Les militants de l’Alliance pour la nouvelle Côte d’Ivoire ont renouvelé les instances de leur parti samedi denier.
Jean Jacques Bechio est le nouveau président de l’Alliance pour la nouvelle Côte d’Ivoire. Les militants l’ont officiellement porté à la tête de ce parti à l’issue de l’Assemblée générale extraordinaire qui s’est tenue le samedi 30 janvier dernier à l’espace CRAE-UEMOA au Plateau. Tournant ainsi définitivement dos à l’ère Zémogo Fofana. Pour les militants de l’ANCI, cette assise qui est la première du genre depuis la création de ce parti le 16 juillet 2007 est le symbole de renaissance. « Désormais l’ANCI sera un parti qui compte », a d’ailleurs expliqué Patrice Guéhi, le président du comité d’organisation de ce qui était parti pour être une convention, mais qui, par la volonté de l’ensemble des délégués présents, est devenu une A.G Extraordinaire. Dans la déclaration de principe de cette A.G.O, M. Diomandé Bouraïma, membre du directoire qui a conduit la transition depuis la destitution de l’ex-président Zémogo Fofana, n’a pas manqué de rappeler tous les maux qui ont plongé le parti dans la léthargie. Selon lui, l’ANCI est resté au stade embryonnaire, en dépit de ses trois ans d’existence sur l’échiquier politique, parce que Zémogo a priorisé ses ambitions personnelles au détriment de ceux du parti. Il s’est donc fait le porte-voix de l’ensemble des militants pour que Jean-Jacques Bechio, alors SG du temps Zémogo, prenne désormais les rennes de l’ANCI « parce que c’est un homme de valeur ». Une proposition que l’ensemble des participants à cette A.G.O ont accueillie avec ferveur. Pour preuve, l’ex ministre de la Fonction publique a été élu par acclamation et a été aussitôt investi dans ses nouvelles fonctions par Ali Kéita, le président de ces assises. « Je vous donne l’assurance que l’ANCI sera un parti qui compte en Côte d’Ivoire », a déclaré Jean-Jacques Béchio, dont l’une des missions sera d’organiser, dans les plus brefs délais, le premier congrès national de l’ANCI.
Mireille Abié
Jean Jacques Bechio est le nouveau président de l’Alliance pour la nouvelle Côte d’Ivoire. Les militants l’ont officiellement porté à la tête de ce parti à l’issue de l’Assemblée générale extraordinaire qui s’est tenue le samedi 30 janvier dernier à l’espace CRAE-UEMOA au Plateau. Tournant ainsi définitivement dos à l’ère Zémogo Fofana. Pour les militants de l’ANCI, cette assise qui est la première du genre depuis la création de ce parti le 16 juillet 2007 est le symbole de renaissance. « Désormais l’ANCI sera un parti qui compte », a d’ailleurs expliqué Patrice Guéhi, le président du comité d’organisation de ce qui était parti pour être une convention, mais qui, par la volonté de l’ensemble des délégués présents, est devenu une A.G Extraordinaire. Dans la déclaration de principe de cette A.G.O, M. Diomandé Bouraïma, membre du directoire qui a conduit la transition depuis la destitution de l’ex-président Zémogo Fofana, n’a pas manqué de rappeler tous les maux qui ont plongé le parti dans la léthargie. Selon lui, l’ANCI est resté au stade embryonnaire, en dépit de ses trois ans d’existence sur l’échiquier politique, parce que Zémogo a priorisé ses ambitions personnelles au détriment de ceux du parti. Il s’est donc fait le porte-voix de l’ensemble des militants pour que Jean-Jacques Bechio, alors SG du temps Zémogo, prenne désormais les rennes de l’ANCI « parce que c’est un homme de valeur ». Une proposition que l’ensemble des participants à cette A.G.O ont accueillie avec ferveur. Pour preuve, l’ex ministre de la Fonction publique a été élu par acclamation et a été aussitôt investi dans ses nouvelles fonctions par Ali Kéita, le président de ces assises. « Je vous donne l’assurance que l’ANCI sera un parti qui compte en Côte d’Ivoire », a déclaré Jean-Jacques Béchio, dont l’une des missions sera d’organiser, dans les plus brefs délais, le premier congrès national de l’ANCI.
Mireille Abié