Le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi peut désormais être à l’aise face aux opérateurs économiques impliqués dans la réalisation de l’autoroute du Nord. Le Fonds saoudien de développement vient de lui doner un sommeil tranquille, en mettant à sa disposition 3,7 milliards de FCFA.
L’accord de prêt de 3,7 milliards de FCFA a été signé le mardi 26 janvier 2010, en présence du ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, Patrick Achi, ministre des Infrastructures économiques, le principal bénéficiaire et M. Hasan Alattas, directeur technique du Fonds saoudien de développement. Appréciant la franche collaboration entre la Côte d’Ivoire et le royaume de l’Arabie Saoudite, M. Hasan Alattas a indiqué l’importance de cet accord de prêt complémentaire. Il s’agit selon lui de renforcer l’intégration économique et régionale à travers l’amélioration des axes routiers. Cela, dans la mesure où c’est le moyen par excellence par lequel les peuples communiquent entre eux, effectuent des échanges commerciaux et économiques. Le directeur technique du Fonds saoudien de développement a par ailleurs réaffirmé le soutien du royaume de l’Arabie saoudite aux côtés de la Côte d’Ivoire en termes d’appui au développement. Ce qu’a salué Charles Diby Koffi, ministre de l’Economie et des Finances. Quant au ministre des Infrastructures économiques, il s’est réjoui de la mise à disposition de ce prêt complémentaire. Celui-ci le met à l’abri des pressions des entreprises. «Le dernier tronçon qui restait à financer était le tronçon Singrobo-Pacabo, pour lequel des accords de prêts sont en cours de signature. Ce prêt complémentaire dont on parle aujourd’hui, concerne le tronçon Taabo-Toumodi. Lorsque les évaluations ont été faites, initialement il y a une dizaine d’années, le coût de ce tronçon était autour de 4 milliards pour la partie concernant le fonds saoudien. Lorsque les appels ont été lancés plusieurs années plus tard, la part saoudienne était de 18 milliards de FCFA… Il fallait donc demander un prêt complémentaire qui permet effectivement de les réaliser. Nous avons donné l’accord de principe que les choses pouvaient démarrer en attendant que le prêt complémentaire soit signé… Et là, on vient de signer ce prêt complémentaire. Cela me soulage. Au-delà de ma personne, il libère toute la Côte d’Ivoire », a déclaré le ministre Patrick Achi. A ce jour, les interventions du Fonds saoudien s’élève à 13 milliards de F CFA.
Honoré Kouassi
L’accord de prêt de 3,7 milliards de FCFA a été signé le mardi 26 janvier 2010, en présence du ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, Patrick Achi, ministre des Infrastructures économiques, le principal bénéficiaire et M. Hasan Alattas, directeur technique du Fonds saoudien de développement. Appréciant la franche collaboration entre la Côte d’Ivoire et le royaume de l’Arabie Saoudite, M. Hasan Alattas a indiqué l’importance de cet accord de prêt complémentaire. Il s’agit selon lui de renforcer l’intégration économique et régionale à travers l’amélioration des axes routiers. Cela, dans la mesure où c’est le moyen par excellence par lequel les peuples communiquent entre eux, effectuent des échanges commerciaux et économiques. Le directeur technique du Fonds saoudien de développement a par ailleurs réaffirmé le soutien du royaume de l’Arabie saoudite aux côtés de la Côte d’Ivoire en termes d’appui au développement. Ce qu’a salué Charles Diby Koffi, ministre de l’Economie et des Finances. Quant au ministre des Infrastructures économiques, il s’est réjoui de la mise à disposition de ce prêt complémentaire. Celui-ci le met à l’abri des pressions des entreprises. «Le dernier tronçon qui restait à financer était le tronçon Singrobo-Pacabo, pour lequel des accords de prêts sont en cours de signature. Ce prêt complémentaire dont on parle aujourd’hui, concerne le tronçon Taabo-Toumodi. Lorsque les évaluations ont été faites, initialement il y a une dizaine d’années, le coût de ce tronçon était autour de 4 milliards pour la partie concernant le fonds saoudien. Lorsque les appels ont été lancés plusieurs années plus tard, la part saoudienne était de 18 milliards de FCFA… Il fallait donc demander un prêt complémentaire qui permet effectivement de les réaliser. Nous avons donné l’accord de principe que les choses pouvaient démarrer en attendant que le prêt complémentaire soit signé… Et là, on vient de signer ce prêt complémentaire. Cela me soulage. Au-delà de ma personne, il libère toute la Côte d’Ivoire », a déclaré le ministre Patrick Achi. A ce jour, les interventions du Fonds saoudien s’élève à 13 milliards de F CFA.
Honoré Kouassi
