L’Egypte, la sélection la plus capée de la Coupe d’Afrique des nations en Angola avec six trophées, a tenu son rang. Les tenants du titre, déjà qualifiés pour les quarts de finale avant la troisième et dernière journée des matches de poule, ont pris le meilleur, hier, à Benguela sur le Bénin (2-0). Dans cette rencontre du groupe C, les Ecureuils n’ont pu contrarier les Pharaons dans leur ascension vers les sommets du football africain.
Assurés de la première place dans la poule C, la formation égyptienne s’est même payée le luxe d’affronter son homologue béninoise avec ses remplaçants. Question pour le technicien des joueurs du Nil, Hassan Shehata de faire tourner son effectif. Il a jeté dans le bain cinq nouveaux. Il s’agit d’Al Muhammadi, auteur du premier but égyptien ; d’El Saqua, de Mohtazen, d’Abdul Shafi et de Raouf.
Pour aborder ce match décisif, les Béninois se sont passés de leur stratège, Stéphane Sessegnon. Le Parisien qui a écopé de deux cartons jaunes lors des précédentes rencontres était absent devant l’ogre égyptien. Diminués, les Ecureuils n’ont pu relever le défi face aux Pharaons. Une défaite qui les élimine de la compétition. Quant aux Egyptiens, ils n’ont pas eu à forcer leur talent pour se débarrasser des Béninois. Preuve que les Pharaons ont la capacité de s’offrir un septième sacre et le troisième d’affilée.
Martial Gohourou
Assurés de la première place dans la poule C, la formation égyptienne s’est même payée le luxe d’affronter son homologue béninoise avec ses remplaçants. Question pour le technicien des joueurs du Nil, Hassan Shehata de faire tourner son effectif. Il a jeté dans le bain cinq nouveaux. Il s’agit d’Al Muhammadi, auteur du premier but égyptien ; d’El Saqua, de Mohtazen, d’Abdul Shafi et de Raouf.
Pour aborder ce match décisif, les Béninois se sont passés de leur stratège, Stéphane Sessegnon. Le Parisien qui a écopé de deux cartons jaunes lors des précédentes rencontres était absent devant l’ogre égyptien. Diminués, les Ecureuils n’ont pu relever le défi face aux Pharaons. Une défaite qui les élimine de la compétition. Quant aux Egyptiens, ils n’ont pas eu à forcer leur talent pour se débarrasser des Béninois. Preuve que les Pharaons ont la capacité de s’offrir un septième sacre et le troisième d’affilée.
Martial Gohourou