A l’instar de la communauté douanière mondiale, les douaniers ivoiriens ont célébré le 26 janvier 2010, la journée mondiale des douanes. C’était à l’Ecole Nationale des douanes, Abidjan-Plateau, sous le parrainage du ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi.
Placée sous l’égide de l’Organisation Mondiale des Douanes, la journée internationale est consacrée cette année au partenariat Douanes-Entreprises avec pour thème : « Douanes et Entreprises : améliorer la performance par le partenariat ». Cette cérémonie a été une fois de plus, l’occasion pour le gouvernement ivoirien, représenté par les ministres de l’Economie et finances , de l’Industrie et de la promotion du secteur privé, de démontrer qu’une politique ouverte et d’échange entre la douane et ses partenaires du secteur privé ne peut être que profitable, dans une période où la Côte d’Ivoire s’est inexorablement lancée dans la relance économique post-crise. «Nous avons besoin d’un secteur privé fort et d’une administration douanière forte », a déclaré Charles Diby Koffi ministre de l’Economie et des Finances. Pour lui, penser le partenariat « douane- secteur privé est pertinent d’autant que dans un contexte économique mondial marqué par les conséquences encore perceptibles de la crise financière, notamment la baisse des échanges internationaux, la collaboration entre les services douaniers et les opérateurs économiques s’avère indispensable ». C’est pourquoi, il a dit compter sur le potentiel logistique, la qualité des ressources humaines, ainsi que la riche expérience capitalisée par cette administration pour réussir l’adaptation qu’exigent les nouvelles normes en matière de commerce international. « Il se pose là, l’impérieuse nécessité pour nos services de s’adapter aux exigences nouvelles du commerce international afin de jouer pleinement leur rôle d’accompagnement de l’activité économique et de s’inscrire de façon irréversible dans la dynamique de la transition fiscale qui s’impose à nous », a rappelé l’argentier ivoirien. M. Bakayoko Aboudramane, Directeur général de l’OIC a, au nom du secteur privé, indiqué que le partenariat Douanes-secteur privé est une réalité en Côte d’Ivoire, à travers les actions menées par l’OCOD (Observatoire de la Célérité des Dédouanements). Toutefois, il a plaidé pour une dématérialisation des procédures. Car, convaincu que cela rendra plus fluides, les activités au niveau du port, M. Bakayoko Aboudramane a surtout insisté sur la mise en place d’un code de procédure, vulgarisé et connu de tous. Son souhait est que les marchandises soient accessibles dans un délai de 48 heures. Quant à la ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, Mme Amah Marie Téhoua, elle a traduit la reconnaissance du secteur privé au ministre de l’Economie et des Finances Charles Diby Koffi, pour les initiatives de concertation régulière, prises en faveur du secteur privé.
K.H
Placée sous l’égide de l’Organisation Mondiale des Douanes, la journée internationale est consacrée cette année au partenariat Douanes-Entreprises avec pour thème : « Douanes et Entreprises : améliorer la performance par le partenariat ». Cette cérémonie a été une fois de plus, l’occasion pour le gouvernement ivoirien, représenté par les ministres de l’Economie et finances , de l’Industrie et de la promotion du secteur privé, de démontrer qu’une politique ouverte et d’échange entre la douane et ses partenaires du secteur privé ne peut être que profitable, dans une période où la Côte d’Ivoire s’est inexorablement lancée dans la relance économique post-crise. «Nous avons besoin d’un secteur privé fort et d’une administration douanière forte », a déclaré Charles Diby Koffi ministre de l’Economie et des Finances. Pour lui, penser le partenariat « douane- secteur privé est pertinent d’autant que dans un contexte économique mondial marqué par les conséquences encore perceptibles de la crise financière, notamment la baisse des échanges internationaux, la collaboration entre les services douaniers et les opérateurs économiques s’avère indispensable ». C’est pourquoi, il a dit compter sur le potentiel logistique, la qualité des ressources humaines, ainsi que la riche expérience capitalisée par cette administration pour réussir l’adaptation qu’exigent les nouvelles normes en matière de commerce international. « Il se pose là, l’impérieuse nécessité pour nos services de s’adapter aux exigences nouvelles du commerce international afin de jouer pleinement leur rôle d’accompagnement de l’activité économique et de s’inscrire de façon irréversible dans la dynamique de la transition fiscale qui s’impose à nous », a rappelé l’argentier ivoirien. M. Bakayoko Aboudramane, Directeur général de l’OIC a, au nom du secteur privé, indiqué que le partenariat Douanes-secteur privé est une réalité en Côte d’Ivoire, à travers les actions menées par l’OCOD (Observatoire de la Célérité des Dédouanements). Toutefois, il a plaidé pour une dématérialisation des procédures. Car, convaincu que cela rendra plus fluides, les activités au niveau du port, M. Bakayoko Aboudramane a surtout insisté sur la mise en place d’un code de procédure, vulgarisé et connu de tous. Son souhait est que les marchandises soient accessibles dans un délai de 48 heures. Quant à la ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, Mme Amah Marie Téhoua, elle a traduit la reconnaissance du secteur privé au ministre de l’Economie et des Finances Charles Diby Koffi, pour les initiatives de concertation régulière, prises en faveur du secteur privé.
K.H
