Le samedi 23 janvier 2010, le président du PIT, candidat à l`élection présidentielle, Francis Wodié, communiquait la position du Parti ivoirien des Travailleurs sur ce qu`il est convenu d`appeler la crise au sein de la Commission électorale indépendante.
Le Pit, sur la base des faits portés à sa connaissance, par diverses voies, exigeait la démission du président de la Commission électorale indépendante.
Sans entrer dans les détails, on doit retenir que le président de la Commission électorale indépendante s`est arrogé le pouvoir, contre le gré du Bureau de la Cei et de la Commission Centrale de la Cei, d`effectuer des croisements additionnels postérieurement à la publication de la liste provisoire; une telle opération avait été jugée tardive et inopportune par la Cei qui l`avait signifié au président qui est passé outre sans en avoir informé ni le Bureau ni la Commission centrale de la Cei.
Dans quelle intention? A quelles fins? Pour quels résultats? S`était interrogé le Pit.
L`affaire éventée, le Président de la Cei et certains de ses collaborateurs, au lieu d`assumer honnêtement et courageusement leur attitude, ont tout nié en bloc, affirmant n`être au courant de rien, alors même que la mission a été effectuée pour le compte de la Cei et sur le budget de la Cei.
Cela seul suffit à justifier la décision du Pit exigeant la démission du Président de la Cei qui, se comportant ainsi, avait déjà démissionné de son rôle et de ses responsabilités, en jetant le doute et la suspicion sur la Commission électorale indépendante qui doit, en toutes circonstances, être au-dessus de tout soupçon.
C`est au nom de la vérité, de la justice, de la morale et de la confiance nécessaire que le Pit a pris, comme un devoir de conscience, une telle décision, afin de faire cesser toutes les suspicions qui pesaient sur la Commission électorale indépendante, pour qu`ainsi réhabilitée, elle puisse retrouver la plénitude de ses pouvoirs et prérogatives, pour pouvoir conduire, à titre exclusif et en toute responsabilité, l`ensemble des opérations liées aux élections, dans la confiance retrouvée.
Et voilà que face à cette situation encore extrêmement préoccupante et pleine de menaces pour le processus et la paix, M. le ministre Tagro, connu pour ses accointances politiques, engage, comme une provocation, une opération de la même vaine.
Que veut-on? Sommes-nous tous devenus fous?
Le télégramme (circulaire) du ministre, malgré la réinterprétation ou même la rétractation, s`offre comme une tentative de détournement de procédure (de pouvoirs) ou de récupération du processus électoral à la faveur de la crise de la Cei menée subrepticement.
Tout comme nous nous interrogions s`agissant de l`affaire des 429.000 personnes, nous devons nous demander dans quelle intention, à quelles fins, pour quels résultats et au profit de qui?
Même si le ministre en avait le droit, il devrait, en raison du contexte, se garder de mener une telle opération; à plus forte raison ici où la lettre et l`esprit de la loi lui interdisent fermement une telle entreprise pour le moins douteuse.
Le ministre Tagro et aucune autre autorité politique ou administrative ne doit s`immiscer, si peu que ce soit, de quelque manière que ce soit, de près ou de loin, dans la gestion des élections dont la responsabilité incombe, à titre exclusif, à la Commission électorale indépendante.
Voudrait-on, déjà, recueillir les dépouilles de la Cei qu`on aura ainsi, prématurément et furtivement enterrée.
Le Pit condamne vigoureusement toutes ces manœuvres, toutes ces tentatives, de quelques côtés qu`elles viennent, qui sont de nature à ajouter aux troubles, à entacher la crédibilité du processus et à le retarder indûment; et nous venons d`apprendre, à notre grande surprise, que le délai du contentieux électoral a été prorogé comme en cachette.
Le Premier ministre doit rappeler à l`ordre M. le ministre Tagro qui fait preuve d`un activisme de mauvais aloi, tout comme chaque Ministre doit être enfermé dans le strict champ de ses pouvoirs. Tout dépassement ou détournement doit amener son auteur à en répondre.
Non et non Messieurs! Attention! Attention!
Le ministre Tagro doit retirer purement et simplement, immédiatement et publiquement sa circulaire, et tout pouvoir doit être retiré en conséquence aux Préfets.
Nul ne doit vouloir ou pouvoir perturber pour retarder impunément le processus; et l`élection
présidentielle doit pouvoir se tenir à la date convenue (mars 2010), comme une compétition régulière, loyale, juste et transparente, garantissant l`égalité de traitement et l`égalité de chance de tous les candidats.
La concorde nationale doit revenir au plus tôt; mais il n`y a de concorde que dans la sincérité et la confiance.
Allons donc ensemble, en toute confiance et sérénité, à l`élection présidentielle pour en finir pour de bon avec cette crise.
Le samedi 23 janvier 2010, le président du PIT, candidat à l`élection présidentielle, Francis Wodié, communiquait la position du Parti ivoirien des Travailleurs sur ce qu`il est convenu d`appeler la crise au sein de la Commission électorale indépendante.
Le Pit, sur la base des faits portés à sa connaissance, par diverses voies, exigeait la démission du président de la Commission électorale indépendante.
Sans entrer dans les détails, on doit retenir que le président de la Commission électorale indépendante s`est arrogé le pouvoir, contre le gré du Bureau de la Cei et de la Commission Centrale de la Cei, d`effectuer des croisements additionnels postérieurement à la publication de la liste provisoire; une telle opération avait été jugée tardive et inopportune par la Cei qui l`avait signifié au président qui est passé outre sans en avoir informé ni le Bureau ni la Commission centrale de la Cei.
Dans quelle intention? A quelles fins? Pour quels résultats? S`était interrogé le Pit.
L`affaire éventée, le Président de la Cei et certains de ses collaborateurs, au lieu d`assumer honnêtement et courageusement leur attitude, ont tout nié en bloc, affirmant n`être au courant de rien, alors même que la mission a été effectuée pour le compte de la Cei et sur le budget de la Cei.
Cela seul suffit à justifier la décision du Pit exigeant la démission du Président de la Cei qui, se comportant ainsi, avait déjà démissionné de son rôle et de ses responsabilités, en jetant le doute et la suspicion sur la Commission électorale indépendante qui doit, en toutes circonstances, être au-dessus de tout soupçon.
C`est au nom de la vérité, de la justice, de la morale et de la confiance nécessaire que le Pit a pris, comme un devoir de conscience, une telle décision, afin de faire cesser toutes les suspicions qui pesaient sur la Commission électorale indépendante, pour qu`ainsi réhabilitée, elle puisse retrouver la plénitude de ses pouvoirs et prérogatives, pour pouvoir conduire, à titre exclusif et en toute responsabilité, l`ensemble des opérations liées aux élections, dans la confiance retrouvée.
Et voilà que face à cette situation encore extrêmement préoccupante et pleine de menaces pour le processus et la paix, M. le ministre Tagro, connu pour ses accointances politiques, engage, comme une provocation, une opération de la même vaine.
Que veut-on? Sommes-nous tous devenus fous?
Le télégramme (circulaire) du ministre, malgré la réinterprétation ou même la rétractation, s`offre comme une tentative de détournement de procédure (de pouvoirs) ou de récupération du processus électoral à la faveur de la crise de la Cei menée subrepticement.
Tout comme nous nous interrogions s`agissant de l`affaire des 429.000 personnes, nous devons nous demander dans quelle intention, à quelles fins, pour quels résultats et au profit de qui?
Même si le ministre en avait le droit, il devrait, en raison du contexte, se garder de mener une telle opération; à plus forte raison ici où la lettre et l`esprit de la loi lui interdisent fermement une telle entreprise pour le moins douteuse.
Le ministre Tagro et aucune autre autorité politique ou administrative ne doit s`immiscer, si peu que ce soit, de quelque manière que ce soit, de près ou de loin, dans la gestion des élections dont la responsabilité incombe, à titre exclusif, à la Commission électorale indépendante.
Voudrait-on, déjà, recueillir les dépouilles de la Cei qu`on aura ainsi, prématurément et furtivement enterrée.
Le Pit condamne vigoureusement toutes ces manœuvres, toutes ces tentatives, de quelques côtés qu`elles viennent, qui sont de nature à ajouter aux troubles, à entacher la crédibilité du processus et à le retarder indûment; et nous venons d`apprendre, à notre grande surprise, que le délai du contentieux électoral a été prorogé comme en cachette.
Le Premier ministre doit rappeler à l`ordre M. le ministre Tagro qui fait preuve d`un activisme de mauvais aloi, tout comme chaque Ministre doit être enfermé dans le strict champ de ses pouvoirs. Tout dépassement ou détournement doit amener son auteur à en répondre.
Non et non Messieurs! Attention! Attention!
Le ministre Tagro doit retirer purement et simplement, immédiatement et publiquement sa circulaire, et tout pouvoir doit être retiré en conséquence aux Préfets.
Nul ne doit vouloir ou pouvoir perturber pour retarder impunément le processus; et l`élection
présidentielle doit pouvoir se tenir à la date convenue (mars 2010), comme une compétition régulière, loyale, juste et transparente, garantissant l`égalité de traitement et l`égalité de chance de tous les candidats.
La concorde nationale doit revenir au plus tôt; mais il n`y a de concorde que dans la sincérité et la confiance.
Allons donc ensemble, en toute confiance et sérénité, à l`élection présidentielle pour en finir pour de bon avec cette crise.
Et le plus tôt sera le mieux.
Abidjan, le 26 janvier 2010
Le président du PIT
Francis Wodié
Le Pit, sur la base des faits portés à sa connaissance, par diverses voies, exigeait la démission du président de la Commission électorale indépendante.
Sans entrer dans les détails, on doit retenir que le président de la Commission électorale indépendante s`est arrogé le pouvoir, contre le gré du Bureau de la Cei et de la Commission Centrale de la Cei, d`effectuer des croisements additionnels postérieurement à la publication de la liste provisoire; une telle opération avait été jugée tardive et inopportune par la Cei qui l`avait signifié au président qui est passé outre sans en avoir informé ni le Bureau ni la Commission centrale de la Cei.
Dans quelle intention? A quelles fins? Pour quels résultats? S`était interrogé le Pit.
L`affaire éventée, le Président de la Cei et certains de ses collaborateurs, au lieu d`assumer honnêtement et courageusement leur attitude, ont tout nié en bloc, affirmant n`être au courant de rien, alors même que la mission a été effectuée pour le compte de la Cei et sur le budget de la Cei.
Cela seul suffit à justifier la décision du Pit exigeant la démission du Président de la Cei qui, se comportant ainsi, avait déjà démissionné de son rôle et de ses responsabilités, en jetant le doute et la suspicion sur la Commission électorale indépendante qui doit, en toutes circonstances, être au-dessus de tout soupçon.
C`est au nom de la vérité, de la justice, de la morale et de la confiance nécessaire que le Pit a pris, comme un devoir de conscience, une telle décision, afin de faire cesser toutes les suspicions qui pesaient sur la Commission électorale indépendante, pour qu`ainsi réhabilitée, elle puisse retrouver la plénitude de ses pouvoirs et prérogatives, pour pouvoir conduire, à titre exclusif et en toute responsabilité, l`ensemble des opérations liées aux élections, dans la confiance retrouvée.
Et voilà que face à cette situation encore extrêmement préoccupante et pleine de menaces pour le processus et la paix, M. le ministre Tagro, connu pour ses accointances politiques, engage, comme une provocation, une opération de la même vaine.
Que veut-on? Sommes-nous tous devenus fous?
Le télégramme (circulaire) du ministre, malgré la réinterprétation ou même la rétractation, s`offre comme une tentative de détournement de procédure (de pouvoirs) ou de récupération du processus électoral à la faveur de la crise de la Cei menée subrepticement.
Tout comme nous nous interrogions s`agissant de l`affaire des 429.000 personnes, nous devons nous demander dans quelle intention, à quelles fins, pour quels résultats et au profit de qui?
Même si le ministre en avait le droit, il devrait, en raison du contexte, se garder de mener une telle opération; à plus forte raison ici où la lettre et l`esprit de la loi lui interdisent fermement une telle entreprise pour le moins douteuse.
Le ministre Tagro et aucune autre autorité politique ou administrative ne doit s`immiscer, si peu que ce soit, de quelque manière que ce soit, de près ou de loin, dans la gestion des élections dont la responsabilité incombe, à titre exclusif, à la Commission électorale indépendante.
Voudrait-on, déjà, recueillir les dépouilles de la Cei qu`on aura ainsi, prématurément et furtivement enterrée.
Le Pit condamne vigoureusement toutes ces manœuvres, toutes ces tentatives, de quelques côtés qu`elles viennent, qui sont de nature à ajouter aux troubles, à entacher la crédibilité du processus et à le retarder indûment; et nous venons d`apprendre, à notre grande surprise, que le délai du contentieux électoral a été prorogé comme en cachette.
Le Premier ministre doit rappeler à l`ordre M. le ministre Tagro qui fait preuve d`un activisme de mauvais aloi, tout comme chaque Ministre doit être enfermé dans le strict champ de ses pouvoirs. Tout dépassement ou détournement doit amener son auteur à en répondre.
Non et non Messieurs! Attention! Attention!
Le ministre Tagro doit retirer purement et simplement, immédiatement et publiquement sa circulaire, et tout pouvoir doit être retiré en conséquence aux Préfets.
Nul ne doit vouloir ou pouvoir perturber pour retarder impunément le processus; et l`élection
présidentielle doit pouvoir se tenir à la date convenue (mars 2010), comme une compétition régulière, loyale, juste et transparente, garantissant l`égalité de traitement et l`égalité de chance de tous les candidats.
La concorde nationale doit revenir au plus tôt; mais il n`y a de concorde que dans la sincérité et la confiance.
Allons donc ensemble, en toute confiance et sérénité, à l`élection présidentielle pour en finir pour de bon avec cette crise.
Le samedi 23 janvier 2010, le président du PIT, candidat à l`élection présidentielle, Francis Wodié, communiquait la position du Parti ivoirien des Travailleurs sur ce qu`il est convenu d`appeler la crise au sein de la Commission électorale indépendante.
Le Pit, sur la base des faits portés à sa connaissance, par diverses voies, exigeait la démission du président de la Commission électorale indépendante.
Sans entrer dans les détails, on doit retenir que le président de la Commission électorale indépendante s`est arrogé le pouvoir, contre le gré du Bureau de la Cei et de la Commission Centrale de la Cei, d`effectuer des croisements additionnels postérieurement à la publication de la liste provisoire; une telle opération avait été jugée tardive et inopportune par la Cei qui l`avait signifié au président qui est passé outre sans en avoir informé ni le Bureau ni la Commission centrale de la Cei.
Dans quelle intention? A quelles fins? Pour quels résultats? S`était interrogé le Pit.
L`affaire éventée, le Président de la Cei et certains de ses collaborateurs, au lieu d`assumer honnêtement et courageusement leur attitude, ont tout nié en bloc, affirmant n`être au courant de rien, alors même que la mission a été effectuée pour le compte de la Cei et sur le budget de la Cei.
Cela seul suffit à justifier la décision du Pit exigeant la démission du Président de la Cei qui, se comportant ainsi, avait déjà démissionné de son rôle et de ses responsabilités, en jetant le doute et la suspicion sur la Commission électorale indépendante qui doit, en toutes circonstances, être au-dessus de tout soupçon.
C`est au nom de la vérité, de la justice, de la morale et de la confiance nécessaire que le Pit a pris, comme un devoir de conscience, une telle décision, afin de faire cesser toutes les suspicions qui pesaient sur la Commission électorale indépendante, pour qu`ainsi réhabilitée, elle puisse retrouver la plénitude de ses pouvoirs et prérogatives, pour pouvoir conduire, à titre exclusif et en toute responsabilité, l`ensemble des opérations liées aux élections, dans la confiance retrouvée.
Et voilà que face à cette situation encore extrêmement préoccupante et pleine de menaces pour le processus et la paix, M. le ministre Tagro, connu pour ses accointances politiques, engage, comme une provocation, une opération de la même vaine.
Que veut-on? Sommes-nous tous devenus fous?
Le télégramme (circulaire) du ministre, malgré la réinterprétation ou même la rétractation, s`offre comme une tentative de détournement de procédure (de pouvoirs) ou de récupération du processus électoral à la faveur de la crise de la Cei menée subrepticement.
Tout comme nous nous interrogions s`agissant de l`affaire des 429.000 personnes, nous devons nous demander dans quelle intention, à quelles fins, pour quels résultats et au profit de qui?
Même si le ministre en avait le droit, il devrait, en raison du contexte, se garder de mener une telle opération; à plus forte raison ici où la lettre et l`esprit de la loi lui interdisent fermement une telle entreprise pour le moins douteuse.
Le ministre Tagro et aucune autre autorité politique ou administrative ne doit s`immiscer, si peu que ce soit, de quelque manière que ce soit, de près ou de loin, dans la gestion des élections dont la responsabilité incombe, à titre exclusif, à la Commission électorale indépendante.
Voudrait-on, déjà, recueillir les dépouilles de la Cei qu`on aura ainsi, prématurément et furtivement enterrée.
Le Pit condamne vigoureusement toutes ces manœuvres, toutes ces tentatives, de quelques côtés qu`elles viennent, qui sont de nature à ajouter aux troubles, à entacher la crédibilité du processus et à le retarder indûment; et nous venons d`apprendre, à notre grande surprise, que le délai du contentieux électoral a été prorogé comme en cachette.
Le Premier ministre doit rappeler à l`ordre M. le ministre Tagro qui fait preuve d`un activisme de mauvais aloi, tout comme chaque Ministre doit être enfermé dans le strict champ de ses pouvoirs. Tout dépassement ou détournement doit amener son auteur à en répondre.
Non et non Messieurs! Attention! Attention!
Le ministre Tagro doit retirer purement et simplement, immédiatement et publiquement sa circulaire, et tout pouvoir doit être retiré en conséquence aux Préfets.
Nul ne doit vouloir ou pouvoir perturber pour retarder impunément le processus; et l`élection
présidentielle doit pouvoir se tenir à la date convenue (mars 2010), comme une compétition régulière, loyale, juste et transparente, garantissant l`égalité de traitement et l`égalité de chance de tous les candidats.
La concorde nationale doit revenir au plus tôt; mais il n`y a de concorde que dans la sincérité et la confiance.
Allons donc ensemble, en toute confiance et sérénité, à l`élection présidentielle pour en finir pour de bon avec cette crise.
Et le plus tôt sera le mieux.
Abidjan, le 26 janvier 2010
Le président du PIT
Francis Wodié