Le milieu de terrain des Eléphants, Touré Yaya, a soif de la Coupe d’Afrique des nations. Nous l’avons rencontré lors de la séance de décrassage. Notre Voie : Le match contre le Ghana a été difficile comme on s’y attendait. Néanmoins, vous vous en êtes sortis victorieux. Qu’est-ce qui a fait la différence ? Touré Yaya : C’est la chance et l’expérience qui ont fait la différence.
L’équipe ghanéenne regorgeait de trop de jeunes joueurs. Alors que parmi nous, la plupart ont trois CAN dans les jambes. C’était difficile pour eux en dépit de leur qualité. L’expérience a beaucoup plus prévalu. N.V : Ce match a été particulièrement difficile pour vous au point que Vahid vous a fait sortir T.Y : Compte tenu de la chaleur et l’état du terrain, il n’est pas évident que ça marche toujours fort pour nous, les joueurs, qui évoluons en Europe quand on revient en Afrique. On se donne au maximum pour démontrer que c’est notre métier. C’est ce que nous essayons de faire chaque jour. N.V : En dehors de l’état de la pelouse et la chaleur, n’avez-vous pas été victime du nouveau rôle que Vahid vous a confié ? T.Y : Non. Le plus important pour moi, c’est de jouer au milieu de terrain. Tout dépend des schémas tactiques que l’entraîneur met en place. Le rôle qu’on me confie n’était pas à la base de mon rendement. Comme je vous l’ai dit tantôt, il y a des facteurs comme la chaleur ou l’état du terrain qu’il ne faut pas négliger. N.V :
Après cette bataille que vous venez de remporter contre le Ghana doit-on affirmer que la Côte d’Ivoire est une équipe robuste et capable de faire un bon chemin dans cette CAN ? T.Y : Le Ghana est une grosse équipe. Elle nous a permis de jauger la valeur de notre équipe. La victoire n’était pas évidente. Mais nous l’avons obtenue, même en jouant à 10 contre 11 du fait de l’expulsion d’Emmanuel Eboué. C’est dire que l’équipe est vraiment mature. On peut quand même compter avec nous. N.V : Avez-vous une préférence parmi les équipes pour les quarts de finale ? T.Y : Je n’ai pas de préférence. Comme je le dis souvent, en tant que croyant, si le bon Dieu veut qu’on prenne la coupe, on la prendra. Et j’espère que cette année nous allons jouer la finale et remporter la coupe. N.V : Etes-vous en contact avec vos dirigeants de Barcelone ?
T.Y : Ils m’appellent. Surtout l’entraîneur, il veut toujours avoir de mes nouvelles. Il me dit pas mal de choses. Les gens s’inquiètent de l’autre côté. Ils veulent qu’on revienne. Mais j’ai un objectif aujourd’hui. Celui de remporter cette CAN avec la Côte d’Ivoire. Je me concentre beaucoup sur cet objectif.
Entretien réalisé par Ephrem Touboui à Cabinda
L’équipe ghanéenne regorgeait de trop de jeunes joueurs. Alors que parmi nous, la plupart ont trois CAN dans les jambes. C’était difficile pour eux en dépit de leur qualité. L’expérience a beaucoup plus prévalu. N.V : Ce match a été particulièrement difficile pour vous au point que Vahid vous a fait sortir T.Y : Compte tenu de la chaleur et l’état du terrain, il n’est pas évident que ça marche toujours fort pour nous, les joueurs, qui évoluons en Europe quand on revient en Afrique. On se donne au maximum pour démontrer que c’est notre métier. C’est ce que nous essayons de faire chaque jour. N.V : En dehors de l’état de la pelouse et la chaleur, n’avez-vous pas été victime du nouveau rôle que Vahid vous a confié ? T.Y : Non. Le plus important pour moi, c’est de jouer au milieu de terrain. Tout dépend des schémas tactiques que l’entraîneur met en place. Le rôle qu’on me confie n’était pas à la base de mon rendement. Comme je vous l’ai dit tantôt, il y a des facteurs comme la chaleur ou l’état du terrain qu’il ne faut pas négliger. N.V :
Après cette bataille que vous venez de remporter contre le Ghana doit-on affirmer que la Côte d’Ivoire est une équipe robuste et capable de faire un bon chemin dans cette CAN ? T.Y : Le Ghana est une grosse équipe. Elle nous a permis de jauger la valeur de notre équipe. La victoire n’était pas évidente. Mais nous l’avons obtenue, même en jouant à 10 contre 11 du fait de l’expulsion d’Emmanuel Eboué. C’est dire que l’équipe est vraiment mature. On peut quand même compter avec nous. N.V : Avez-vous une préférence parmi les équipes pour les quarts de finale ? T.Y : Je n’ai pas de préférence. Comme je le dis souvent, en tant que croyant, si le bon Dieu veut qu’on prenne la coupe, on la prendra. Et j’espère que cette année nous allons jouer la finale et remporter la coupe. N.V : Etes-vous en contact avec vos dirigeants de Barcelone ?
T.Y : Ils m’appellent. Surtout l’entraîneur, il veut toujours avoir de mes nouvelles. Il me dit pas mal de choses. Les gens s’inquiètent de l’autre côté. Ils veulent qu’on revienne. Mais j’ai un objectif aujourd’hui. Celui de remporter cette CAN avec la Côte d’Ivoire. Je me concentre beaucoup sur cet objectif.
Entretien réalisé par Ephrem Touboui à Cabinda
