants de Côte d’Ivoire sont nos enfants, parce qu’ils ont été mis au monde par une femme. Et, nous femmes, condamnons avec la dernière énergie, ce qui est arrivé à nos enfants KKB et à tous ses camarades. Nous demandons que des sanctions soient prises par l’Onu, à l’encontre du directeur général de la RTI, Brou Amessan Pierre, qui veut encore créer des problèmes à la Côte d’Ivoire. Nous disons non, ça suffit, nous demandons qu’on prenne des sanctions à l’encontre des responsables de la RTI. Nous apportons tout notre soutien et notre compassion à nos jeunes qui ont été brutalisés. Nous demandons à tous ceux qui sont chargés du processus de tout mettre en œuvre pour que, non seulement cette élection ait lieu, selon le chronogramme arrêté, mais surtout que cela se passe dans la paix et la sécurité pour tous les Ivoiriens (...)
Le meeting de l’unité retrouvée
La fin de la guerre des clans? C’est en tout cas l’impression qui a été donnée à tous ceux qui ont fait le déplacement d’hier dans la cité de la Cola. L’investiture de l’Association Dominique Ouattara (AD) aura été un prétexte pour afficher l’unité retrouvée au sein de la grande famille des Républicains. Une fois n’est pas coutume. Anyama a mis les petits dans les grands. Les cadres, jeunes et vieux, assis côte à côte, de même que les femmes.Tout ce beau monde entonne ensemble l’hymne nationale puis chante en cœur la victoire très prochaine du Président du RDR à la présidentielle. Tous les intervenants qui se sont succédé au pupitre ont appelé à une union sacrée pour la victoire d’ADO. «Avant de clore mon propos, je voudrais tout simplement vous dire combien j’ai été touchée par votre initiative et vous dire aussi combien je compte sur vous pour que dans la cohésion, dans l’esprit de franche, de camaraderie, vous travailliez en synergie, avec toutes les autres structures, toutes les personnes qui se réclameront d’ADO et du RDR pour que la victoire soit TOTALE », a fait remarquer Mme Dominique Ouattara. Pour Mme Soumahoro Fatou, présidente de l’ADO, son organisation «est composée de 1574 femmes issues de toutes les couches ethniques, socioprofessionnelles, provenant d’Anyama commune, des villages et des campements. Nous avons réussi ce qui n’avait jamais existé avant : mettre dans le même creuset les femmes Malinké et les femmes Attié». Une bonne opération que la direction départementale de campagne devra capitaliser.
Même refrain chez la secrétaire nationale chargée des Ong et du monde associatif, Mme Madiara Yao Coulibaly. Elle a également appelé à l’union. «La pré-campagne pour l’élection présidentielle bat son plein dans notre pays; le défi est grand, l’enjeu est d’importance , il ne doit plus avoir du repos; il n’y a plus de temps pour la diversion, les petits problèmes de personnes, tel le positionnement personnel , il faut dès maintenant que la lutte soit menée sans faiblir, sans relâche pour atteindre notre but et commun : Alassane Dramane Ouattara au Palais du Plateau à l’issue d’élections libres, transparentes et ouvertes entre 14 candidats retenus». Un bon signe qui fait espérer des lendemains meilleurs.
Coulibaly Brahima