L'entraîneur de l'Angola Manuel Jose, qui affronte dimanche le Ghana en quart de finale de la CAN-2010, assure samedi que son n'équipe "n'a pas de grands joueurs" mais qu'elle a malgré tout "une bonne chance" d'atteindre les demi-finales.
"Nous n'avons pas de grands joueurs, a déclaré le sélectionneur en conférence de presse. Les nôtres évoluent dans des équipes intermédiaires et non dans les meilleures, à l'exception de Flavio et Gilberto. Nous avons construit une équipe solide et compétitive qui produit un jeu agréable".
Comme en 2008, l'Angola a atteint les quarts de finale.
"Demain ce sera différent, nous jouons devant nos supporteurs et nous avons une bonne chance d'atteindre les demi-finales, a encore expliqué l'ex-entraîneur d'Al-Ahly. Quand je suis arrivé, il y avait un grave problème à résoudre. Lors des quatre matches précédents, l'Angola en avait perdu trois et fait un nul, encaissant sept buts sans en inscrire un".
"Avec l'Angola jouant à domicile, je savais que c'était normal que les gens veuillent atteindre la finale. Pour y arriver, il faut gagner des matches, produire du jeu. C'était ma priorité. Et c'est ce que nous avons fait", s'est encore félicité le technicien portugais.
"Je suis fier de mon pays, fier de ce que nous avons réalisé et maintenant on en veux plus", a pour sa part commenté le capitaine et défenseur Kali. "En jouant à domicile, on est presque obligé de se qualifier. Et si on y parvient, tout peut se passer ensuite".
"Nous n'avons pas de grands joueurs, a déclaré le sélectionneur en conférence de presse. Les nôtres évoluent dans des équipes intermédiaires et non dans les meilleures, à l'exception de Flavio et Gilberto. Nous avons construit une équipe solide et compétitive qui produit un jeu agréable".
Comme en 2008, l'Angola a atteint les quarts de finale.
"Demain ce sera différent, nous jouons devant nos supporteurs et nous avons une bonne chance d'atteindre les demi-finales, a encore expliqué l'ex-entraîneur d'Al-Ahly. Quand je suis arrivé, il y avait un grave problème à résoudre. Lors des quatre matches précédents, l'Angola en avait perdu trois et fait un nul, encaissant sept buts sans en inscrire un".
"Avec l'Angola jouant à domicile, je savais que c'était normal que les gens veuillent atteindre la finale. Pour y arriver, il faut gagner des matches, produire du jeu. C'était ma priorité. Et c'est ce que nous avons fait", s'est encore félicité le technicien portugais.
"Je suis fier de mon pays, fier de ce que nous avons réalisé et maintenant on en veux plus", a pour sa part commenté le capitaine et défenseur Kali. "En jouant à domicile, on est presque obligé de se qualifier. Et si on y parvient, tout peut se passer ensuite".
