Le défenseur Ivoirien de Manchester City, Kolo Touré, est très optimiste pour le reste de la compétition. Il estime que les Eléphants vont monter en puissance.
Après deux matches dans cette Can, en attendant les quarts de finale, comment vivez-vous ce moment-là ?
On se prépare pour le prochain match. Il ne sert à rien de se qualifier de cette manière et de sortir au prochain tour. Nous sommes concentrés. Nous savons que c’est un moment assez délicat. Pendant plus d’une semaine, nous sommes libres. Il faut pouvoir profiter de cela, mais il faut rester concentré. Ce qui n’est pas facile à faire.
Qu’est-ce qui a fondamentalement changé entre l’entame de cette édition et celle de 2008 au Ghana ?
En 2008, on avait commencé très fort et on a fini très mal. Mais cette fois-ci, nous avons commencé lentement et on espère qu’on va finir très fort. Le train va se mettre en marche et nous allons atteindre notre vitesse de croisière. Cela doit passer par un bon match en quarts de finale face à une bonne équipe. Nous devons donner le maximum pour continuer.
Qu’est-ce qui manque à cette équipe ivoirienne ?
Juste un peu de chance. C’est vrai qu’il faut travailler mais il faut avoir cette petite chance qui fait la différence à des moments donnés. Il est clair que cette chance, il faut aller la chercher souvent. C’est ce que nous allons faire.
Préférez-vous mal jouer pour avancer ?
Notre préférence est de bien jouer pour aller jusqu’au bout. Mais s’il arrive que les matches deviennent plus difficiles, la victoire sera importante. Mais il est clair que lorsque vous jouez bien, vous gagnez. Bien jouer, ce n’est pas que faire des passes. Il faut pouvoir marquer et ne pas prendre de but. Il est clair qu’il faut bien jouer pour gagner.
Entretien réalisé par Choilio Diomandé, envoyé spécial à Cabinda
Après deux matches dans cette Can, en attendant les quarts de finale, comment vivez-vous ce moment-là ?
On se prépare pour le prochain match. Il ne sert à rien de se qualifier de cette manière et de sortir au prochain tour. Nous sommes concentrés. Nous savons que c’est un moment assez délicat. Pendant plus d’une semaine, nous sommes libres. Il faut pouvoir profiter de cela, mais il faut rester concentré. Ce qui n’est pas facile à faire.
Qu’est-ce qui a fondamentalement changé entre l’entame de cette édition et celle de 2008 au Ghana ?
En 2008, on avait commencé très fort et on a fini très mal. Mais cette fois-ci, nous avons commencé lentement et on espère qu’on va finir très fort. Le train va se mettre en marche et nous allons atteindre notre vitesse de croisière. Cela doit passer par un bon match en quarts de finale face à une bonne équipe. Nous devons donner le maximum pour continuer.
Qu’est-ce qui manque à cette équipe ivoirienne ?
Juste un peu de chance. C’est vrai qu’il faut travailler mais il faut avoir cette petite chance qui fait la différence à des moments donnés. Il est clair que cette chance, il faut aller la chercher souvent. C’est ce que nous allons faire.
Préférez-vous mal jouer pour avancer ?
Notre préférence est de bien jouer pour aller jusqu’au bout. Mais s’il arrive que les matches deviennent plus difficiles, la victoire sera importante. Mais il est clair que lorsque vous jouez bien, vous gagnez. Bien jouer, ce n’est pas que faire des passes. Il faut pouvoir marquer et ne pas prendre de but. Il est clair qu’il faut bien jouer pour gagner.
Entretien réalisé par Choilio Diomandé, envoyé spécial à Cabinda
