LUANDA - Le ministre des Sports angolais s'est engagé lundi à ce que les quatre stades construits pour la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2010) soient utilisés de manière rentable, précisant qu'une réflexion était en cours sur leur future utilisation.
"Nous avons besoin de prendre des mesures pour qu'ils ne deviennent pas un fardeau pour l'Etat. Une attention spéciale sera portée sur leur utilisation, leur entretien et leur rentabilité", a déclaré le ministre Gonçalves Muandumba à la radio nationale.
L'Angola envisage de créer un organisme public pour superviser la gestion des quatre stades, a-t-il dit, précisant qu'une étude avait été menée pendant plus d'un an pour collecter des idées dans des pays comme le Portugal, l'Espagne et l'Allemagne.
Les quatre stades ont été construits par des entreprises chinoises à Luanda, Benguela, Lubango (sud) et Cabinda (nord) pour un montant de 600 millions de dollars (431 millions d'euros).
L'Angola, riche pays pétrolier où les deux-tiers des 17 millions d'habitants vivent dans la pauvreté, a dépensé plus de un milliard de dollars pour accueillir la CAN-2010, remportée dimanche par l'Egypte.
"Nous avons besoin de prendre des mesures pour qu'ils ne deviennent pas un fardeau pour l'Etat. Une attention spéciale sera portée sur leur utilisation, leur entretien et leur rentabilité", a déclaré le ministre Gonçalves Muandumba à la radio nationale.
L'Angola envisage de créer un organisme public pour superviser la gestion des quatre stades, a-t-il dit, précisant qu'une étude avait été menée pendant plus d'un an pour collecter des idées dans des pays comme le Portugal, l'Espagne et l'Allemagne.
Les quatre stades ont été construits par des entreprises chinoises à Luanda, Benguela, Lubango (sud) et Cabinda (nord) pour un montant de 600 millions de dollars (431 millions d'euros).
L'Angola, riche pays pétrolier où les deux-tiers des 17 millions d'habitants vivent dans la pauvreté, a dépensé plus de un milliard de dollars pour accueillir la CAN-2010, remportée dimanche par l'Egypte.