Une mission a représenté la Côte d’Ivoire, récemment, à Genève, au siège des Nations unies, lors de l’examen périodique universel portant sur l’exercice des droits de l’Homme. De retour de cette rencontre, les membres de ladite mission ont été reçus en audience par le président de la République, SEM. Laurent Gbagbo, hier, à la résidence du chef de l’Etat.
A la sortie de cette rencontre, c’est le président de la Cour suprême, Tia Koné, qui s’est adressé à la presse. «A l’issue de notre mission, nous sommes venus faire le compte rendu au chef de l’Etat. C’est une mission qui a été un succès et qui a permis à la Côte d’Ivoire de retrouver sa place dans le concert des nations. Tous les 192 Etats-membres de l’ONU l’ont proclamé. Et, avec fierté, nous nous sommes vus congratuler pour tout ce qui a été fait et qui est fait pour le respect des Droits de l’homme», a-t-il déclaré.
Pour en arriver là, il a fallu que la Côte d’Ivoire respecte plusieurs conditions. Selon lui, les Droits de l’homme concernent la vie au quotidien des citoyens pris individuellement pour la réalisation de leur bonheur. «Cela part du droit à la santé jusqu’au droit à l’emploi, en passant par le droit à l’éducation et le droit à un environnement sain», a-t-il expliqué. Avant d’ajouter : “Tous ces droits ont été passés au peigne fin. Et nous avons été félicités pour cet état que nous avons atteint”.
Le président de la Cour suprême était accompagné d’Albert Brou, conseiller du président de la République, Guy Alain Gauze, représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès du système de Nations unies à Genève, Alain Porquet, conseiller d’ambassade, et Victorine Wodié, présidente de la Commission nationale des Droits de l’Homme.
Koné Modeste
A la sortie de cette rencontre, c’est le président de la Cour suprême, Tia Koné, qui s’est adressé à la presse. «A l’issue de notre mission, nous sommes venus faire le compte rendu au chef de l’Etat. C’est une mission qui a été un succès et qui a permis à la Côte d’Ivoire de retrouver sa place dans le concert des nations. Tous les 192 Etats-membres de l’ONU l’ont proclamé. Et, avec fierté, nous nous sommes vus congratuler pour tout ce qui a été fait et qui est fait pour le respect des Droits de l’homme», a-t-il déclaré.
Pour en arriver là, il a fallu que la Côte d’Ivoire respecte plusieurs conditions. Selon lui, les Droits de l’homme concernent la vie au quotidien des citoyens pris individuellement pour la réalisation de leur bonheur. «Cela part du droit à la santé jusqu’au droit à l’emploi, en passant par le droit à l’éducation et le droit à un environnement sain», a-t-il expliqué. Avant d’ajouter : “Tous ces droits ont été passés au peigne fin. Et nous avons été félicités pour cet état que nous avons atteint”.
Le président de la Cour suprême était accompagné d’Albert Brou, conseiller du président de la République, Guy Alain Gauze, représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès du système de Nations unies à Genève, Alain Porquet, conseiller d’ambassade, et Victorine Wodié, présidente de la Commission nationale des Droits de l’Homme.
Koné Modeste