Le Collectif Chrétien pour le Jubilé (CCJ) a convié hier jeudi 11 février 2010 la presse ivoirienne à une rencontre, pour annoncer le Jubilé de la Côte d’Ivoire. Tirant la source de l’événement de la Bible, les fidèles de ce collectif constitué de plusieurs églises, ont indiqué que le Jubilé de Côte d’Ivoire est annonciateur de grâces pour le pays.
C’est Soumah Yadi, président des Intercesseurs de Côte d’Ivoire qui a livré le sens et les fondements de l’événement. Tirant son message de la Bible, précisément le Lévitique 25 verset 5 à 10, il a souligné que « la Bible affirme que l’homme comptera 7 sabbats 7 fois ces années. Cela correspond à 49 années, et le 10ème jour du 3ème mois de la 50ème année il devra répondre aux recommandations de Dieu à savoir sonner les trompettes dans tous le pays et publier partout la liberté : c’est l’année du Jubilé ». La Bible, selon Soumah Yadi, soutient qu’un jubilé réussi est source de beaucoup de grâces. Ledit Jubilé est donc prévu pour le 10 mars 2010. Cette date n’est cependant pas fortuite. « C’est le 10 mars 1893 que la Côte d’Ivoire est devenue une colonie française. Le 10 mars 2010, c'est-à-dire 117 ans jour pour jour, le Seigneur nous demande de sonner la trompette. Ce n’est pas une coïncidence, mais une concordance merveilleuse dont il faut saisir l’opportunité », a-t-il précisé. Soumah Yadi a souligné qu’il n y avait pas d’opposition entre le Jubilé et le cinquantenaire de la Côte d’Ivoire. La seule différence pour le Collectif, est que Dieu a donné un nombre de prescriptions pour ne pas que ces moments soient de simples réjouissances liées au fait d’avoir vécu des années données. Parlant du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire, il a affirmé que des forces redoutables comme la guerre, la sécession et la haine travaillent contre les festivités. Ce sont là des défis pour tous les chrétiens afin d’intercéder pour que Dieu sauve le pays. Il s’est aussi ému de la tentative de la France de réunir à Paris 18 pays africains qui commémorent tous cette année leur indépendance. « Ce sera renverser le symbole de liberté que véhicule ces moments pour nous ramener à l’aliénation », a-t-il prévenu. Selon lui, les ivoiriens devant la persistance de la crise et les tensions qui pointent à l’horizon, ne doivent pas perdre courage. S’il est vrai qu’on ne sait pas de quoi sera fait demain, il ne faut pas oublier selon lui, que Dieu a dit dans des prophéties concordantes, qu’il a un merveilleux plan de paix, de bonheur et de prospérité pour la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, le CCJ a exhorté les hommes de Dieu, la Nation et la diaspora à les soutenir pour que le 10 mars, le pays soit au rendez-vous du Jubilé.
Olivier Guédé
C’est Soumah Yadi, président des Intercesseurs de Côte d’Ivoire qui a livré le sens et les fondements de l’événement. Tirant son message de la Bible, précisément le Lévitique 25 verset 5 à 10, il a souligné que « la Bible affirme que l’homme comptera 7 sabbats 7 fois ces années. Cela correspond à 49 années, et le 10ème jour du 3ème mois de la 50ème année il devra répondre aux recommandations de Dieu à savoir sonner les trompettes dans tous le pays et publier partout la liberté : c’est l’année du Jubilé ». La Bible, selon Soumah Yadi, soutient qu’un jubilé réussi est source de beaucoup de grâces. Ledit Jubilé est donc prévu pour le 10 mars 2010. Cette date n’est cependant pas fortuite. « C’est le 10 mars 1893 que la Côte d’Ivoire est devenue une colonie française. Le 10 mars 2010, c'est-à-dire 117 ans jour pour jour, le Seigneur nous demande de sonner la trompette. Ce n’est pas une coïncidence, mais une concordance merveilleuse dont il faut saisir l’opportunité », a-t-il précisé. Soumah Yadi a souligné qu’il n y avait pas d’opposition entre le Jubilé et le cinquantenaire de la Côte d’Ivoire. La seule différence pour le Collectif, est que Dieu a donné un nombre de prescriptions pour ne pas que ces moments soient de simples réjouissances liées au fait d’avoir vécu des années données. Parlant du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire, il a affirmé que des forces redoutables comme la guerre, la sécession et la haine travaillent contre les festivités. Ce sont là des défis pour tous les chrétiens afin d’intercéder pour que Dieu sauve le pays. Il s’est aussi ému de la tentative de la France de réunir à Paris 18 pays africains qui commémorent tous cette année leur indépendance. « Ce sera renverser le symbole de liberté que véhicule ces moments pour nous ramener à l’aliénation », a-t-il prévenu. Selon lui, les ivoiriens devant la persistance de la crise et les tensions qui pointent à l’horizon, ne doivent pas perdre courage. S’il est vrai qu’on ne sait pas de quoi sera fait demain, il ne faut pas oublier selon lui, que Dieu a dit dans des prophéties concordantes, qu’il a un merveilleux plan de paix, de bonheur et de prospérité pour la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, le CCJ a exhorté les hommes de Dieu, la Nation et la diaspora à les soutenir pour que le 10 mars, le pays soit au rendez-vous du Jubilé.
Olivier Guédé