Si monsieur Gbagbo et le FPI avaient eu le sentiment qu'ils pouvaient l'emporter en octobre 2005, ils auraient organisé les élections après lesquelles nous courons depuis cinq ans. Et cela nonobstant la paix( ?) qui n'était pas signée et l'état de belligérance dans lequel se trouvait le pays.
Monsieur GBAGBO et le FPI auraient invoqué les cas nombreux dans le monde et en Afrique où les pluies de bombes n'ont pas empêché que les élections se déroulent.
Mais ils savent qu'après juste un an d'exercice approximatif et chaotique du pouvoir, le peuple ivoirien, s'étant rendu compte qu'il s' était laissé séduire par les chants des sirènes, s' était laissé mener en bateau et par le bout du nez par des prestigitateurs maladroits et des illusionnistes qui leur ont mis la poudre aux yeux, était décidé à sanctionner ces dirigeants qui n'ont apporté à notre pays que misère, guerre ,destructions, flots de larmes et océan de sang.
Dès lors ,il fallait par tous les moyens s'opposer aux élections et empêcher qu'elles aient jamais lieu tout en faisant croire à travers des déclarations trompeuses et mensongères qu' on était pressé d'aller à ces élections .
On s'est déclaré enfant ou produit, c'est selon, des élections dans le seul but de manipuler l'information, d'intoxiquer et de tromper le peuple ivoirien otage et victime de prédateurs sans foi ni loi.
Et encore une fois, au moment où la liste électorale provisoire est en enfin établie et où on s'achemine vers la liste électorale définitive, monsieur Gbagbo, son camp et son clan, manœuvrent de façon grossière et à visage découvert pour empêcher que nous ayons des élections fin février ou début mars.
Il paraît malgré ces actions méchantes, cyniques et cruelles qui refusent que des hommes responsables et avisés prennent enfin les rênes du pouvoir pour sortir le pays du gouffre et le peuple de la misère et de la détresse, que ce sont ceux qui se livrent à ces actes vils et à ces bassesses inqualifiables qui aiment la Côte-d 'Ivoire.
L'opposition politique, parce qu'elle ne veut pas contribuer à plonger la Côte-Ivoire dans un chaos plus grand, a toujours choisi la voie de la raison et de la paix au point que les agitateurs et autres agités politiques se disant génies et professionnels politiques déclarent goguenards : "il n'y a pas d'opposition en Côte-d'Ivoire."
Il y a cependant lieu de se demander si on ne risque pas non seulement d'attraper une indigestion mortelle à force d'avaler des couleuvres, mais encore et surtout si la recherche obstinée et quelquefois déraisonnable du compromis ne rend pas l'opposition, à travers son silence assourdissant, complice de la déliquescence de la Côte-d 'Ivoire et de sa descente aux enfers !
La non réaction vigoureuse et musclée de l'opposition a en effet fini par convaincre monsieur Gbagbo et son régime qu'ils sont seuls sur la place et qu'ils peuvent tout se permettre.
Nous pensons dès lors que le moment est venu de changer d'attitude, de changer de stratégie.
Pour paraphraser un grand chancelier européen du 19ème siècle, l'opposition doit enfin admettre que "les grandes affaires de ce monde ne se règlent pas par des parlottes mais (si nécessaire) par le fer et par le sang. "
Qui de nous n'a pas appris qu'il faut quelquefois un électrochoc pour guérir certains maux ?
Concernant la Côte-d 'Ivoire, le comportement de la "mutuelle présidentielle" se disant mouvance et même, ô sacrilège, majorité ( ?) présidentielle, justifie amplement l'usage de cet électrochoc pour soigner et guérir la Côte-d 'Ivoire en la débarrassant des bactéries et autres parasites qui la rongent.
C'est pourquoi, le dernier communiqué du directoire du RHDP est de ceux que nous aimerions désormais lire et entendre.
La leçon de sagesse qui veut qu'on ne réponde pas aux coups de pied de l'âne est dépassée.
Il faut au contraire faire savoir et faire comprendre à l'âne qu'on est plus âne que lui.
Qu'est-ce qu'il a raison ce peuple qui dit que lorsqu'un enfant fait du vent sur vous, il faut en faire autant sur lui pour qu'il ne pense pas que vous êtes dépourvu de l'organe dont il s'est servi pour vous offenser.
L'opposition ne doit pas et ne doit plus permettre aux machinations du FPI et de ses sbires, particulièrement celle en cours en ce moment, de prospérer.
S'il doit y avoir reculade, elle doit exclusivement concerner le camp présidentiel.
Le Chancelier dont nous avons parlé plus haut disait également : "Laissez-moi commettre les fautes les plus impardonnables. Je trouverai bien un juriste pour les habiller pour en faire des actions justes."
La pseudo saisine du procureur de la République par le ministre de l'Intérieur aux fins d'enquêter sur la prétendue fraude du président de la CEI relève de cette stratégie.
Après avoir condamné sans appel le président de la CEI pour fraude et manipulation du fichier électoral, on va se trouver un procureur dont les conclusions aboutiront aux résultats escomptés.
Ainsi, l'ancien président de la République , candidat du FPI et "l'autorité détentrice du pouvoir de poursuite" pourront s'appuyer sur de pseudo arguments juridiques pour réclamer la tête de monsieur Mambé et surtout la dissolution de la CEI.
Ils savent que leur action ne sera jamais acceptée par les autres parties et qu'elle n'aboutira pas.
Mais elle aura le mérite de gripper le processus électoral, permettant à monsieur Gbagbo de continuer à occuper le palais présidentiel et à être ce chef d'Etat illégal, anticonstitutionnel et illégitime qu'il est depuis cinq ans déjà.
Il est donc impérieux que
l'opposition sonne la charge:
-Le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, le facilitateur, le représentant du facilitateur, doivent faire savoir clairement s'ils sont de simples observateurs ou s'ils sont des acteurs qui pèsent vraiment sur la sortie de crise en Côte-d'Ivoire.
Déjà, avant la dernière réunion du CPC, le facilitateur laissait entendre qu'il n'allait pas fixer de nouvelle date pour les élections ; c'était la position de monsieur Gbagbo !
C'est sous la pression de l'opposition ivoirienne que la fourchette fin février-début mars a été adoptée à leur corps défendant.
Le silence étrange qu'ils continuent d'observer ne peut qu'être troublant et susciter des suspicions légitimes.
-S'il faut constater et consacrer l'échec définitif de l'APO, il est temps de le dire clairement.
-Monsieur Gbagbo devra alors quitter ce poste qu'il occupe indûment et illégalement et qui lui permet d'être juge et partie et de continuer à garder le pays en otage et de martyriser le peuple qui n'en peut plus !
-Une structure neutre assurerait alors une transition n'excédant pas 06 mois et organiserait les élections.
L'opposition devra se donner les moyens pour imposer ces exigences qui devront être non négociables.
Car les Ivoiriens savent, l'opposition sait, le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies sait, le facilitateur et son représentant savent que monsieur Gbagbo qui est conscient qu'il ne franchira jamais la barre de 15% dans des élections transparentes et justes n'ira jamais à ces élections.
Concernant le PDCI, le Président BEDIE sait que monsieur Gbagbo l'a toujours fui et qu'il n'acceptera jamais de l'affronter dans des élections propres.
Comment comprendre en effet que celui qui a accepté d'affronter le président HOUPHOUET-BOIGNY avec un code électoral qu'il jugeait inique ait refusé de prendre le départ avec un code électoral réaménagé et amélioré en sa faveur ?
Monsieur Gbagbo a donc fui en 1995 en se réfugiant derrière des arguties puériles et fantaisistes.
Le "coup d'Etat salutaire pour faire avancer la démocratie" lui a évité (?) une autre fuite en 2000.
Se sachant perdu en 2005 après avoir constaté le retour triomphal du président BEDIE d'exil et sa propre perte de crédit, monsieur Gbagbo a encore choisi la fuite comme il sait si bien le faire et comme il l'a toujours fait.
Et depuis lors, c'est chaque année un nouvel argument bidon pour ne pas affronter le Président BEDIE en combat électoral singulier et loyal.
Monsieur Gbagbo est en effet comme "un jonc qui tremble au vent" dès qu'il entend le nom du président BEDIE qui lui cause les pires cauchemars.
Avec cette accusation fantaisiste contre le président Mambé que monsieur Gbagbo a vainement tenté d'avoir sous sa coupe comme toutes ces feuilles mortes débauchées des autres partis, et contre la CEI , l'opposition doit désormais comprendre, de même que monsieur Gbagbo d'ailleurs, que nous sommes maintenant à la dernière scène du dernier acte.
L'opposition, comme nous l'avons indiqué plus haut, ne doit plus reculer et elle doit tout mettre en œuvre pour faire plier l'enfant des élections qui n'aime les élections que lorsqu'elles sont truquées et lorsque le parti socialiste français met en branle sa technologie électorale à son profit.
Monsieur Gbagbo veut, comme en 2000, un président de la CEI militant du FPI qui fait tous ses caprices.
N'est-ce-pas cet ancien président de la CEI qui est aujourd'hui président du Conseil d'Administration de la RTI devenu grâce à lui Radio et Télévision "mille collines ?"
Monsieur Tagro nous fait rire avec sa saisine du procureur de la République , celui-là qui s'est si brillamment comporté dans l'affaire des déchets toxiques, dans celle de l'usine de cacao à Fulton dont les 100 milliards d'acquisition ont disparu dans l'Atlantique, de même que dans l'affaire Guy André KIEFFER !
Tout est cousu de fil blanc ou plutôt de cordes blanches !
Et il est dommage que l'ancien magistrat et procureur Tagro ait choisi de se payer la tête des Ivoiriens !
Le temps des vaines palabres est passé, le temps des compromis-compromission est révolu!
L'heure des débats musclés et des décisions tranchées à sonné!
Doubé Binty
Monsieur GBAGBO et le FPI auraient invoqué les cas nombreux dans le monde et en Afrique où les pluies de bombes n'ont pas empêché que les élections se déroulent.
Mais ils savent qu'après juste un an d'exercice approximatif et chaotique du pouvoir, le peuple ivoirien, s'étant rendu compte qu'il s' était laissé séduire par les chants des sirènes, s' était laissé mener en bateau et par le bout du nez par des prestigitateurs maladroits et des illusionnistes qui leur ont mis la poudre aux yeux, était décidé à sanctionner ces dirigeants qui n'ont apporté à notre pays que misère, guerre ,destructions, flots de larmes et océan de sang.
Dès lors ,il fallait par tous les moyens s'opposer aux élections et empêcher qu'elles aient jamais lieu tout en faisant croire à travers des déclarations trompeuses et mensongères qu' on était pressé d'aller à ces élections .
On s'est déclaré enfant ou produit, c'est selon, des élections dans le seul but de manipuler l'information, d'intoxiquer et de tromper le peuple ivoirien otage et victime de prédateurs sans foi ni loi.
Et encore une fois, au moment où la liste électorale provisoire est en enfin établie et où on s'achemine vers la liste électorale définitive, monsieur Gbagbo, son camp et son clan, manœuvrent de façon grossière et à visage découvert pour empêcher que nous ayons des élections fin février ou début mars.
Il paraît malgré ces actions méchantes, cyniques et cruelles qui refusent que des hommes responsables et avisés prennent enfin les rênes du pouvoir pour sortir le pays du gouffre et le peuple de la misère et de la détresse, que ce sont ceux qui se livrent à ces actes vils et à ces bassesses inqualifiables qui aiment la Côte-d 'Ivoire.
L'opposition politique, parce qu'elle ne veut pas contribuer à plonger la Côte-Ivoire dans un chaos plus grand, a toujours choisi la voie de la raison et de la paix au point que les agitateurs et autres agités politiques se disant génies et professionnels politiques déclarent goguenards : "il n'y a pas d'opposition en Côte-d'Ivoire."
Il y a cependant lieu de se demander si on ne risque pas non seulement d'attraper une indigestion mortelle à force d'avaler des couleuvres, mais encore et surtout si la recherche obstinée et quelquefois déraisonnable du compromis ne rend pas l'opposition, à travers son silence assourdissant, complice de la déliquescence de la Côte-d 'Ivoire et de sa descente aux enfers !
La non réaction vigoureuse et musclée de l'opposition a en effet fini par convaincre monsieur Gbagbo et son régime qu'ils sont seuls sur la place et qu'ils peuvent tout se permettre.
Nous pensons dès lors que le moment est venu de changer d'attitude, de changer de stratégie.
Pour paraphraser un grand chancelier européen du 19ème siècle, l'opposition doit enfin admettre que "les grandes affaires de ce monde ne se règlent pas par des parlottes mais (si nécessaire) par le fer et par le sang. "
Qui de nous n'a pas appris qu'il faut quelquefois un électrochoc pour guérir certains maux ?
Concernant la Côte-d 'Ivoire, le comportement de la "mutuelle présidentielle" se disant mouvance et même, ô sacrilège, majorité ( ?) présidentielle, justifie amplement l'usage de cet électrochoc pour soigner et guérir la Côte-d 'Ivoire en la débarrassant des bactéries et autres parasites qui la rongent.
C'est pourquoi, le dernier communiqué du directoire du RHDP est de ceux que nous aimerions désormais lire et entendre.
La leçon de sagesse qui veut qu'on ne réponde pas aux coups de pied de l'âne est dépassée.
Il faut au contraire faire savoir et faire comprendre à l'âne qu'on est plus âne que lui.
Qu'est-ce qu'il a raison ce peuple qui dit que lorsqu'un enfant fait du vent sur vous, il faut en faire autant sur lui pour qu'il ne pense pas que vous êtes dépourvu de l'organe dont il s'est servi pour vous offenser.
L'opposition ne doit pas et ne doit plus permettre aux machinations du FPI et de ses sbires, particulièrement celle en cours en ce moment, de prospérer.
S'il doit y avoir reculade, elle doit exclusivement concerner le camp présidentiel.
Le Chancelier dont nous avons parlé plus haut disait également : "Laissez-moi commettre les fautes les plus impardonnables. Je trouverai bien un juriste pour les habiller pour en faire des actions justes."
La pseudo saisine du procureur de la République par le ministre de l'Intérieur aux fins d'enquêter sur la prétendue fraude du président de la CEI relève de cette stratégie.
Après avoir condamné sans appel le président de la CEI pour fraude et manipulation du fichier électoral, on va se trouver un procureur dont les conclusions aboutiront aux résultats escomptés.
Ainsi, l'ancien président de la République , candidat du FPI et "l'autorité détentrice du pouvoir de poursuite" pourront s'appuyer sur de pseudo arguments juridiques pour réclamer la tête de monsieur Mambé et surtout la dissolution de la CEI.
Ils savent que leur action ne sera jamais acceptée par les autres parties et qu'elle n'aboutira pas.
Mais elle aura le mérite de gripper le processus électoral, permettant à monsieur Gbagbo de continuer à occuper le palais présidentiel et à être ce chef d'Etat illégal, anticonstitutionnel et illégitime qu'il est depuis cinq ans déjà.
Il est donc impérieux que
l'opposition sonne la charge:
-Le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, le facilitateur, le représentant du facilitateur, doivent faire savoir clairement s'ils sont de simples observateurs ou s'ils sont des acteurs qui pèsent vraiment sur la sortie de crise en Côte-d'Ivoire.
Déjà, avant la dernière réunion du CPC, le facilitateur laissait entendre qu'il n'allait pas fixer de nouvelle date pour les élections ; c'était la position de monsieur Gbagbo !
C'est sous la pression de l'opposition ivoirienne que la fourchette fin février-début mars a été adoptée à leur corps défendant.
Le silence étrange qu'ils continuent d'observer ne peut qu'être troublant et susciter des suspicions légitimes.
-S'il faut constater et consacrer l'échec définitif de l'APO, il est temps de le dire clairement.
-Monsieur Gbagbo devra alors quitter ce poste qu'il occupe indûment et illégalement et qui lui permet d'être juge et partie et de continuer à garder le pays en otage et de martyriser le peuple qui n'en peut plus !
-Une structure neutre assurerait alors une transition n'excédant pas 06 mois et organiserait les élections.
L'opposition devra se donner les moyens pour imposer ces exigences qui devront être non négociables.
Car les Ivoiriens savent, l'opposition sait, le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies sait, le facilitateur et son représentant savent que monsieur Gbagbo qui est conscient qu'il ne franchira jamais la barre de 15% dans des élections transparentes et justes n'ira jamais à ces élections.
Concernant le PDCI, le Président BEDIE sait que monsieur Gbagbo l'a toujours fui et qu'il n'acceptera jamais de l'affronter dans des élections propres.
Comment comprendre en effet que celui qui a accepté d'affronter le président HOUPHOUET-BOIGNY avec un code électoral qu'il jugeait inique ait refusé de prendre le départ avec un code électoral réaménagé et amélioré en sa faveur ?
Monsieur Gbagbo a donc fui en 1995 en se réfugiant derrière des arguties puériles et fantaisistes.
Le "coup d'Etat salutaire pour faire avancer la démocratie" lui a évité (?) une autre fuite en 2000.
Se sachant perdu en 2005 après avoir constaté le retour triomphal du président BEDIE d'exil et sa propre perte de crédit, monsieur Gbagbo a encore choisi la fuite comme il sait si bien le faire et comme il l'a toujours fait.
Et depuis lors, c'est chaque année un nouvel argument bidon pour ne pas affronter le Président BEDIE en combat électoral singulier et loyal.
Monsieur Gbagbo est en effet comme "un jonc qui tremble au vent" dès qu'il entend le nom du président BEDIE qui lui cause les pires cauchemars.
Avec cette accusation fantaisiste contre le président Mambé que monsieur Gbagbo a vainement tenté d'avoir sous sa coupe comme toutes ces feuilles mortes débauchées des autres partis, et contre la CEI , l'opposition doit désormais comprendre, de même que monsieur Gbagbo d'ailleurs, que nous sommes maintenant à la dernière scène du dernier acte.
L'opposition, comme nous l'avons indiqué plus haut, ne doit plus reculer et elle doit tout mettre en œuvre pour faire plier l'enfant des élections qui n'aime les élections que lorsqu'elles sont truquées et lorsque le parti socialiste français met en branle sa technologie électorale à son profit.
Monsieur Gbagbo veut, comme en 2000, un président de la CEI militant du FPI qui fait tous ses caprices.
N'est-ce-pas cet ancien président de la CEI qui est aujourd'hui président du Conseil d'Administration de la RTI devenu grâce à lui Radio et Télévision "mille collines ?"
Monsieur Tagro nous fait rire avec sa saisine du procureur de la République , celui-là qui s'est si brillamment comporté dans l'affaire des déchets toxiques, dans celle de l'usine de cacao à Fulton dont les 100 milliards d'acquisition ont disparu dans l'Atlantique, de même que dans l'affaire Guy André KIEFFER !
Tout est cousu de fil blanc ou plutôt de cordes blanches !
Et il est dommage que l'ancien magistrat et procureur Tagro ait choisi de se payer la tête des Ivoiriens !
Le temps des vaines palabres est passé, le temps des compromis-compromission est révolu!
L'heure des débats musclés et des décisions tranchées à sonné!
Doubé Binty