Depuis mardi, les Eléphants s’entraînent en fonction de l’Algérie, l’adversaire des quarts de finale. Le sélectionneur, Vahid Halilhozic, ne se jette pas mais reste lucide quant à cette nouvelle étape de la compétition.
Mardi 19 janvier. 20 heures 15, heure locale. La séance d’entraînement du jour des Eléphants vient de prendre fin. Joueurs, encadreurs technique dégoulinent de sueur sur la verdure éclairée du stade annexe du national stade de Chiazi. Le travail a été dur. Endurance, résistance, duels, attaque-défense, tout y est passé. Le sélectionneur n’ayant pas prévu de match réparateur avant la grande sortie de dimanche, toute la préparation de cette opposition se fait aux entraînements. Car l’Algérie n’est pas un faire-valoir. Bien au contraire. Il a un statut de mondialiste à défendre. Comme la Côte d’Ivoire. Et coach Vahid en a conscience. « L’Algérie est une très bonne équipe qui a sorti le double champion d’Afrique en titre, l’Egypte, en éliminatoires du Mondial. J’ai beaucoup de respect pour cette équipe. Ce sera un match très difficile et compliqué. Dans une compétition d’une telle envergure, il faut se préparer en fonction de ses ambitions », lâche-t-il. En toute humilité, il vante les qualités de l’adversaire. « C’est une équipe bien organisée et rigoureuse avec en son sein des joueurs d’expérience. Elle est difficile à manœuvrer. Ils ont un milieu dense et une défense rigoureuse. Ils peuvent poser des problèmes à n’importe quelle équipe. Elle ne marque pas beaucoup de buts, mais en prend très peu ». Contre une équipe dont il connait déjà les qualités, coach Vahid sait sans doute ce qui lui reste à faire.
Mais il est convaincu que l’Algérie ne restera pas derrière comme l’a fait le Burkina Faso. Car le football algérien est un jeu plein de vivacité et de mobilité. Pour ce faire, il recommande à sa troupe d’éviter des fautes inutiles aux abords de la surface de réparation à cause de l’adresse des Fennecs. Mêmes les joueurs ne sont pas euphoriques comme par le passé. Ils sont plutôt lucides et humbles. Car ils savent que l’Algérie n’est qu’une étape de leur glorieux parcours dont ils rêvent dans cette compétition.
Tibet Kipré, envoyé spécial à Cabinda.
Mardi 19 janvier. 20 heures 15, heure locale. La séance d’entraînement du jour des Eléphants vient de prendre fin. Joueurs, encadreurs technique dégoulinent de sueur sur la verdure éclairée du stade annexe du national stade de Chiazi. Le travail a été dur. Endurance, résistance, duels, attaque-défense, tout y est passé. Le sélectionneur n’ayant pas prévu de match réparateur avant la grande sortie de dimanche, toute la préparation de cette opposition se fait aux entraînements. Car l’Algérie n’est pas un faire-valoir. Bien au contraire. Il a un statut de mondialiste à défendre. Comme la Côte d’Ivoire. Et coach Vahid en a conscience. « L’Algérie est une très bonne équipe qui a sorti le double champion d’Afrique en titre, l’Egypte, en éliminatoires du Mondial. J’ai beaucoup de respect pour cette équipe. Ce sera un match très difficile et compliqué. Dans une compétition d’une telle envergure, il faut se préparer en fonction de ses ambitions », lâche-t-il. En toute humilité, il vante les qualités de l’adversaire. « C’est une équipe bien organisée et rigoureuse avec en son sein des joueurs d’expérience. Elle est difficile à manœuvrer. Ils ont un milieu dense et une défense rigoureuse. Ils peuvent poser des problèmes à n’importe quelle équipe. Elle ne marque pas beaucoup de buts, mais en prend très peu ». Contre une équipe dont il connait déjà les qualités, coach Vahid sait sans doute ce qui lui reste à faire.
Mais il est convaincu que l’Algérie ne restera pas derrière comme l’a fait le Burkina Faso. Car le football algérien est un jeu plein de vivacité et de mobilité. Pour ce faire, il recommande à sa troupe d’éviter des fautes inutiles aux abords de la surface de réparation à cause de l’adresse des Fennecs. Mêmes les joueurs ne sont pas euphoriques comme par le passé. Ils sont plutôt lucides et humbles. Car ils savent que l’Algérie n’est qu’une étape de leur glorieux parcours dont ils rêvent dans cette compétition.
Tibet Kipré, envoyé spécial à Cabinda.
