LUANDA - Ikea. Les autorités angolaises avaient tout fait pour attirer le fabriquant suédois de meubles à Cabinda, qui avait entamé des négociations pour y créer son siège en Afrique. Malheureusement pour le gouvernement Dos Santos, les "évènements" survenus autour de l'équipe du Togo ont fait réfléchir les dirigeants de la marque qui ont finalement préféré annuler leur projet.
"17h sur le grand stade". Que les Nigérians soient à Benguela, Lubango ou Luanda, c'est la même réponse systématique que leur attaché de presse formule quand on s'intéresse à l'entraînement de l'équipe. Soit il est particulièrement mal informé, soit il fait tout son possible pour égarer les éventuels observateurs qui veulent suivre les Super Eagles car, depuis le début, les séances n'ont jamais eu lieu sur le fameux "grand stade". Mercredi, il a encore tenté le coup en prétendant que l'équipe s'entraînerait au stade du 11 Novembre... ce qu'aucune autre n'avait eu le droit de faire !
Retour. Opéré de l'appendicite juste avant de rallier l'Angola, ce qui lui avait valu de sortir du groupe algérien et de laisser sa place à Chaouchi, le gardien Gaouaoui, revenu pour voir ses coéquipiers, a pu s'entraîner normalement et en solo mercredi.
Répétition. Les Nigérians ont reconnu après-coup qu'ils s'étaient spécifiquement entraîné aux tirs au but, deux jours avant leur séance fatidique contre la Zambie en quart. "Tout le monde a tiré de la même façon qu'à l'entraînement", a ainsi expliqué le milieu Kaita. Et les Super Eagles ont transformé leurs cinq tentatives.
Invités. Aux journalistes qui s'étonnent que certaines équipes refusent tout contact avec la presse à la veille d'un match (comme l'Egypte et le Nigeria), la CAF répond qu'elle "invite" seulement les équipes à tenir des conférences de presse. Une invitation sans pouvoir contraignant. "Nous allons demander au bureau exécutif qu'on rende les points-presse obligatoires pour la prochaine CAN", a promis un membre de la CAF. Elle y est "invitée" par l'ensemble de la presse et des amateurs de football africain...
Présidents. Le président de la Fifa, Joseph Blatter, est arrivé jeudi à Luanda et a été accueilli à l'aéroport par les présidents de la CAF Issa Hayatou et de la Fédération angolaise (FAF) et du Cocan (comité d'organisation de la CAN), Justino Fernandes.
Mea culpa. Le gardien de l'Angola, Carlos, fait son mea culpa sur le but encaissé devant le Ghana en quart de finale (1-0), expliquant qu'il avait été pris de court par la "soudaineté" de la frappe de Gyan et qu'il en avait des "remords". "J'ai été surpris par ce tir, sinon, je n'aurais pas encaissé ce but", s'est-il lamenté.
Indécis. L'attaquant angolais Mantorras se demande s'il doit arrêter ou non la sélection. Une décision lourde. "Je ne suis plus un jeunot. Je dois laisser la place aux jeunes, mais c'est une décision que je dois prendre avec ma famille", a dit le joueur du Benfica Lisbonne, laissant ainsi planer le suspense.
"17h sur le grand stade". Que les Nigérians soient à Benguela, Lubango ou Luanda, c'est la même réponse systématique que leur attaché de presse formule quand on s'intéresse à l'entraînement de l'équipe. Soit il est particulièrement mal informé, soit il fait tout son possible pour égarer les éventuels observateurs qui veulent suivre les Super Eagles car, depuis le début, les séances n'ont jamais eu lieu sur le fameux "grand stade". Mercredi, il a encore tenté le coup en prétendant que l'équipe s'entraînerait au stade du 11 Novembre... ce qu'aucune autre n'avait eu le droit de faire !
Retour. Opéré de l'appendicite juste avant de rallier l'Angola, ce qui lui avait valu de sortir du groupe algérien et de laisser sa place à Chaouchi, le gardien Gaouaoui, revenu pour voir ses coéquipiers, a pu s'entraîner normalement et en solo mercredi.
Répétition. Les Nigérians ont reconnu après-coup qu'ils s'étaient spécifiquement entraîné aux tirs au but, deux jours avant leur séance fatidique contre la Zambie en quart. "Tout le monde a tiré de la même façon qu'à l'entraînement", a ainsi expliqué le milieu Kaita. Et les Super Eagles ont transformé leurs cinq tentatives.
Invités. Aux journalistes qui s'étonnent que certaines équipes refusent tout contact avec la presse à la veille d'un match (comme l'Egypte et le Nigeria), la CAF répond qu'elle "invite" seulement les équipes à tenir des conférences de presse. Une invitation sans pouvoir contraignant. "Nous allons demander au bureau exécutif qu'on rende les points-presse obligatoires pour la prochaine CAN", a promis un membre de la CAF. Elle y est "invitée" par l'ensemble de la presse et des amateurs de football africain...
Présidents. Le président de la Fifa, Joseph Blatter, est arrivé jeudi à Luanda et a été accueilli à l'aéroport par les présidents de la CAF Issa Hayatou et de la Fédération angolaise (FAF) et du Cocan (comité d'organisation de la CAN), Justino Fernandes.
Mea culpa. Le gardien de l'Angola, Carlos, fait son mea culpa sur le but encaissé devant le Ghana en quart de finale (1-0), expliquant qu'il avait été pris de court par la "soudaineté" de la frappe de Gyan et qu'il en avait des "remords". "J'ai été surpris par ce tir, sinon, je n'aurais pas encaissé ce but", s'est-il lamenté.
Indécis. L'attaquant angolais Mantorras se demande s'il doit arrêter ou non la sélection. Une décision lourde. "Je ne suis plus un jeunot. Je dois laisser la place aux jeunes, mais c'est une décision que je dois prendre avec ma famille", a dit le joueur du Benfica Lisbonne, laissant ainsi planer le suspense.
