Durant toute la journée d'hier, il n y avait pas de connexion d'internet dans la ville de cabinda. Les journalistes ont fait en vain la navette entre le centre de médias et leur QG, c'est seulement dans l'après midi avant le match Cameroun-Tunisie que la connexion est venue.
Coulisses Publié le vendredi 22 janvier 2010 | Le Nouveau Réveil