Comme toute femme, j’ai désiré très tôt avoir des enfants, j’ai tenté plusieurs années d’abord naturellement et puis je suis rentrée dans le cycle infernal des visites gynécologiques avec examens, prises de sang, injections pour stimulation ovarienne etc.
Pendant 15 ans, j’ai cherché à être enceinte. On m’a tout diagnostiqué: dystrophie ovarienne, inclinaison de l’utérus, jusqu’à même le cancer. En plus de l’angoisse qui m’habitait, j’étais la risée de mes amies mais aussi des inconnues dans certains services.
Malgré les moqueries et les phrases déplacées de certaines personnes, je menais mon combat avec courage. Le premier médecin qui me suivait a tiré une conclusion négative sur ma possibilité de faire un enfant. J’ai donc changé plusieurs fois de médecin, espérant avoir un autre verdict, en vain... Alors un jour, j’ai décidé de tout abandonné. J’ai décidé d’arrêter tout traitement, tout suivi. J’en avais marre et pour moi, ce n’était plus possible. Il fallait se résoudre à accepter cette dure réalité. J’étais fatiguée...
Et puis un jour, quand j’ai eu 36 ans, noyée dans le désespoir, j’ai eu envie de parler à mon Seigneur, ma douleur était trop forte, presqu’insurmontable. J’avais tellement envie de lui parler que je lui ai écrit une lettre dans laquelle j’ai décrit ma douleur, mon désarroi et j’ai imploré sa miséricorde sur ma souffrance.Ne sachant pas où la poster, je l’ai mise dans la bible. J’avais déjà oublié ce fort moment de détresse quand un mois après, je découvre que je suis enceinte! DIEU aurait-il entendu ma prière? Je n’y croyais pas et pire, les médecins non plus! On m’a demandé de ne pas crié victoire tant que des examens plus approfondis n’avaient pas été faits. Là encore je suis passée par nombres d’examens qui se sont révélés tous POSITIFS. Oui, j’étais enceinte, à la surprise générale.
J’ai porté ma grossesse dans la plus grande plénitude. Il m’arrivait parfois de me lever le matin et de toucher mon ventre en me demandant encore si c’était vraiment le mien. J’avais envie de crier ma joie si fort qu’un jour, je me suis presque déguisée et j’ai mis mon ventre en évidence, j’ai appelé un photographe et j’ai fait des photos pour montrer au monde entier que cet enfant, je l’ai réellement porté. J’avais été trop humiliée... J’avais besoin de montrer à ceux qui n’y croyait pas que moi aussi je pouvais porter un enfant.
J’ai accouché sans trop de peine, par voie basse. Lors des nombreuses visites que j’ai reçues, quelqu’un m’a lancé en plein visage «ah enfin! Tu arrêteras de faire des chiens tes enfants..» Quelle injure! La dernière sans doute pour ce qui concerne ma fertilité car désormais, comme toute femme, j’étais moi aussi mère. Plus rien ne me heurtait désormais.
Un an après mon premier fils, ma fille a vu le jour, nous étions en 2004. En 2005, c’était au tour de mon deuxième garçon de voir le jour. En 2006 et 2007, j’ai perdu deux grossesses successives (ce qui n’a pas troublé mon bonheur) et en 2008 ma dernière ( en date!) est venue au monde. Ma fille a un an et j’avoue que je prends mes précautions pour éviter d’en faire un cinquième! Alors pour celles qui désespèrent, sachez que Dieu nous exauce, mais en son temps... persévérez, ça en vaut la peine!
Le témoignage de Madame DAYATO devrait être une leçon d’encouragement et d’espoir pour toutes ces femmes qui souffrent tous les jours, attendant désespéremment que Dieu entende leur prière et exauce leur voeu le plus cher. Ne baissez jamais les bras Mesdames, la récompense est au bout de l’effort! Tant que vous n’avez pas en main un bébé , n’abandonnez pas! Un jour, vous serez surprise...
Pendant 15 ans, j’ai cherché à être enceinte. On m’a tout diagnostiqué: dystrophie ovarienne, inclinaison de l’utérus, jusqu’à même le cancer. En plus de l’angoisse qui m’habitait, j’étais la risée de mes amies mais aussi des inconnues dans certains services.
Malgré les moqueries et les phrases déplacées de certaines personnes, je menais mon combat avec courage. Le premier médecin qui me suivait a tiré une conclusion négative sur ma possibilité de faire un enfant. J’ai donc changé plusieurs fois de médecin, espérant avoir un autre verdict, en vain... Alors un jour, j’ai décidé de tout abandonné. J’ai décidé d’arrêter tout traitement, tout suivi. J’en avais marre et pour moi, ce n’était plus possible. Il fallait se résoudre à accepter cette dure réalité. J’étais fatiguée...
Et puis un jour, quand j’ai eu 36 ans, noyée dans le désespoir, j’ai eu envie de parler à mon Seigneur, ma douleur était trop forte, presqu’insurmontable. J’avais tellement envie de lui parler que je lui ai écrit une lettre dans laquelle j’ai décrit ma douleur, mon désarroi et j’ai imploré sa miséricorde sur ma souffrance.Ne sachant pas où la poster, je l’ai mise dans la bible. J’avais déjà oublié ce fort moment de détresse quand un mois après, je découvre que je suis enceinte! DIEU aurait-il entendu ma prière? Je n’y croyais pas et pire, les médecins non plus! On m’a demandé de ne pas crié victoire tant que des examens plus approfondis n’avaient pas été faits. Là encore je suis passée par nombres d’examens qui se sont révélés tous POSITIFS. Oui, j’étais enceinte, à la surprise générale.
J’ai porté ma grossesse dans la plus grande plénitude. Il m’arrivait parfois de me lever le matin et de toucher mon ventre en me demandant encore si c’était vraiment le mien. J’avais envie de crier ma joie si fort qu’un jour, je me suis presque déguisée et j’ai mis mon ventre en évidence, j’ai appelé un photographe et j’ai fait des photos pour montrer au monde entier que cet enfant, je l’ai réellement porté. J’avais été trop humiliée... J’avais besoin de montrer à ceux qui n’y croyait pas que moi aussi je pouvais porter un enfant.
J’ai accouché sans trop de peine, par voie basse. Lors des nombreuses visites que j’ai reçues, quelqu’un m’a lancé en plein visage «ah enfin! Tu arrêteras de faire des chiens tes enfants..» Quelle injure! La dernière sans doute pour ce qui concerne ma fertilité car désormais, comme toute femme, j’étais moi aussi mère. Plus rien ne me heurtait désormais.
Un an après mon premier fils, ma fille a vu le jour, nous étions en 2004. En 2005, c’était au tour de mon deuxième garçon de voir le jour. En 2006 et 2007, j’ai perdu deux grossesses successives (ce qui n’a pas troublé mon bonheur) et en 2008 ma dernière ( en date!) est venue au monde. Ma fille a un an et j’avoue que je prends mes précautions pour éviter d’en faire un cinquième! Alors pour celles qui désespèrent, sachez que Dieu nous exauce, mais en son temps... persévérez, ça en vaut la peine!
Le témoignage de Madame DAYATO devrait être une leçon d’encouragement et d’espoir pour toutes ces femmes qui souffrent tous les jours, attendant désespéremment que Dieu entende leur prière et exauce leur voeu le plus cher. Ne baissez jamais les bras Mesdames, la récompense est au bout de l’effort! Tant que vous n’avez pas en main un bébé , n’abandonnez pas! Un jour, vous serez surprise...