Sans forcer et malgré une équipe fortement remaniée, l’Egypte n’a éprouvé aucune difficulté à écarter le Bénin (3-0). Leader avec neuf points sur neuf possibles, les Pharaons rencontreront le second du groupe D en quarts de finale.
C’est aussi cela la marque d’un champion. Alors que l’on annonçait sa sélection vieillissante et moins performante, l’Egypte a frappé un grand coup. Histoire de montrer que les Pharaons ne sont pas double champions d’Afrique en titre par hasard. Trois matches, trois victoires, sept buts marqués, un seul encaissé. Des statistiques de champion, tout simplement. C’est d’autant plus fort que cette dernière victoire sur un Bénin privé de Stéphane Sessegnon a été acquise avec une équipe B d’Egypte. Une équipe bis qui compte tout de même des joueurs expérimentés et, surtout, avides de prouver leur valeur à l’exigeant Hassan Shehata. Du coup, alors que l’on s’attendait à une Egypte Diesel, c’est une Egypte au Super qui a démarré la rencontre. Pied au plancher, les Pharaons ouvrent la marque au bout de 7 minutes à peine, grâce à un joli lob d’Al Muhammadi. Les "coiffeurs" égyptiens en rajoutent une couche par Motaeb (2-0, 23ème) malgré les efforts du portier béninois.
François NGORAN
C’est aussi cela la marque d’un champion. Alors que l’on annonçait sa sélection vieillissante et moins performante, l’Egypte a frappé un grand coup. Histoire de montrer que les Pharaons ne sont pas double champions d’Afrique en titre par hasard. Trois matches, trois victoires, sept buts marqués, un seul encaissé. Des statistiques de champion, tout simplement. C’est d’autant plus fort que cette dernière victoire sur un Bénin privé de Stéphane Sessegnon a été acquise avec une équipe B d’Egypte. Une équipe bis qui compte tout de même des joueurs expérimentés et, surtout, avides de prouver leur valeur à l’exigeant Hassan Shehata. Du coup, alors que l’on s’attendait à une Egypte Diesel, c’est une Egypte au Super qui a démarré la rencontre. Pied au plancher, les Pharaons ouvrent la marque au bout de 7 minutes à peine, grâce à un joli lob d’Al Muhammadi. Les "coiffeurs" égyptiens en rajoutent une couche par Motaeb (2-0, 23ème) malgré les efforts du portier béninois.
François NGORAN