YAOUNDÉ - Le Français Paul Le Guen, sélectionneur de l'équipe de football du Cameroun, a estimé mercredi à Yaoundé que la défaite des Lions indomptables en quart de finale de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) en Angola n'était "pas un échec".
"Je considère que ce (la défaite) n'est pas un échec", a assuré devant la presse Le Guen, très critiqué au Cameroun depuis le match perdu contre l'Egypte (3-1), le 24 janvier, par les Lions indomptables, considérés au début de la compétition comme l'une des équipes favorites de la CAN.
"Je n'ai aucun regret. J'assume" (mes) choix tactiques et de joueurs, a-t-il ajouté.
"Il n'est pas question pour moi de rendre mon tablier", a affirmé le sélectionneur, réagissant à une invitation à démissionner d'un journaliste. "Pourquoi je le ferais? ", a-t-il dit, rappelant avoir réussi à qualifier le Cameroun pour la CAN et le Mondial de juin en Afrique du Sud alors que l'équipe était classée dernière de son groupe au moment de sa prise de fonction.
Accusé par la presse camerounaise de n'avoir pas su sélectionner correctement ses joueurs, M. Le Guen a répondu en affirmant qu'il avait entrepris un travail de "régénération" des Lions indomptables et qu'il allait le poursuivre.
Un stage rassemblant les "25 ou 30 meilleurs joueurs" évoluant dans le championnat camerounais sera d'ailleurs organisé prochainement pour déterminer si certains d'entre eux peuvent "concurrencer" l'actuelle sélection nationale, a-t-il annoncé, sans plus de précisions.
Interrogé sur ses ambitions pour le Mondial, Le Guen a demandé: "Est-ce choquant si je vous dis: aller en quart de finale d'une Coupe du monde, c'est déjà formidable?".
En 1990, le Cameroun avait été éliminé en quart de finale de la Coupe du monde, devenant la première équipe africaine à atteindre ce niveau dans cette compétition.
Nommé entraîneur du Cameroun en juillet 2009, Le Guen a prorogé mi-décembre son contrat pour huit mois supplémentaires.
"Je considère que ce (la défaite) n'est pas un échec", a assuré devant la presse Le Guen, très critiqué au Cameroun depuis le match perdu contre l'Egypte (3-1), le 24 janvier, par les Lions indomptables, considérés au début de la compétition comme l'une des équipes favorites de la CAN.
"Je n'ai aucun regret. J'assume" (mes) choix tactiques et de joueurs, a-t-il ajouté.
"Il n'est pas question pour moi de rendre mon tablier", a affirmé le sélectionneur, réagissant à une invitation à démissionner d'un journaliste. "Pourquoi je le ferais? ", a-t-il dit, rappelant avoir réussi à qualifier le Cameroun pour la CAN et le Mondial de juin en Afrique du Sud alors que l'équipe était classée dernière de son groupe au moment de sa prise de fonction.
Accusé par la presse camerounaise de n'avoir pas su sélectionner correctement ses joueurs, M. Le Guen a répondu en affirmant qu'il avait entrepris un travail de "régénération" des Lions indomptables et qu'il allait le poursuivre.
Un stage rassemblant les "25 ou 30 meilleurs joueurs" évoluant dans le championnat camerounais sera d'ailleurs organisé prochainement pour déterminer si certains d'entre eux peuvent "concurrencer" l'actuelle sélection nationale, a-t-il annoncé, sans plus de précisions.
Interrogé sur ses ambitions pour le Mondial, Le Guen a demandé: "Est-ce choquant si je vous dis: aller en quart de finale d'une Coupe du monde, c'est déjà formidable?".
En 1990, le Cameroun avait été éliminé en quart de finale de la Coupe du monde, devenant la première équipe africaine à atteindre ce niveau dans cette compétition.
Nommé entraîneur du Cameroun en juillet 2009, Le Guen a prorogé mi-décembre son contrat pour huit mois supplémentaires.