Le président de la Fédération Ivoirienne de football, Jacques Anouma a animé une conférence de presse, lundi soir, à l’hôtel General de Cabinda. Morceaux choisis.
- L’élimination des Eléphants
«Ce n’est pas à un tel résultat qu’on s’attendait. Je crois qu’il faut tirer les leçons de cette élimination. Nous devons chercher à comprendre, comment en dix jours, on a pu voir deux visages des Eléphants. Nous avons manqué de solidarité sur le terrain, de fraîcheur physique. Nous allons chercher à poser les bonnes questions et à avoir les bonnes réponses. A la fin du match, je suis allé leur exprimer mon mécontentement. Je ne peux pas comprendre qu’une équipe comme la nôtre puisse prendre des buts dans les mêmes conditions».
-L’avenir de Vahid
«Lorsque certains de vos confrères me demandent de démissionner, c’est parce qu’ils sont accrochés à un trophée. Et pour avoir un trophée, il faut gagner. Nous n’avons pas gagné, nous allons tirer les conclusions. Si tous les avis convergent vers les techniciens, je prendrais des décisions. Nous allons analyser cas par cas. Un entraîneur, c’est d’abord les résultats, ce n’est pas l’amitié. Tous les grands noms, que vous citez tous les jours, sont jugés aux résultats. Quelques fois, après cinq titres, ils sont virés à la 6ème année, après un échec. Nous allons prendre des décisions. Mais je ne peux pas vous dire toute suite que Coach Vahid, c’est terminé».
- Des décisions à court terme
«Il n’y a plus de long terme. Posons-nous les bonnes questions. D’abord, ce qui n’a pas marché, tactiquement, physiquement, techniquement et autres. En fonction des réponses, nous allons arrêter des décisions. Je vais me remettre moi-même en cause. Je pense qu’aucun secteur ne sera épargné dans la réflexion. Mais cela ne se fera pas dans le sang, dans le feu. Je ne demande pas de complaisance, mais il faut qu’on se pose les bonnes questions».
- La démission de Jacques Anouma
«Personnellement, mon équipe et moi, avons fait ce que nous devons faire pour arriver à la Can dans les meilleures conditions possibles. L’Etat de Côte d’Ivoire a donné les moyens, mais le reste est une affaire de joueurs et de techniciens. La décision de rester ou de ne pas rester ne dépend pas de moi. Je vais rendre compte aux clubs. Ce sont eux qui décident, pas la rue».
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Luanda
- L’élimination des Eléphants
«Ce n’est pas à un tel résultat qu’on s’attendait. Je crois qu’il faut tirer les leçons de cette élimination. Nous devons chercher à comprendre, comment en dix jours, on a pu voir deux visages des Eléphants. Nous avons manqué de solidarité sur le terrain, de fraîcheur physique. Nous allons chercher à poser les bonnes questions et à avoir les bonnes réponses. A la fin du match, je suis allé leur exprimer mon mécontentement. Je ne peux pas comprendre qu’une équipe comme la nôtre puisse prendre des buts dans les mêmes conditions».
-L’avenir de Vahid
«Lorsque certains de vos confrères me demandent de démissionner, c’est parce qu’ils sont accrochés à un trophée. Et pour avoir un trophée, il faut gagner. Nous n’avons pas gagné, nous allons tirer les conclusions. Si tous les avis convergent vers les techniciens, je prendrais des décisions. Nous allons analyser cas par cas. Un entraîneur, c’est d’abord les résultats, ce n’est pas l’amitié. Tous les grands noms, que vous citez tous les jours, sont jugés aux résultats. Quelques fois, après cinq titres, ils sont virés à la 6ème année, après un échec. Nous allons prendre des décisions. Mais je ne peux pas vous dire toute suite que Coach Vahid, c’est terminé».
- Des décisions à court terme
«Il n’y a plus de long terme. Posons-nous les bonnes questions. D’abord, ce qui n’a pas marché, tactiquement, physiquement, techniquement et autres. En fonction des réponses, nous allons arrêter des décisions. Je vais me remettre moi-même en cause. Je pense qu’aucun secteur ne sera épargné dans la réflexion. Mais cela ne se fera pas dans le sang, dans le feu. Je ne demande pas de complaisance, mais il faut qu’on se pose les bonnes questions».
- La démission de Jacques Anouma
«Personnellement, mon équipe et moi, avons fait ce que nous devons faire pour arriver à la Can dans les meilleures conditions possibles. L’Etat de Côte d’Ivoire a donné les moyens, mais le reste est une affaire de joueurs et de techniciens. La décision de rester ou de ne pas rester ne dépend pas de moi. Je vais rendre compte aux clubs. Ce sont eux qui décident, pas la rue».
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Luanda