Fumeur invétéré, vous rêvez de pouvoir, vous griller une petite e-cigarette au comptoir d’un bar ? Ces cigarettes électroniques en effet, copient les originales : même look, même goût et, le must, elles permettent de « fumer sans fumée ». Sont-elles totalement inoffensives ? Rien n’est moins sûr ! En réalité, « les cigarettes électroniques contiennent 2 à 3 fois plus de nicotine que les doses traditionnelles », dénonce l’association Droits des non-fumeurs (DNF). Plus grave, aucune limite de consommation n’est spécifiée. Surdosages, effets indésirables, contre-indications : attention aux risques !
L’association déplore donc, le flou « artistique » entretenu autour de ces fameuses cigarettes électroniques. Elle estime que « la mise en vente sur le marché français de ce produit reviendrait à permettre la promotion déguisée d’un tabagisme prétendument propre et inoffensif ».
Une compagnie aérienne envisageait d’en proposer à ses clients dès le mois de septembre. L’objectif bien sûr, était de permettre « aux passagers d’avoir la nicotine dont ils ont besoin sans enfreindre la loi ». Pas si simple, puisque chaque cigarette électronique devra faire l’objet d’une autorisation de mise sur le marché délivrée par l’AFSSaPS (Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé) avant sa mise en vente. Rappelons qu’à l’heure actuelle, l’OMS ne considère pas les cigarettes électroniques comme une aide au sevrage tabagique.
www.destinationsante.com
L’association déplore donc, le flou « artistique » entretenu autour de ces fameuses cigarettes électroniques. Elle estime que « la mise en vente sur le marché français de ce produit reviendrait à permettre la promotion déguisée d’un tabagisme prétendument propre et inoffensif ».
Une compagnie aérienne envisageait d’en proposer à ses clients dès le mois de septembre. L’objectif bien sûr, était de permettre « aux passagers d’avoir la nicotine dont ils ont besoin sans enfreindre la loi ». Pas si simple, puisque chaque cigarette électronique devra faire l’objet d’une autorisation de mise sur le marché délivrée par l’AFSSaPS (Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé) avant sa mise en vente. Rappelons qu’à l’heure actuelle, l’OMS ne considère pas les cigarettes électroniques comme une aide au sevrage tabagique.
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