A Cabinda, les femmes seraient plus nombreuses que les hommes. «Ici, nous avons tous 5, 6 ou 7 femmes car beaucoup d’hommes sont morts durant la guerre. C’est une situation qui est tolérée et qui convient aux femmes… », nous a expliqué un chauffeur de taxi de la ville qui n’a pas sa langue dans la poche.
Coulisses Publié le vendredi 15 janvier 2010 | Nord-Sud