La brigade de recherche de la Gendarmerie d’Abidjan a mis fin à une usurpation d’identité en arrêtant le nommé Ibrahim Ouattara de nationalité malienne. La brigade de recherche de la Gendarmerie d’Abidjan a été saisit suite à une plainte, de monsieur Diabagaté Soumahila directeur de société le 15 octobre 2009. Alors, quel a été le mobile de cette usurpation relative à son identité ? Revenons-en au fait.
Monsieur D.S doit son salut à l’AGEF (Agence de Gestion Foncière), une structure foncière de la place pour sa rigueur et son professionnalisme. En effet, le sieur D.S marié à dame Koumba épouse D.S, sous la communauté de bien depuis le 26 Février 1982 ont vécu en parfait amour durant plusieurs années.
Au nom de leur amour, Mr D.S offre un terrain de 5000 m2 situé dans le lotissement de riviera golf à son épouse. Au fil du temps, des mésententes naissent et le besoin de divorcer se fait sentir. Etant en instance de divorce, dame Koumba rejoint son pays natal le mali. Une fois au mali l’idée de vendre le terrain lui vient à l’esprit. Mais comment concrétiser ce désir ? Mariée à D.S sous la communauté de bien, un problème majeur se pose ; celui-ci doit donner son accord pour finaliser la vente.
Malgré cela, elle ne renonce pas au désir de vendre ce terrain. Alors que faire ? C’est ainsi qu’elle va s’attacher les services du nommé Ibrahim Ouattara. Ce dernier se rend à Abidjan avec pour mission de vendre ce terrain de 5000m2.
Ibrahim Ouattara ne passe pas par quatre chemins pour remplir la mission qui lui est confiée par dame Koumba. Aussitôt, il se fait établir une Attestation d’identité sous le nom de D.S (époux de dame Koumba), avec la même date de naissance, le même lieu de naissance, la même profession. Cependant, il ya une différence au niveau de la filiation des parents.
Avec cette fausse Attestation d’identité ajoutée à un faux livret de famille, un faux acte de mariage, une fausse procuration, il se réfère à un notaire pour les formalités de vente. Au vu des documents présentés par Ibrahim Ouattara, le notaire trouve un potentiel acheteur qui avance la somme de vingt cinq millions (25.000.000 FCFA) sur les cents vingt cinq millions (125.000.000 FCFA) prévus pour l’achat des 5.000m2. Pour finaliser cette transaction, le certificat de propriété foncier est indispensable. C’est donc ce document qui va éveiller les soupçons de l’AGEF (Agence de Gestion Foncière).
Cette structure foncière va appeler Monsieur D.S pour avoir la confirmation de la vente. Or donc Monsieur D.S n’était nullement au courant de cette vente. Alors, il se rend à la brigade de recherche du plateau pour déposer une plainte sur cet état de fait. Saisit de cette affaire, la brigade de recherche de la Gendarmerie a pu mettre la main sur Ibrahim Ouattara. Interrogé, Ibrahim Ouattara n’a pas mis du temps pour reconnaître les faits.
En attendant de faire toute la lumière sur cette affaire, Ibrahim Ouattara sera déféré devant les juridictions où il répondra de ses actes.
REPORTAGE : SERVICE COMMUNICATION DE LA GENDARMERIE NATIONALE
Monsieur D.S doit son salut à l’AGEF (Agence de Gestion Foncière), une structure foncière de la place pour sa rigueur et son professionnalisme. En effet, le sieur D.S marié à dame Koumba épouse D.S, sous la communauté de bien depuis le 26 Février 1982 ont vécu en parfait amour durant plusieurs années.
Au nom de leur amour, Mr D.S offre un terrain de 5000 m2 situé dans le lotissement de riviera golf à son épouse. Au fil du temps, des mésententes naissent et le besoin de divorcer se fait sentir. Etant en instance de divorce, dame Koumba rejoint son pays natal le mali. Une fois au mali l’idée de vendre le terrain lui vient à l’esprit. Mais comment concrétiser ce désir ? Mariée à D.S sous la communauté de bien, un problème majeur se pose ; celui-ci doit donner son accord pour finaliser la vente.
Malgré cela, elle ne renonce pas au désir de vendre ce terrain. Alors que faire ? C’est ainsi qu’elle va s’attacher les services du nommé Ibrahim Ouattara. Ce dernier se rend à Abidjan avec pour mission de vendre ce terrain de 5000m2.
Ibrahim Ouattara ne passe pas par quatre chemins pour remplir la mission qui lui est confiée par dame Koumba. Aussitôt, il se fait établir une Attestation d’identité sous le nom de D.S (époux de dame Koumba), avec la même date de naissance, le même lieu de naissance, la même profession. Cependant, il ya une différence au niveau de la filiation des parents.
Avec cette fausse Attestation d’identité ajoutée à un faux livret de famille, un faux acte de mariage, une fausse procuration, il se réfère à un notaire pour les formalités de vente. Au vu des documents présentés par Ibrahim Ouattara, le notaire trouve un potentiel acheteur qui avance la somme de vingt cinq millions (25.000.000 FCFA) sur les cents vingt cinq millions (125.000.000 FCFA) prévus pour l’achat des 5.000m2. Pour finaliser cette transaction, le certificat de propriété foncier est indispensable. C’est donc ce document qui va éveiller les soupçons de l’AGEF (Agence de Gestion Foncière).
Cette structure foncière va appeler Monsieur D.S pour avoir la confirmation de la vente. Or donc Monsieur D.S n’était nullement au courant de cette vente. Alors, il se rend à la brigade de recherche du plateau pour déposer une plainte sur cet état de fait. Saisit de cette affaire, la brigade de recherche de la Gendarmerie a pu mettre la main sur Ibrahim Ouattara. Interrogé, Ibrahim Ouattara n’a pas mis du temps pour reconnaître les faits.
En attendant de faire toute la lumière sur cette affaire, Ibrahim Ouattara sera déféré devant les juridictions où il répondra de ses actes.
REPORTAGE : SERVICE COMMUNICATION DE LA GENDARMERIE NATIONALE