«Je crois que nous avons pris la bonne décision. Si c’était à refaire, nous le referions. Car depuis trois mois, toutes les réservations satellitaires étaient prêtes. On ne pouvait arrêter la compétition et observer trois jours de deuil et la reprendre après. C’était inimaginable. Si nous avions pris cette décision, vous seriez les premiers à nous critiquer. Le gouverneur de Cabinda nous a dit qu’il avait demandé à la délégation togolaise de ne pas prendre la route. C’est lui qui nous l’a dit. Mais à sa grande surprise, au moment où il était à une cérémonie, il apprend que les Togolais étaient déjà à la frontière. Et c’est comme ça qu’il a dépêché des forces de l’ordre pour les escorter. Et c’est de cette escorte dont on parle. Je crois qu’il faut éviter de jeter de l’huile sur le feu. Nous n’avons jamais accusé le gouvernement du Togo, car il y a eu morts d’homme. Nous n’avons jamais disqualifié l’équipe du Togo, ce sont les journalistes qui l’ont dit. Nous ne l’avons jamais dit. Nous avons seulement pris acte de leur départ et nous avons décidé de poursuivre la compétition avec les autres équipes du groupe».
L’arbitrage
«Dans une compétition d’une telle envergure, il y a forcement des erreurs d’arbitrage. Même à la Coupe du monde et à l’Euro, il y a des erreurs d’arbitrage. Et ce n’est pas volontairement que les arbitres font des erreurs. Ce sont des hommes. Vous-mêmes, vous écrivez souvent des articles qui ne sont pas justes. Malgré que vous êtes confortablement assis dans vos salons ou dans vos bureaux, sans pression, vous commettez des erreurs».
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Luanda
L’arbitrage
«Dans une compétition d’une telle envergure, il y a forcement des erreurs d’arbitrage. Même à la Coupe du monde et à l’Euro, il y a des erreurs d’arbitrage. Et ce n’est pas volontairement que les arbitres font des erreurs. Ce sont des hommes. Vous-mêmes, vous écrivez souvent des articles qui ne sont pas justes. Malgré que vous êtes confortablement assis dans vos salons ou dans vos bureaux, sans pression, vous commettez des erreurs».
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Luanda