Au repos forcé depuis la victoire contre le Burkina Faso, Didier Drogba assume le statut de favori. Avant les quarts de finale, il revient sur les premières rencontres avec la certitude que ses partenaires et lui sauront répondre présents.
Didier Drogba, après le match nul contre le Burkina Faso, vous redoutiez d'une manière cette confrontation avec le Ghana ?
On prend tous les matches et tous nos adversaires au sérieux. Pour nous, il n'y a pas de petites équipes. Toutes les équipes se valent. On ne craint pas plus le Ghana que le Burkina. Mais, de là à ressentir de la peur, c'est autre chose. Nous savions seulement que nous n'avions pas droit à l'erreur. On avait grillé notre seul joker.
Finalement, les choses se sont mieux passées que vous ne pouvez imaginez ?
Il ne faut pas se fier au score et croire que tout a été facile. Honnêtement, je pense qu'on a été mieux devant le Burkina que face aux Ghanéens. On a eu affaire à une très belle équipe qui nous a posé énormément de problèmes. Nous, on a eu la chance d'être aidés par nos remplaçants. Leur entrée nous a fait beaucoup de bien. Faé, Demel et Kader nous ont vraiment soulagés. Ils ont été efficaces. Cela montre que tout le monde est important dans cette équipe et que c'est ensemble qu'on pourra accomplir notre mission.
Y avait-il une pression sur vous ?
Oui, il y a une pression. Quand on est une bonne équipe, quand on est soi disant prétendant au titre, on a forcement une pression que les autres n'ont pas. Au niveau de la qualité du jeu, le premier match était d'aussi bonne facture que le second. Mais on est obligés de composer avec cette pression.
Vous pensez la Côte d'Ivoire capable d'aller jusqu'au bout de cette CAN Orange ?
Oui, je le pense. Si on ne croyait pas en nous, on ne serait pas là.
Vous êtes donc prêts à assumer votre statut de super favori du tournoi ?
Cela ne nous fait pas peur. Ce statut, on est obligés de l'assumer. On ne doit plus se cacher. Je peux vous assurer que nous répondrons présents.
Source : Rédaction F365/FS (AK)
Didier Drogba, après le match nul contre le Burkina Faso, vous redoutiez d'une manière cette confrontation avec le Ghana ?
On prend tous les matches et tous nos adversaires au sérieux. Pour nous, il n'y a pas de petites équipes. Toutes les équipes se valent. On ne craint pas plus le Ghana que le Burkina. Mais, de là à ressentir de la peur, c'est autre chose. Nous savions seulement que nous n'avions pas droit à l'erreur. On avait grillé notre seul joker.
Finalement, les choses se sont mieux passées que vous ne pouvez imaginez ?
Il ne faut pas se fier au score et croire que tout a été facile. Honnêtement, je pense qu'on a été mieux devant le Burkina que face aux Ghanéens. On a eu affaire à une très belle équipe qui nous a posé énormément de problèmes. Nous, on a eu la chance d'être aidés par nos remplaçants. Leur entrée nous a fait beaucoup de bien. Faé, Demel et Kader nous ont vraiment soulagés. Ils ont été efficaces. Cela montre que tout le monde est important dans cette équipe et que c'est ensemble qu'on pourra accomplir notre mission.
Y avait-il une pression sur vous ?
Oui, il y a une pression. Quand on est une bonne équipe, quand on est soi disant prétendant au titre, on a forcement une pression que les autres n'ont pas. Au niveau de la qualité du jeu, le premier match était d'aussi bonne facture que le second. Mais on est obligés de composer avec cette pression.
Vous pensez la Côte d'Ivoire capable d'aller jusqu'au bout de cette CAN Orange ?
Oui, je le pense. Si on ne croyait pas en nous, on ne serait pas là.
Vous êtes donc prêts à assumer votre statut de super favori du tournoi ?
Cela ne nous fait pas peur. Ce statut, on est obligés de l'assumer. On ne doit plus se cacher. Je peux vous assurer que nous répondrons présents.
Source : Rédaction F365/FS (AK)