Le feu follet des Eléphants garde la tête froide avant d’affronter le Ghana ce soir à l’Estadio nacional Chiazi de Cabinda pour le second match de poule des Eléphants. Pour Kader Kéita, plus que jamais, les Eléphants doivent se battre.
Avez-vous digéré le nul enregistré lundi devant les Etalons du Burkina Faso ?
Pour moi, tout a déjà été dit sur ce match. Les Etalons étaient venus pour défendre. Ils ont réussi leur coup. Nous avons tout tenté. En vain.
Avec du recul, qu’est-ce qui n’a pas marché contre le Burkina Faso ?
Je pense que nous n’avons pas eu la chance de marquer sinon nous nous sommes bien comportés. Après le nul, nous nous disons que ce n’est finalement pas mauvais, surtout quand on voit les défaites surprises de l’Algérie et du Cameroun devant le Malawi et le Gabon.
Comment appréhendez-vous le match de ce soir contre le Ghana ?
Il n’y a pas de calcul à faire. Nous devons tout faire pour arracher la victoire et la qualification. Nous ne voulons pas faire de calculs.
Espérez-vous débuter ce match contre le Ghana ?
C’est au coach de décider. Ce n’est pas moi qui décide. S’il me fait confiance, je donnerai le meilleur de moi-même. Titulaire ou remplaçant, nous devons rester soudés pour obtenir le résultat que nous recherchons.
Qu’est-ce qui fera la différence selon vous ce soir ?
La solidarité. Il y aura certes le plan de jeu défini par Coach Vahid mais les joueurs doivent se battre et mettre en avant leurs qualités propres.
Le président de la Fif, Jacques Anouma, n’est pas très content de votre petite prestation devant le Burkina…
Nous en sommes conscients. Jacques Anouma a raison de se fâcher. Nous acceptons. C’est à nous de nous battre ce soir contre les Black stars du Ghana.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo, Envoyé spécial à Cabinda
Avez-vous digéré le nul enregistré lundi devant les Etalons du Burkina Faso ?
Pour moi, tout a déjà été dit sur ce match. Les Etalons étaient venus pour défendre. Ils ont réussi leur coup. Nous avons tout tenté. En vain.
Avec du recul, qu’est-ce qui n’a pas marché contre le Burkina Faso ?
Je pense que nous n’avons pas eu la chance de marquer sinon nous nous sommes bien comportés. Après le nul, nous nous disons que ce n’est finalement pas mauvais, surtout quand on voit les défaites surprises de l’Algérie et du Cameroun devant le Malawi et le Gabon.
Comment appréhendez-vous le match de ce soir contre le Ghana ?
Il n’y a pas de calcul à faire. Nous devons tout faire pour arracher la victoire et la qualification. Nous ne voulons pas faire de calculs.
Espérez-vous débuter ce match contre le Ghana ?
C’est au coach de décider. Ce n’est pas moi qui décide. S’il me fait confiance, je donnerai le meilleur de moi-même. Titulaire ou remplaçant, nous devons rester soudés pour obtenir le résultat que nous recherchons.
Qu’est-ce qui fera la différence selon vous ce soir ?
La solidarité. Il y aura certes le plan de jeu défini par Coach Vahid mais les joueurs doivent se battre et mettre en avant leurs qualités propres.
Le président de la Fif, Jacques Anouma, n’est pas très content de votre petite prestation devant le Burkina…
Nous en sommes conscients. Jacques Anouma a raison de se fâcher. Nous acceptons. C’est à nous de nous battre ce soir contre les Black stars du Ghana.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo, Envoyé spécial à Cabinda