L’Algérie est encore rouge de colère contre le togolais Coffi Codja qui serait, selon les Fennecs, responsable de leur large défaite et élimination face à l’Egypte vendredi dernier à Benguela. Dans cette demi-finale explosive, l’homme en noir avait expulsé trois Algériens et les Pharaons l’avaient emporté 4-0 pour se hisser pour la troisième fois consécutive en finale. Les Fennecs ont-ils digéré cette défaite ? En tout cas, s’ils veulent monter sur la troisième marche du podium, il le faut.
Car cet après-midi à Benguela, ils disputeront la petite finale face aux Aigles nigérians qui n’ont pu échapper au piège ghanéen. Battus par le plus petit score alors qu’ils se sont créés une multitude d’occasions, Peter Odemwingie et ses camarades peuvent être frustrés de passer si près d’une finale de CAN. Mais, ils ont encore l’occasion de redresser la tête pour un envol plus digne de leur statut de mondialiste. En effet, la bataille entre le Nigeria et l’Algérie est un combat entre mondialistes, car ces deux pays figurent parmi les six représentants du continent au mondial africain. Deux grandes nations de football pour une affiche qui a failli être celle de la finale. Comme en 1980 ou en 1990. A Lagos, les Super Eagles avaient surclassé en finale les nord-africains pour remporter le trophée continental. Et dix ans après, en 1990 à Alger, les Fennecs prenaient leur revanche pour devenir les Rois d’Afrique.
Aujourd’hui (16h GMT), même s’il ne s’agit pas de remporter la coupe, le public attendra de ces deux mondialistes un spectacle de toute beauté.
KL
Car cet après-midi à Benguela, ils disputeront la petite finale face aux Aigles nigérians qui n’ont pu échapper au piège ghanéen. Battus par le plus petit score alors qu’ils se sont créés une multitude d’occasions, Peter Odemwingie et ses camarades peuvent être frustrés de passer si près d’une finale de CAN. Mais, ils ont encore l’occasion de redresser la tête pour un envol plus digne de leur statut de mondialiste. En effet, la bataille entre le Nigeria et l’Algérie est un combat entre mondialistes, car ces deux pays figurent parmi les six représentants du continent au mondial africain. Deux grandes nations de football pour une affiche qui a failli être celle de la finale. Comme en 1980 ou en 1990. A Lagos, les Super Eagles avaient surclassé en finale les nord-africains pour remporter le trophée continental. Et dix ans après, en 1990 à Alger, les Fennecs prenaient leur revanche pour devenir les Rois d’Afrique.
Aujourd’hui (16h GMT), même s’il ne s’agit pas de remporter la coupe, le public attendra de ces deux mondialistes un spectacle de toute beauté.
KL