La CAN 2010 qui se déroule actuellement en Angola connaît depuis hier deux de ses quatre demi-finalistes. Ce sont, les Black Stars du Ghana et les Fennecs d’Algérie .Les premiers ont validé de haute lutte leur ticket face à une équipe de l’Angola soutenue par tout un peuple. Les Black Stars ont ainsi honoré leur statut de Mondialistes. Les Fennecs d’Algérie se sont, eux, imposés aux Eléphants de Côte d’Ivoire qui ont présenté hier un visage bien pâle. Lourds et presqu’empruntés, Drogba et ses coéquipiers étaient à côté de leurs pompes. En cause, sans doute, le long temps de repos (9 jours) qui s’est imposé à eux. Mais, nous n’allons pas pleurer sur nos malheurs .La vie est ainsi faite. Et il faut pouvoir se relever chaque fois qu’on tombe. C’est à sa capacité à rebondir que se mesure la valeur d’un homme. Il faut donc penser, maintenant, au Mondial sud africain qui se jouera au mois de juin prochain.
Plus que cinq mois donc pour corriger nos faiblesses et lacunes qui, on l’a vu, sont criantes, dans la perspective de cette importante (ô combien) échéance.
En attendant, la leçon que l’on retiendra de cette élimination, c’est que le statut de favori n’est jamais une garantie de succès.
Et pourtant, oui et pourtant, cette équipe n’a manqué de rien dans sa quête du Graal continental.
Grâce à la constante sollicitude d’un homme que l’on imagine très très malheureux après cette cruelle déconvenue .En effet, Jacques Anouma, président de la FIF, n’aura ménagé ni son temps, ni son énergie, ni les moyens pour mettre les Eléphants dans les meilleures conditions.Il ne méritait sans doute pas ça. Les Ivoiriens aussi ! Mais ne dramatisons pas. Car, forcément il y a et il doit y avoir une vie après cette CAN. On l’a dit, il y a le Mondial 2010 qui doit désormais nous mobiliser.
Les oppositions Cameroun-Egypte et Nigéria-Zambie de ce jour permettront de compléter le tableau des demi-finales. Les Pharaons qui semblent être devenus la bête noire des Lions Indomptables du Cameroun ont la faveur des pronostics. D’autant qu’ils sont la seule sélection à avoir fait un sans faute lors des matches de poules. Et dire que cette formation évolue sans ses maîtres à jouer, Abou Treika et Amr Zaki. Cela montre, à n’en point douter, la qualité du banc de touche égyptien. Déjà vainqueurs en 2006 et en 2008, les Pharaons sont visiblement bien partis pour réussir la passe de trois. Ce serait une première dans l’histoire de la CAN . Mais, nous n’en sommes pas encore là puisque les Egyptiens devront d’abord passer le cap des Camerounais qui, bien que peu disants dans ce tournoi n’en sont pas moins de redoutables et redoutés compétiteurs. Assurément, l’on assistera ce lundi à un match de feu entre Pharaons et Lions Indomptables.
Quant aux Super Eagles du Nigéria, après une entame de compétition ratée, ils ont su manœuvrer pour se mettre dans le sens de la marche. Et ils vont en découdre ce jour avec des Chipolopolos qui ne nourrissent aucun complexe. Ni d’infériorité ni de supériorité.
Au plan local, le championnat national a enregistré sa 2e journée le week-end dernier. Le fait notable de cette journée est sans nul doute la défaite, la 2e d’affilée, de l’Asec Mimosas qui a déjoué face à la SOA. Depuis 1988, l’Asec n’avait plus connu pareille infortune. On peut donc dire que les Mimos commencent mal la défense de leur titre. Mais rien n’est encore joué, le championnat étant une course de fond, c’est moins le départ que l’arrivée qui compte. Au rebours de leurs éternels rivaux, les Aiglons qui avaient aussi chuté d’entrée, se sont repris face aux Académiciens de l’AFDA. Bonne nouvelle pour les MAM qui,espérons-le,feront leur unité cette saison après moult palabres.Ainsi va la vie.Demain sera un autre jour.
Sportivement…
Plus que cinq mois donc pour corriger nos faiblesses et lacunes qui, on l’a vu, sont criantes, dans la perspective de cette importante (ô combien) échéance.
En attendant, la leçon que l’on retiendra de cette élimination, c’est que le statut de favori n’est jamais une garantie de succès.
Et pourtant, oui et pourtant, cette équipe n’a manqué de rien dans sa quête du Graal continental.
Grâce à la constante sollicitude d’un homme que l’on imagine très très malheureux après cette cruelle déconvenue .En effet, Jacques Anouma, président de la FIF, n’aura ménagé ni son temps, ni son énergie, ni les moyens pour mettre les Eléphants dans les meilleures conditions.Il ne méritait sans doute pas ça. Les Ivoiriens aussi ! Mais ne dramatisons pas. Car, forcément il y a et il doit y avoir une vie après cette CAN. On l’a dit, il y a le Mondial 2010 qui doit désormais nous mobiliser.
Les oppositions Cameroun-Egypte et Nigéria-Zambie de ce jour permettront de compléter le tableau des demi-finales. Les Pharaons qui semblent être devenus la bête noire des Lions Indomptables du Cameroun ont la faveur des pronostics. D’autant qu’ils sont la seule sélection à avoir fait un sans faute lors des matches de poules. Et dire que cette formation évolue sans ses maîtres à jouer, Abou Treika et Amr Zaki. Cela montre, à n’en point douter, la qualité du banc de touche égyptien. Déjà vainqueurs en 2006 et en 2008, les Pharaons sont visiblement bien partis pour réussir la passe de trois. Ce serait une première dans l’histoire de la CAN . Mais, nous n’en sommes pas encore là puisque les Egyptiens devront d’abord passer le cap des Camerounais qui, bien que peu disants dans ce tournoi n’en sont pas moins de redoutables et redoutés compétiteurs. Assurément, l’on assistera ce lundi à un match de feu entre Pharaons et Lions Indomptables.
Quant aux Super Eagles du Nigéria, après une entame de compétition ratée, ils ont su manœuvrer pour se mettre dans le sens de la marche. Et ils vont en découdre ce jour avec des Chipolopolos qui ne nourrissent aucun complexe. Ni d’infériorité ni de supériorité.
Au plan local, le championnat national a enregistré sa 2e journée le week-end dernier. Le fait notable de cette journée est sans nul doute la défaite, la 2e d’affilée, de l’Asec Mimosas qui a déjoué face à la SOA. Depuis 1988, l’Asec n’avait plus connu pareille infortune. On peut donc dire que les Mimos commencent mal la défense de leur titre. Mais rien n’est encore joué, le championnat étant une course de fond, c’est moins le départ que l’arrivée qui compte. Au rebours de leurs éternels rivaux, les Aiglons qui avaient aussi chuté d’entrée, se sont repris face aux Académiciens de l’AFDA. Bonne nouvelle pour les MAM qui,espérons-le,feront leur unité cette saison après moult palabres.Ainsi va la vie.Demain sera un autre jour.
Sportivement…