Charles Diby Koffi fait des précisions
La traditionnelle journée mondiale des douanes tenue chaque 26 janvier, s’est déroulée à l’Ecole des Douanes sise au Plateau.
Le parrain de la journée mondiale des Douanes, le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi a saisi l’occasion pour donner les raisons de la baisse des recettes douanières cette année.”Le dédouanement en 48 heures a coûté des frais énormes et fait perdre un niveau de recettes aux douanes ivoiriennes cette année”, a-t-il révélé.
Cette cérémonie, placée sous l’égide de l’Organisation mondiale des douanes (Omd), s’est déroulée à Abidjan sur le thème : « Douanes et Entreprises : améliorer la performance par le partenariat ». Aussi, le parrain a-t-il insisté sur l’impérieuse nécessité pour les régies financières de s’adapter aux exigences nouvelles du commerce international. A l’en croire, elles doivent réussir cela afin de jouer pleinement leur rôle d’accompagnement de l’activité économique et s’inscrire, de façon irréversible, dans la dynamique de la transition fiscale.”Le potentiel des douanes ivoiriennes, au regard de leur organisation, de la logistique, de la qualité des ressources humaines et de la riche expérience capitalisée par cette administration, conforte notre conviction, qu’ensemble, nous atteindrons nos objectifs”, a-t-il indiqué. Au regard du thème, la présidente de la cérémonie, Mme Marie-Amah Téhoua, ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé a souligné l’urgente nécessité pour les gouvernants de rechercher un partenariat toujours plus dynamique avec le secteur privé en vue de lui faire jouer son véritable rôle de pilier de développement. Elle n’a pas manqué de rappeler le rôle du secteur privé. “Si l’Etat se doit de créer un environnement favorable aux affaires par des mesures incitatives, c’est au secteur privé qu’il revient en dernier ressort de créer la richesse dont une partie est collectée par l’Etat à travers les imports et les droits des douanes notamment. L’Etat et le secteur privé sont donc intimement liés”, a-t-elle fait remarquer. Quant à la représentante du Dg des douanes, le colonel Hortense Yao-N’Dré, elle a rappelé l’environnement du commerce international et l’accroissement des flux des marchandises, conjugués avec l’impératif sécuritaire. Toute chose qui, selon elle, a imposé aux administrations douanières, l’adoption d’une approche commune et réfléchie à même de concilier facilitation et sécurité. M. Bakayoko Abdul Dramane, vice-président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cegci), par ailleurs Dg de l’Office ivoirien des chargeurs (Oic) a, au nom du patronat ivoirien, relevé leurs attentes dont la priorité est le Code de procédure douanière.
Même si les actions menées à travers l’Observatoire de la célérité des opérations de dédouanement (Ocd) portent déjà leurs fruits, il a plaidé pour une dématérialisation des procédures. Car, convaincu que cela rendra plus fluides les activités au niveau du port. Il a surtout insisté sur la mise en place d’un code de procédure, vulgarisé et connu de tous. Son souhait est que les marchandises soient accessibles dans un délai de 48 heures.
Des structures et personnes qui ont contribué au rapprochement douane-entreprises ont été primées.
Au nombre des sociétés ce sont la Bivac, l’Oic, Uniwax, Nestlé, Sgs, le Paa, Ocod et le Pasp qui ont reçu des diplômes. Quand MM. Assadou Malan, Gnako Marcellin, Nahounou Adolphe et Nan Youzo Victor recevait les mêmes honneurs au niveau des agents de développement.
Seriba kone
La traditionnelle journée mondiale des douanes tenue chaque 26 janvier, s’est déroulée à l’Ecole des Douanes sise au Plateau.
Le parrain de la journée mondiale des Douanes, le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi a saisi l’occasion pour donner les raisons de la baisse des recettes douanières cette année.”Le dédouanement en 48 heures a coûté des frais énormes et fait perdre un niveau de recettes aux douanes ivoiriennes cette année”, a-t-il révélé.
Cette cérémonie, placée sous l’égide de l’Organisation mondiale des douanes (Omd), s’est déroulée à Abidjan sur le thème : « Douanes et Entreprises : améliorer la performance par le partenariat ». Aussi, le parrain a-t-il insisté sur l’impérieuse nécessité pour les régies financières de s’adapter aux exigences nouvelles du commerce international. A l’en croire, elles doivent réussir cela afin de jouer pleinement leur rôle d’accompagnement de l’activité économique et s’inscrire, de façon irréversible, dans la dynamique de la transition fiscale.”Le potentiel des douanes ivoiriennes, au regard de leur organisation, de la logistique, de la qualité des ressources humaines et de la riche expérience capitalisée par cette administration, conforte notre conviction, qu’ensemble, nous atteindrons nos objectifs”, a-t-il indiqué. Au regard du thème, la présidente de la cérémonie, Mme Marie-Amah Téhoua, ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé a souligné l’urgente nécessité pour les gouvernants de rechercher un partenariat toujours plus dynamique avec le secteur privé en vue de lui faire jouer son véritable rôle de pilier de développement. Elle n’a pas manqué de rappeler le rôle du secteur privé. “Si l’Etat se doit de créer un environnement favorable aux affaires par des mesures incitatives, c’est au secteur privé qu’il revient en dernier ressort de créer la richesse dont une partie est collectée par l’Etat à travers les imports et les droits des douanes notamment. L’Etat et le secteur privé sont donc intimement liés”, a-t-elle fait remarquer. Quant à la représentante du Dg des douanes, le colonel Hortense Yao-N’Dré, elle a rappelé l’environnement du commerce international et l’accroissement des flux des marchandises, conjugués avec l’impératif sécuritaire. Toute chose qui, selon elle, a imposé aux administrations douanières, l’adoption d’une approche commune et réfléchie à même de concilier facilitation et sécurité. M. Bakayoko Abdul Dramane, vice-président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cegci), par ailleurs Dg de l’Office ivoirien des chargeurs (Oic) a, au nom du patronat ivoirien, relevé leurs attentes dont la priorité est le Code de procédure douanière.
Même si les actions menées à travers l’Observatoire de la célérité des opérations de dédouanement (Ocd) portent déjà leurs fruits, il a plaidé pour une dématérialisation des procédures. Car, convaincu que cela rendra plus fluides les activités au niveau du port. Il a surtout insisté sur la mise en place d’un code de procédure, vulgarisé et connu de tous. Son souhait est que les marchandises soient accessibles dans un délai de 48 heures.
Des structures et personnes qui ont contribué au rapprochement douane-entreprises ont été primées.
Au nombre des sociétés ce sont la Bivac, l’Oic, Uniwax, Nestlé, Sgs, le Paa, Ocod et le Pasp qui ont reçu des diplômes. Quand MM. Assadou Malan, Gnako Marcellin, Nahounou Adolphe et Nan Youzo Victor recevait les mêmes honneurs au niveau des agents de développement.
Seriba kone