Le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré tient au respect de la mise en œuvre des programmes du DSRP (Document de stratégie de réduction de la pauvreté). L’admissibilité de la Côte d’Ivoire au point d’achèvement de l’initiative des PPTE (Pays pauvres très endettés) dépend aussi du niveau de réalisation du DSRP.
Convaincu que la reprise de la croissance en Côte d’Ivoire et l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE (Pays pauvres très endettés) sont conditionnées par la réalisation et la mise en place des pôles de développement contenus dans le DSRP (Document de stratégie de réduction de la pauvreté), le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré a décidé de ne lésiner sur aucun détail. Depuis peu, il procède à la mise en œuvre des pôles du développement dans les différentes régions. Il en fait une priorité depuis la tenue des états généraux de son ministère les 25 et 26 septembre 2009 à Yamoussoukro. En effet, le DSRP recommande une facilitation d’accès des populations aux services publics (soins de santé de base, éducation, accès à l’eau potable pour tous…). Le point d’achèvement de l’initiative PPTE qui doit conduire à la réduction de la dette de la Côte d’Ivoire dépend également du niveau de réalisation des objectifs du DSRP. Le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré dont le département a un rôle important à jouer dans l’élimination de la pauvreté, a décidé d’engager à fond le combat contre le fléau. Ainsi, après l’installation des dix pôles du développement à Yamoussoukro, le ministre d’Etat s’engage à étendre le combat à toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Aujourd’hui, au nombre des régions bénéficiaires des activités des pôles régionaux, il y a celle du Bas-Sassandra dirigée par le Dr Oubouo Nguessan Jacques, préfet de Région. Celle-ci couvre également le départements de San Pedro, de Sassandra et de Gueyo. Face aux attentes liées à la réduction de la pauvreté, le ministre d’Etat, ministre du Plan et du développement ne cesse de rappeler au sens de responsabilité de tous. Il en a fait lors des assises de Yamoussoukro où il a engagé les préfets de régions, les maires, conseils généraux. “Vous avez la lourde responsabilité de conduire à bon port le projet. Votre succès dépendra de votre capacité de fédérer les efforts de tous. Mettez-vous au travail pour organiser la lutte contre la pauvreté dans vos pôles de développement”, déclarait-il. En effet, les différents pôles de développement ont pour missions de créer la richesse par la valorisation des potentialités locales. Pour y arriver, le ministre estime qu’il y a une seule chose à faire. A savoir que les Ivoiriens doivent se mettre au travail. “Accordez au travail la place qui est la sienne, dans le processus de développement”, conseille-t-il. Dans le cadre de la réalisation des programmes de développement et de croissance, il a été mis en place un conseil national de suivi de mise en œuvre de la lutte contre la pauvreté, présidé par le Premier ministre Guillaume Soro. Le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté a été approuvé par le gouvernement ivoirien et le Système des Nations Unies. Il permet d’évaluer les besoins de la Côte d’Ivoire, sur les 5 prochaines années, estimés à plus de 17600 milliards de FCFA.
Honoré Kouassi
Convaincu que la reprise de la croissance en Côte d’Ivoire et l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE (Pays pauvres très endettés) sont conditionnées par la réalisation et la mise en place des pôles de développement contenus dans le DSRP (Document de stratégie de réduction de la pauvreté), le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré a décidé de ne lésiner sur aucun détail. Depuis peu, il procède à la mise en œuvre des pôles du développement dans les différentes régions. Il en fait une priorité depuis la tenue des états généraux de son ministère les 25 et 26 septembre 2009 à Yamoussoukro. En effet, le DSRP recommande une facilitation d’accès des populations aux services publics (soins de santé de base, éducation, accès à l’eau potable pour tous…). Le point d’achèvement de l’initiative PPTE qui doit conduire à la réduction de la dette de la Côte d’Ivoire dépend également du niveau de réalisation des objectifs du DSRP. Le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré dont le département a un rôle important à jouer dans l’élimination de la pauvreté, a décidé d’engager à fond le combat contre le fléau. Ainsi, après l’installation des dix pôles du développement à Yamoussoukro, le ministre d’Etat s’engage à étendre le combat à toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Aujourd’hui, au nombre des régions bénéficiaires des activités des pôles régionaux, il y a celle du Bas-Sassandra dirigée par le Dr Oubouo Nguessan Jacques, préfet de Région. Celle-ci couvre également le départements de San Pedro, de Sassandra et de Gueyo. Face aux attentes liées à la réduction de la pauvreté, le ministre d’Etat, ministre du Plan et du développement ne cesse de rappeler au sens de responsabilité de tous. Il en a fait lors des assises de Yamoussoukro où il a engagé les préfets de régions, les maires, conseils généraux. “Vous avez la lourde responsabilité de conduire à bon port le projet. Votre succès dépendra de votre capacité de fédérer les efforts de tous. Mettez-vous au travail pour organiser la lutte contre la pauvreté dans vos pôles de développement”, déclarait-il. En effet, les différents pôles de développement ont pour missions de créer la richesse par la valorisation des potentialités locales. Pour y arriver, le ministre estime qu’il y a une seule chose à faire. A savoir que les Ivoiriens doivent se mettre au travail. “Accordez au travail la place qui est la sienne, dans le processus de développement”, conseille-t-il. Dans le cadre de la réalisation des programmes de développement et de croissance, il a été mis en place un conseil national de suivi de mise en œuvre de la lutte contre la pauvreté, présidé par le Premier ministre Guillaume Soro. Le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté a été approuvé par le gouvernement ivoirien et le Système des Nations Unies. Il permet d’évaluer les besoins de la Côte d’Ivoire, sur les 5 prochaines années, estimés à plus de 17600 milliards de FCFA.
Honoré Kouassi
