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Sport Publié le lundi 15 février 2010 | Notre Vision

Voici les trois véritables poisons

Les Eléphants ont encore honni les ivoiriens lors de la 27e édition de la CAN en Angola, précisément dans l’enclave de CABINDA. Alors qu’ils étaient donnés favori dans cette compétition, Didier Drogba et ses coéquipiers sont sortis par la petite porte. Une élimination que le peuple ivoirien, friand du football, avec à sa tête le chef de l’Etat, le président Laurent Gbagbo n’arrive pas à comprendre. Au-delà de cette élimination, il faut avoir le courage de le dire que cette déconvenue des Eléphants était prévisible. Même le plus ignare en matière de football savait que les Eléphants n’allaient pas revenir sur les bords de la lagune Ebrié avec le trophée. Mais les ivoiriens, qui aiment leur sélection nationale grâce au rôle joué dans le processus de paix en cote d’ivoire avaient foi en elle. Mais hélas. Cette élimination est due à un environnement que les responsables du football ivoirien ont crée eux-mêmes depuis le coup de force ourdie contre Dieng Ousseynou.

La guerre des clans au sein de l’équipe

Cette guerre des Clans (il en existe deux), le Académiciens conduits par Kolo Touré et son frère cadet et le clan Drogba Didier ou Kalunho, malgré le fait qu’il soit Académicien, il s’est allié à lui. Ce clan pourri bien l’atmosphère au sein du groupe. Même si lors des regroupements et à l’entraînement on ne sent pas trop cela, c’est sur le terrain que cela se concrétise. Aruna Dindané qui faisait marquer Didier Drogba est rentré dans le rang. Même s’il est de retour il a payé les frais lors de la CAN ou il n’a joué que des bouts de matche. Les Académiciens qui n’ont pas apprécié que le brassard de capitaine soit revenu à Didier Drogba lui en veulent beaucoup. » Il n’est pas le mieux payé parmi nous, mais il se croit supérieur à nous. On lui donne tout le privilège et pas à nous. Maintenant nous allons lui privé de ballon et nous allons voir comment il va marquer « .cette phrase est une confession faite par un Académicien à l’un de ses proches .Comme on le voit, la cohésion n’est pas de mise au niveau des Eléphants et c’est l’un des facteurs de l’échec


Vahid, un coach dépassé

Vahid est un coach dépassé. Malgré sa soit disant rigueur en écartant Romaric N’Dri de la sélection nationale, Vahid en deux ans n’a plus donner une âme à la sélection ivoire. Incapable de réagir lorsqu’il est méné, Vahid n’a pas appris à connaître ses joueurs. Il n’a jamais gagné une équipe européenne avec des joueurs de talents. Alors que tout le monde rêve d’être à sa place, Vahid n’a fait que pourrit l’atmosphère des Eléphants avec ses mesures impopulaires, en écartant des joueurs en forme dans leur club, pour faire appel à des remplaçants de luxe tel que Bamba Souleymane petit ami de Stéphanie Anouma en sélection nationale. Vahid a frustré certains joueurs et ce résultat n’est que le fruit de son arrogance. Tout comme les Eléphants et à leur tête jacques Anouma, son bilan au sein de la sélection ivoire est vierge comme une feuille de papier comme il aime souvent le dire.

Le rôle d’Hamed Ouattara et Nixon

Hamed Ouattara, ancienne gloire du football ivoirien a été désigné par Jacques Anouma pour jouer le rôle de courroie entre les joueurs et les responsables de la FIF. Mais au lieu de jouer ce rôle combien de fois important, Hamed Ouattara s’est mué en proxénète, le mot n’est pas assez fort pour les joueurs. C’est lui qui est chargé de recruter certaines jeunes filles à Abidjan pour les joueurs qui le veulent. Elles sont logées au Golf hôtel à leur frais alors que l’Etat les héberge. Le soir venu, ils les retrouvent dans leur chambre sous les yeux de Hamed Ouattara qui, au passage reçoit de nombreux euros et d’autres cadeaux de la part des joueurs. Vu ce fait, ne voulant pas frustrer Hamed Ouattara, le président Jacques Anouma a fait venir son homme de main Nixon pour redresser la situation. Mais en vain. Ex- homme fort de Dieng Ousseynou, Nixon avait pour mission de mettre de l’ordre. Malheureusement, Hamed Ouattara a réussi à l’enrôler très facilement avec une mineur de race pure dit-on.

Quand la fille d’Anouma déstabilise les Eléphants à Cabinda

Etait-il opportun d’organiser l’anniversaire de son amant Bamba Souleymane à quelques heures de la rencontre contre l’Algérie ? Telle est la question que se pose tout le monde après la débâcle des Eléphants. Seule Stéphanie Anouma en a la réponse. Les joueurs de l’équipe nationale reconnus comme des hommes qui lèvent trop le coude ont eu là l’occasion de s’éclater. En plus de cela l’occasion était belle, puisque c’est l’une des filles de Jacques Anouma, Stéphanie, qui, non satisfaite du taux d’échecs accumulé par son père depuis 2002, a tenu quant à elle à s’illustrer de la manière la plus abjecte. Elle, qui entretient des relations intimes avec le joueur Bamba Souleymane dont on ignore le palmarès, a osé organiser une manifestation grandiose avec l’argent du contribuable que lui donne son père. La suite on la connaît, des joueurs trop lourds aux cuisses de loutre, aux bras de serpent bois, n’ont joué que quinze minutes devant l’Algérie, le reste ils ont été copieusement dominé. Que gâchis !

Ouattara Bakary, le féticheur des Eléphants

Diantre, Jacques Anouma doute t-il des connaissances de Vahid ou de la valeur de ses joueurs pour aller recruter un féticheur de la trempe de Ouattara Bakary, président du Club Omnisport de Korhogo qui depuis les Eliminatoires des phases finales CAN- Mondial 2010 est présent avec les Eléphants. Ce dernier bénéficie d’un traitement assez particulier de la part du président de la FIF. Quand on sait que Jacques Anouma se plait à dire qu’il confie le plus souvent le sort des Eléphants aux hommes de Dieu il y a de quoi à s’interroger. Pourquoi tout cela quand on sait qu’on a signé un pacte avec le diable ? Et comme le Seigneur frappe ceux qui le trahissent, Jacques Anouma ayant trahi Dieu le Tout puissant, l’a frappé. Que dire alors de la colère des hommes d’Akradjo qui n’ont pas encore eu la reconnaissance des responsables du football ivoirien depuis 19992. Même si cela ne date pas de l’ère Anouma. Ceux –ci, malheureusement travaillent depuis lors pour que la Côte d’Ivoire soit humiliée aux grands rendez vous internationaux. Toujours selon nos sources, le même Ouattara Bakary lors des quarts de finale en Angola, aurait demandé un chat noir borgne pour faire ses rituels. Bien évidemment, cela n’a pas été trouvé donnant ainsi le résultat qu’on a connu. Du coup, l’on est à se demander si c’est le fétiche qui joue pour les Eléphants ou jouent t-ils sur leur vraie valeur, ou si c’est l’entraîneur qui ne fait pas le poids. Des questions auxquelles seul jacques Anouma pourrait répondre.

Idriss Diallo, le maître d’orchestre

Idriss Diallo fait partie de ceux qui ont pourri l’atmosphère des Eléphants. Véritable maître orchestre, décideur devant l’Eternel, il gère tout ce qui est matériel et argent. Les équipements des Eléphants sont stockés à Promoto où il exerce. Dans tous les contrats signés par les Eléphants, le tout puissant Idriss Diallo percevrait 25%. Pis, ce troisième poison de la fédération qui est couvert par son maitre gourou Jacques Anouma nargue tout le monde si bien que des membres du comité Exécutif de la FIF se sont mis à l’écart. Décidés désormais de jouer les petits rôles sur le plan national pour ne pas faire éclater au grand jour le malaise. Beaucoup d’entre eux ont même voulu démissionner, mais cela ne présenterait pas une bonne image pour les Eléphants au point qu’ils sont restés. Idriss Diallo, seul maître du jeu si bien qu’il est l’homme qui décide tout au niveau des Eléphants. En témoigne son différend avec Zoro Marc relatif à un problème de femme. Ce pourquoi, l’opus déï qu’est Idriss Diallo, a purement et simplement écarté l’un des meilleurs défenseurs des Eléphants. Jaloux devant l’Eternel, notre ‘’pigeon ‘’ dirigeant déteste qu’on lui tienne tête en matière de conquête féminine surtout si vous avez le malheur d’être un joueur pouvant être retenu en équipe nationale. Le cas N’Dri Romaric en ait l’exemple patent qu’on voulu cacher aux ivoiriens sous le fallacieux prétexte que le talentueux joueur n’était pas respectueux des consignes. Mais de quelles consignes parle-t-on si ceux-là même sensés les incarner, foulent tout aux pieds ? Démontrant ainsi qu’ils sont les véritables poisons du football ivoirien qu’il faut extirper le plutôt possible si la Côte d’Ivoire veut glaner des trophées.

Yann-Inès
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