- Monsieur le Président du Parti,
Monsieur le Secrétaire Général Délégué,
Monsieur le Grand Chancelier de l’Ordre Républicain
Monsieur le Président du Conseil Politique,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Elus,
Chères sœurs militantes, chers frères militants,
Mesdames, Messieurs, chers amis,
Monsieur le Président,
16 janvier 2009 – 16 janvier 2010, après une année jour pour jour, nous voici à nouveau réunis.
Je viens vous dire, Monsieur le Président, avec les mêmes mots – parce qu’il n’en existe pas de plus forts – avec la même ferveur, notre joie renouvelée de vous retrouver.
Au nom de la Direction du RDR, des responsables, des cadres, des militants et des sympathisants, je vous adresse nos vœux les meilleurs de santé, de courage et de paix.
Que 2010 voie, enfin, le couronnement de vos efforts et l’accomplissement de toutes vos entreprises.
Nos vœux vont aussi à l’endroit de votre famille, de votre épouse Dominique, à qui nous exprimons notre affection respectueuse et notre reconnaissance pour son soutien et pour son grand cœur.
Monsieur le Président,
Cette année encore, le sort a frappé le RDR. Des frères et des soeurs ne verront pas l’aboutissement de notre lutte commune.
Parmi eux, il faut mentionner deux responsables de premier ordre, dont la disparition est une grande perte pour le Parti qu’ils ont servi de toutes leurs forces, jusqu’au bout. Que la sagesse des vivants permette à Guédé Guina de trouver bientôt une sépulture et un repos mérité. Que le souvenir de Gouet François nous inspire et guide les pas de ceux qui ont pris sa relève.
Pour tous nos disparus, je voudrais que nous observions une minute de silence.
Monsieur le Président,
Je voudrais profiter de l’opportunité de cette cérémonie pour vous féliciter et vous dire merci.
En effet, dans votre message, en janvier dernier, vous promettiez d’aller partout voir les Ivoiriens pour leur expliquer « qu’une Côte d’Ivoire nouvelle est possible », celle de la paix, du rassemblement et de la prospérité.
Vous avez tenu parole et c’est à juste titre que « Le Patriote » vous a déclaré « Homme politique de l’année ».
En effet, vous avez, au cours d’une campagne de proximité bien organisée, parcouru plus de 20.000 kms de routes et de pistes poussiéreuses, à peine praticables.
Vous avez visité 16 régions sur les 19 que compte notre pays et 136 sous-préfectures.
Vous avez rencontré plus de 2.000.000 d’Ivoiriens et salué vos compatriotes en baoulé, en agni, en abbey en attié, en néyo, en bété, en guéré, en gouro, en dida, en abron, en malinké … bref ! Vous avez communiqué avec tous les Ivoiriens.
Vous avez prêché partout la paix, le dialogue, le rassemblement, le pardon.
Vous avez présenté un programme de gouvernement chiffré, précis, réalisable, qui a convaincu les Ivoiriens.
Monsieur le Président,
Vous avez séduit et vous avez été adopté partout. Vous avez transformé vos compatriotes, trompés et intoxiqués par vos détracteurs, en admirateurs médusés et en frères.
Que ce soit à Zoukougbeu, à Guitry, à Ando-Kekrenou, des chefs ont déclaré haut et fort, devant toute la population, qu’ils « pousseront Alassane Ouattara jusqu’à la victoire finale ».
Nous avons entendu des chefs de terre appeler sur vous, au cours de leurs libations, la bénédiction de leurs ancêtres.
Nous avons vu des villages et des campements vous barrer la route ou attendre avec patience, de longues heures, pour vous serrer la main ou pour entendre votre message.
A Abidjan, que ce soit avec les femmes, ou les jeunes, les décideurs, les leaders d’opinion, le patronat, la rédaction de Frat-Mat, tous ceux qui vous ont vu, approché ou entendu ont été convaincus par vos idées.
Monsieur le Président,
Les Ivoiriens savent désormais qui vous êtes, quelles sont vos qualités, vos compétences et ce que vous comptez faire pour la Côte d’Ivoire.
Ils veulent le changement, avec vous, le plus tôt possible. Parce que vous avez les solutions à leurs problèmes. Ils sont prêts à se déterminer courageusement et objectivement pour vous.
Malheureusement, Monsieur le Président, ceux qui craignent ce changement veulent user de tous les moyens pour retarder ces échéances électorales.
Monsieur le Président,
Au nom de tous les militants, je peux vous rassurer : Nous restons vigilants ; car nous sommes persuadés que les élections aurons bel et bien lieu très bientôt. Et grâce à l’excellent travail de terrain effectué par le DNC et son équipe, grâce à la mobilisation exemplaire des militants et sympathisants du RDR, nous serons nombreux, très nombreux à opter pour la solution ADO le jour des élections.
N’en déplaise à certains, Monsieur le Président, tous les indicateurs sérieux vous donnent bel et bien gagnant.
C’est pourquoi, ni les provocations ni la violence exercées contre nous ne viendront ébranler notre détermination.
Croyez-moi, Monsieur le Président, nous ne nous laisserons pas voler notre victoire.
Vous l’avez dit vous-même, nous avons un devoir de victoire.
Bonne et Heureuse année.
Monsieur le Secrétaire Général Délégué,
Monsieur le Grand Chancelier de l’Ordre Républicain
Monsieur le Président du Conseil Politique,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Elus,
Chères sœurs militantes, chers frères militants,
Mesdames, Messieurs, chers amis,
Monsieur le Président,
16 janvier 2009 – 16 janvier 2010, après une année jour pour jour, nous voici à nouveau réunis.
Je viens vous dire, Monsieur le Président, avec les mêmes mots – parce qu’il n’en existe pas de plus forts – avec la même ferveur, notre joie renouvelée de vous retrouver.
Au nom de la Direction du RDR, des responsables, des cadres, des militants et des sympathisants, je vous adresse nos vœux les meilleurs de santé, de courage et de paix.
Que 2010 voie, enfin, le couronnement de vos efforts et l’accomplissement de toutes vos entreprises.
Nos vœux vont aussi à l’endroit de votre famille, de votre épouse Dominique, à qui nous exprimons notre affection respectueuse et notre reconnaissance pour son soutien et pour son grand cœur.
Monsieur le Président,
Cette année encore, le sort a frappé le RDR. Des frères et des soeurs ne verront pas l’aboutissement de notre lutte commune.
Parmi eux, il faut mentionner deux responsables de premier ordre, dont la disparition est une grande perte pour le Parti qu’ils ont servi de toutes leurs forces, jusqu’au bout. Que la sagesse des vivants permette à Guédé Guina de trouver bientôt une sépulture et un repos mérité. Que le souvenir de Gouet François nous inspire et guide les pas de ceux qui ont pris sa relève.
Pour tous nos disparus, je voudrais que nous observions une minute de silence.
Monsieur le Président,
Je voudrais profiter de l’opportunité de cette cérémonie pour vous féliciter et vous dire merci.
En effet, dans votre message, en janvier dernier, vous promettiez d’aller partout voir les Ivoiriens pour leur expliquer « qu’une Côte d’Ivoire nouvelle est possible », celle de la paix, du rassemblement et de la prospérité.
Vous avez tenu parole et c’est à juste titre que « Le Patriote » vous a déclaré « Homme politique de l’année ».
En effet, vous avez, au cours d’une campagne de proximité bien organisée, parcouru plus de 20.000 kms de routes et de pistes poussiéreuses, à peine praticables.
Vous avez visité 16 régions sur les 19 que compte notre pays et 136 sous-préfectures.
Vous avez rencontré plus de 2.000.000 d’Ivoiriens et salué vos compatriotes en baoulé, en agni, en abbey en attié, en néyo, en bété, en guéré, en gouro, en dida, en abron, en malinké … bref ! Vous avez communiqué avec tous les Ivoiriens.
Vous avez prêché partout la paix, le dialogue, le rassemblement, le pardon.
Vous avez présenté un programme de gouvernement chiffré, précis, réalisable, qui a convaincu les Ivoiriens.
Monsieur le Président,
Vous avez séduit et vous avez été adopté partout. Vous avez transformé vos compatriotes, trompés et intoxiqués par vos détracteurs, en admirateurs médusés et en frères.
Que ce soit à Zoukougbeu, à Guitry, à Ando-Kekrenou, des chefs ont déclaré haut et fort, devant toute la population, qu’ils « pousseront Alassane Ouattara jusqu’à la victoire finale ».
Nous avons entendu des chefs de terre appeler sur vous, au cours de leurs libations, la bénédiction de leurs ancêtres.
Nous avons vu des villages et des campements vous barrer la route ou attendre avec patience, de longues heures, pour vous serrer la main ou pour entendre votre message.
A Abidjan, que ce soit avec les femmes, ou les jeunes, les décideurs, les leaders d’opinion, le patronat, la rédaction de Frat-Mat, tous ceux qui vous ont vu, approché ou entendu ont été convaincus par vos idées.
Monsieur le Président,
Les Ivoiriens savent désormais qui vous êtes, quelles sont vos qualités, vos compétences et ce que vous comptez faire pour la Côte d’Ivoire.
Ils veulent le changement, avec vous, le plus tôt possible. Parce que vous avez les solutions à leurs problèmes. Ils sont prêts à se déterminer courageusement et objectivement pour vous.
Malheureusement, Monsieur le Président, ceux qui craignent ce changement veulent user de tous les moyens pour retarder ces échéances électorales.
Monsieur le Président,
Au nom de tous les militants, je peux vous rassurer : Nous restons vigilants ; car nous sommes persuadés que les élections aurons bel et bien lieu très bientôt. Et grâce à l’excellent travail de terrain effectué par le DNC et son équipe, grâce à la mobilisation exemplaire des militants et sympathisants du RDR, nous serons nombreux, très nombreux à opter pour la solution ADO le jour des élections.
N’en déplaise à certains, Monsieur le Président, tous les indicateurs sérieux vous donnent bel et bien gagnant.
C’est pourquoi, ni les provocations ni la violence exercées contre nous ne viendront ébranler notre détermination.
Croyez-moi, Monsieur le Président, nous ne nous laisserons pas voler notre victoire.
Vous l’avez dit vous-même, nous avons un devoir de victoire.
Bonne et Heureuse année.