"Le penalty nous a assommé, c'est un scandale!": la plupart des clients de ce restaurant au centre d'Alger mettaient en cause l'arbitrage après la défaite de l'Algérie devant l'Egypte (0-4) jeudi soir à Benguela en Angola, en demi-finale de la Coupe d'Afrique des nations.
"Un joueur ne peut marquer un temps d'arrêt avant de tirer un penalty", dit Rachid, un quinquagénaire furieux du geste de l'Egyptien Hosni Abd Rabou à la 39e minute face au gardien algérien Chaouchi.
"Les voir jouer à dix pendant plus d'une mi-temps" après l'expulsion de Rafik Halliche, "encaisser encore trois buts et subir l'expulsion de Chaouchi en plus a été vraiment stressant", renchérit un de ses amis, dont le visage exprime une profonde déception.
"Le meilleur gagne et ce n'est pas la fin du monde, nous sommes qualifiés pour le Mondial, c'est quand même autre chose", tempère cependant Youssef, la trentaine, approuvé par plusieurs clients attablés.
Si la déception était bien perceptible à Alger, des centaines de personnes ont cependant tenu à manifester dans les rues, mais très loin du joyeux vacarme qui a marqué les matches gagnés par l'équipe algérienne jusqu'à la qualification au Mondial et cette demi-finale.
A pied ou en voiture, des jeunes arborant le drapeau national ont entonné des slogans à la gloire des Verts. "L'équipe n'a pas démérité dans ce tournoi et on veut la saluer", déclare l'un d'entre eux, assis à la portière d'un véhicule.
Pour les mêmes raisons, des habitants d'Oran ont aussi chanté et dansé malgré la défaite, a témoigné l'un d'entre eux, joint au téléphone.
Depuis le début de la soirée, un dispositif policier dissuasif avait été mis en place à Alger devant des établissements égyptiens dont des magasins de téléphonie mobile arborant le sigle d'une filiale du groupe Orascom-Télécom.
Le siège algérois de cette société notamment avait été attaqué et endommagé par des manifestants après le match entre l'Algérie et l'Egypte le 14 novembre au Caire, où le bus de l'équipe algérienne avait été caillassé avant cette rencontre comptant pour les qualifications au Mondial 2010 en Afrique du Sud.
"Un joueur ne peut marquer un temps d'arrêt avant de tirer un penalty", dit Rachid, un quinquagénaire furieux du geste de l'Egyptien Hosni Abd Rabou à la 39e minute face au gardien algérien Chaouchi.
"Les voir jouer à dix pendant plus d'une mi-temps" après l'expulsion de Rafik Halliche, "encaisser encore trois buts et subir l'expulsion de Chaouchi en plus a été vraiment stressant", renchérit un de ses amis, dont le visage exprime une profonde déception.
"Le meilleur gagne et ce n'est pas la fin du monde, nous sommes qualifiés pour le Mondial, c'est quand même autre chose", tempère cependant Youssef, la trentaine, approuvé par plusieurs clients attablés.
Si la déception était bien perceptible à Alger, des centaines de personnes ont cependant tenu à manifester dans les rues, mais très loin du joyeux vacarme qui a marqué les matches gagnés par l'équipe algérienne jusqu'à la qualification au Mondial et cette demi-finale.
A pied ou en voiture, des jeunes arborant le drapeau national ont entonné des slogans à la gloire des Verts. "L'équipe n'a pas démérité dans ce tournoi et on veut la saluer", déclare l'un d'entre eux, assis à la portière d'un véhicule.
Pour les mêmes raisons, des habitants d'Oran ont aussi chanté et dansé malgré la défaite, a témoigné l'un d'entre eux, joint au téléphone.
Depuis le début de la soirée, un dispositif policier dissuasif avait été mis en place à Alger devant des établissements égyptiens dont des magasins de téléphonie mobile arborant le sigle d'une filiale du groupe Orascom-Télécom.
Le siège algérois de cette société notamment avait été attaqué et endommagé par des manifestants après le match entre l'Algérie et l'Egypte le 14 novembre au Caire, où le bus de l'équipe algérienne avait été caillassé avant cette rencontre comptant pour les qualifications au Mondial 2010 en Afrique du Sud.