Le président de la fédération ivoirienne de football, FIF, vient de montrer une fois de plus son incompétence à faire gagner les Eléphants footballeurs malgré les faramineuses sommes que lui donne l’Etat et surtout les entreprises citoyennes. Portrait robot d’un éternel looser qui a peur de la démission. Et pourtant que d’échecs !
« Je ferai un nettoyage à sec », a martelé sans honte bue Jacques Anouma depuis Cabinda en Angola, juste après la défaite des Eléphants 2-3 devant les Fennecs d’Algérie, en quart de finale de la CAN 2010. Marrant tout simplement ! Mais pour celui qui connait ce dirigeant si particulier, ce genre de propos n’étonne guère. Tous savaient qu’il n’allait jamais parler de démission. Ça jamais ! Et ce, malgré le fait qu’il ait annoncé à grands tambours médiatiques son objectif de gagner le trophée continental. Aujourd’hui, il s’est terré après la désillusion. Ce qui n’étonne guère pour un dirigeant qui a un palmarès vierge.
Quand Anouma est synonyme d’échecs
On se rappelle, c’est en 2002 que Anouma Bernard Jacques Daniel a pris les rênes de la FIF suite à un complot contre Dieng Ousseynou, alors Dg de la Lonaci. Le malheur de ce dernier, c’était d’avoir échoué au Mali à la CAN 2002 avec les Eléphants. C’est tout. Arrivera donc le messie (sic) Jacques Anouma avec la bénédiction des présidents de clubs. Seulement depuis qu’il est à la barre, l’homme n’arrive pas à émuler Dieng en termes de résultats sportifs. Son seul exploit( ?) reste uniquement la qualification aux J.O et à la coupe du monde, point final. Ne lui demandez pas s’il a gagné un trophée, ne serait-ce qu’avec un club ivoirien. Sous son règne, les Eléphants ne gagnent rien, idem pour les clubs ivoiriens. Poisse ou malédiction, tout porte à le croire, car le nom de Jacques Anouma et sa personnalité riment depuis toujours avec échec. En un mot comme en mille, c’est un looser. Sinon comment expliquer et comprendre qu’avec la génération ‘’ dorée’’ et pilotée par Didier Drogba, le président de la FIF qu’il est depuis belle lurette, n’ait pu trouver la solution miracle pour remporter la CAN. En trois tentatives (2006,2008 et 2010), les résultats sont identiques : échec. Et cela ne l’émeut pas. Pis, au mondial 2006 et à la CAN 2010, les Eléphants footballeurs ont été ridicules malgré la constellation de stars du ballon rond. Jetant ainsi l’opprobre sur les Ivoiriens. L’illogisme dans tout cela, c’est le fait que ce dernier persiste à rester à la barre en dépit du long chapelet d’échecs qu’il continue d’égrener. Autant on dit qu’on ne change pas une équipe qui gagne, autant on doit savoir reconnaître que ça ne va pas et avoir donc le courage de rendre le tablier avec la goutte d’eau de Cabinda qui a débordé le vase. Au lieu d’annoncer un nettoyage qui n’est qu’un leurre quand on sait que le réel blocage, c’est le président de la FIF qu’il est. Ailleurs, on parlerait du personnage d’Akan dans le Livre de Josué 7. Que veut donc encore prouver au juste Anouma Bernard Daniel, continuent de s’interroger les ivoiriens.
Une moquerie spectaculaire
« Si Jacques Anouma n’a pas eu le courage de démissionner après la mort de 19 personnes au stade Félix Boigny le 29 mars 2009, ce n’est pas l’échec à la CAN qui y changera quelque chose. Ne vous fatiguez pas ; c’est dur mais nous avons affaire à un type indifférent, né après la honte », confie avec pessimisme et désabusement un président de club de ligue2. Une analyse pertinente qui éclaire plus d’un. Rien ne peut effrayer jacques Anouma. Qui se moque à merveille des Ivoiriens dont le 1er est le Président de la République, Laurent Gbagbo parce que se disant protégé par les textes de la FIFA. « Je ne bougerai point d’un iota, je gère l’argent du palais, Gbagbo me doit beaucoup quand je payais ses billets d’avion alors qu’il n’était qu’un simple opposant et je suis protégé par la FIFA ; ce n’est pas la rue qui va me faire partir », aurait-il confié en confidence à des proches avant de s’envoler ces temps-ci pour l’Europe à la recherche de l’oiseau rare pour remplacer Vahid Halilhodzic. Lui, qui, hier arpentait les couloirs de la présidence derrière Djédjé Benjamin pour se faire cautionner par le Président Gbagbo à l’élection à la présidence de la FIF, démontre à plus d’un titre que la majeur partie des acteurs du football ivoirien manque de c… et mangent à son râtelier. Sinon comment comprendre que ce dernier continue de narguer tout le monde à commencer par le chef de l’Etat alors qu’il a montré toutes ses limites. « Son karma est maudit. Jamais il ne gagnera un trophée. Tant qu’il sera président de la FIF et qu’il sera celui qui va conduire les Eléphants à Joburg, la Côte d’Ivoire ne gagnera rien », remarque un mystique dont les propos sont renchéris par ceux d’un homme de Dieu en ces termes : « Anouma est pour la Cote d’Ivoire, ce qu’était Akan pour le peuple d’Israël dans le livre de Josué 7 dans la Bible. A l’instar des israélites qui perdaient tous les combats par la faute d’Akan, la Côte-d’Ivoire perdra tous ses combats au niveau du football, parce que tout simplement, Anouma est l’Akan du foot ivoirien » Intox ou assertion ? Personne ne peut l’affirmer, seulement là où l’Eternel a parlé ainsi que les mânes tutélaires, il est difficile de le négliger. La seule chose la plus évidente, c’est que les résultats sportifs ne plaident pas en sa faveur. Sous son règne, la Côte d’Ivoire a été endeuillé. D’abord du fait des résultats catastrophiques des Eléphants et des clubs ivoiriens. Ensuite, par une tragédie inadmissible au Félicia. Jacques Anouma, malgré tous les appuis et soutiens financiers continue sa chute vertigineuse, comme un albatros, conduisant ainsi le football ivoirien dans les gouffres sans fond. Alors questions : Et si Anouma était le problème ? Et s’il cédait le tablier ? Des interrogations qui méritent leur pesant d’or. Car, même s’il croit qu’avec l’argent l’on peut tout faire, il y a toujours une limite.
Quand l’argent a ses limites
Il est indéniable, Jacques Anouma avait tout pour réussir un règne inédit à la FIF. Malheureusement, le volet financier n’a que rapporté des misères à la Côte ‘Ivoire. Tout va à vau l’eau. Les Eléphants amadoués, chéris, cajolés et couverts de fric, se moquent des Ivoiriens, incapables qu’ils sont de gagner une petite CAN. Les cadets, les juniors et autres sélections nationales ivoiriennes ne gagnent rien également. Tout simplement par la faute de l’incapacité notoire du président de la FIF et de ses hommes de main qui ne savent pas prendre des responsabilités quand il le faut. Résultat, c’est un cycle infernal d’échec qu’anime Jacques Anouma. A dire vrai, pouvait il en être autrement ? Ne dit-on pas que celui qui règne par l’épée périra par l’épée ? « Tu m’as fait partir par des manigances, mais tu connaîtras pire que moi », telle est la malédiction qu’aurait prononcée Dieng Ousseynou dès son éviction de la FIF en 2002 à l’égard de Jacques Anouma. Qui dit avoir le sommeil troublé à la fin de chaque CAN, histoire de se moquer des Ivoiriens. Aujourd’hui, les ivoiriens espèrent que le patron de la FIF sache enfin partir et reconnaitre qu’il a failli. C’est pourquoi en chœur, ceux-ci affirment, trop c’est trop, Anouma doit partir. Toujours selon un président de fédération, même si comparaison n’est pas raison, Jacques Anouma fait mentir cette assertion « Dieng reste le meilleur dirigeant de la FIF parce qu’il a tout gagné. Jacques Anouma, lui, malgré les moyens financiers colossaux, il ne gagne rien, il y a problème ». Pour dire que l’argent ne fait pas tout.
Quand Anouma et ses hommes pourrissent l’atmosphère
Dans sa pseudo révolution de la FIF, Anouma devrait se défaire de nombreuses personnes qui avaient causé la perte de Dieng. Il ne l’a pas fait. Mieux, ce sont ces personnes qui se la coulent douce et partagent avec lui, les dividendes de leurs forfaits. Son noyau dit-il devait construire une fédération moderne, que nenni. Le copinage et l’amateurisme riment avec la FIF version Anouma. Qui a plutôt opté de manger avec ses amis au grand dam du sport roi ivoirien.
Ouraga Dominique
Leg : Jacques Anouma paie t-il le prix de sa trahison
« Je ferai un nettoyage à sec », a martelé sans honte bue Jacques Anouma depuis Cabinda en Angola, juste après la défaite des Eléphants 2-3 devant les Fennecs d’Algérie, en quart de finale de la CAN 2010. Marrant tout simplement ! Mais pour celui qui connait ce dirigeant si particulier, ce genre de propos n’étonne guère. Tous savaient qu’il n’allait jamais parler de démission. Ça jamais ! Et ce, malgré le fait qu’il ait annoncé à grands tambours médiatiques son objectif de gagner le trophée continental. Aujourd’hui, il s’est terré après la désillusion. Ce qui n’étonne guère pour un dirigeant qui a un palmarès vierge.
Quand Anouma est synonyme d’échecs
On se rappelle, c’est en 2002 que Anouma Bernard Jacques Daniel a pris les rênes de la FIF suite à un complot contre Dieng Ousseynou, alors Dg de la Lonaci. Le malheur de ce dernier, c’était d’avoir échoué au Mali à la CAN 2002 avec les Eléphants. C’est tout. Arrivera donc le messie (sic) Jacques Anouma avec la bénédiction des présidents de clubs. Seulement depuis qu’il est à la barre, l’homme n’arrive pas à émuler Dieng en termes de résultats sportifs. Son seul exploit( ?) reste uniquement la qualification aux J.O et à la coupe du monde, point final. Ne lui demandez pas s’il a gagné un trophée, ne serait-ce qu’avec un club ivoirien. Sous son règne, les Eléphants ne gagnent rien, idem pour les clubs ivoiriens. Poisse ou malédiction, tout porte à le croire, car le nom de Jacques Anouma et sa personnalité riment depuis toujours avec échec. En un mot comme en mille, c’est un looser. Sinon comment expliquer et comprendre qu’avec la génération ‘’ dorée’’ et pilotée par Didier Drogba, le président de la FIF qu’il est depuis belle lurette, n’ait pu trouver la solution miracle pour remporter la CAN. En trois tentatives (2006,2008 et 2010), les résultats sont identiques : échec. Et cela ne l’émeut pas. Pis, au mondial 2006 et à la CAN 2010, les Eléphants footballeurs ont été ridicules malgré la constellation de stars du ballon rond. Jetant ainsi l’opprobre sur les Ivoiriens. L’illogisme dans tout cela, c’est le fait que ce dernier persiste à rester à la barre en dépit du long chapelet d’échecs qu’il continue d’égrener. Autant on dit qu’on ne change pas une équipe qui gagne, autant on doit savoir reconnaître que ça ne va pas et avoir donc le courage de rendre le tablier avec la goutte d’eau de Cabinda qui a débordé le vase. Au lieu d’annoncer un nettoyage qui n’est qu’un leurre quand on sait que le réel blocage, c’est le président de la FIF qu’il est. Ailleurs, on parlerait du personnage d’Akan dans le Livre de Josué 7. Que veut donc encore prouver au juste Anouma Bernard Daniel, continuent de s’interroger les ivoiriens.
Une moquerie spectaculaire
« Si Jacques Anouma n’a pas eu le courage de démissionner après la mort de 19 personnes au stade Félix Boigny le 29 mars 2009, ce n’est pas l’échec à la CAN qui y changera quelque chose. Ne vous fatiguez pas ; c’est dur mais nous avons affaire à un type indifférent, né après la honte », confie avec pessimisme et désabusement un président de club de ligue2. Une analyse pertinente qui éclaire plus d’un. Rien ne peut effrayer jacques Anouma. Qui se moque à merveille des Ivoiriens dont le 1er est le Président de la République, Laurent Gbagbo parce que se disant protégé par les textes de la FIFA. « Je ne bougerai point d’un iota, je gère l’argent du palais, Gbagbo me doit beaucoup quand je payais ses billets d’avion alors qu’il n’était qu’un simple opposant et je suis protégé par la FIFA ; ce n’est pas la rue qui va me faire partir », aurait-il confié en confidence à des proches avant de s’envoler ces temps-ci pour l’Europe à la recherche de l’oiseau rare pour remplacer Vahid Halilhodzic. Lui, qui, hier arpentait les couloirs de la présidence derrière Djédjé Benjamin pour se faire cautionner par le Président Gbagbo à l’élection à la présidence de la FIF, démontre à plus d’un titre que la majeur partie des acteurs du football ivoirien manque de c… et mangent à son râtelier. Sinon comment comprendre que ce dernier continue de narguer tout le monde à commencer par le chef de l’Etat alors qu’il a montré toutes ses limites. « Son karma est maudit. Jamais il ne gagnera un trophée. Tant qu’il sera président de la FIF et qu’il sera celui qui va conduire les Eléphants à Joburg, la Côte d’Ivoire ne gagnera rien », remarque un mystique dont les propos sont renchéris par ceux d’un homme de Dieu en ces termes : « Anouma est pour la Cote d’Ivoire, ce qu’était Akan pour le peuple d’Israël dans le livre de Josué 7 dans la Bible. A l’instar des israélites qui perdaient tous les combats par la faute d’Akan, la Côte-d’Ivoire perdra tous ses combats au niveau du football, parce que tout simplement, Anouma est l’Akan du foot ivoirien » Intox ou assertion ? Personne ne peut l’affirmer, seulement là où l’Eternel a parlé ainsi que les mânes tutélaires, il est difficile de le négliger. La seule chose la plus évidente, c’est que les résultats sportifs ne plaident pas en sa faveur. Sous son règne, la Côte d’Ivoire a été endeuillé. D’abord du fait des résultats catastrophiques des Eléphants et des clubs ivoiriens. Ensuite, par une tragédie inadmissible au Félicia. Jacques Anouma, malgré tous les appuis et soutiens financiers continue sa chute vertigineuse, comme un albatros, conduisant ainsi le football ivoirien dans les gouffres sans fond. Alors questions : Et si Anouma était le problème ? Et s’il cédait le tablier ? Des interrogations qui méritent leur pesant d’or. Car, même s’il croit qu’avec l’argent l’on peut tout faire, il y a toujours une limite.
Quand l’argent a ses limites
Il est indéniable, Jacques Anouma avait tout pour réussir un règne inédit à la FIF. Malheureusement, le volet financier n’a que rapporté des misères à la Côte ‘Ivoire. Tout va à vau l’eau. Les Eléphants amadoués, chéris, cajolés et couverts de fric, se moquent des Ivoiriens, incapables qu’ils sont de gagner une petite CAN. Les cadets, les juniors et autres sélections nationales ivoiriennes ne gagnent rien également. Tout simplement par la faute de l’incapacité notoire du président de la FIF et de ses hommes de main qui ne savent pas prendre des responsabilités quand il le faut. Résultat, c’est un cycle infernal d’échec qu’anime Jacques Anouma. A dire vrai, pouvait il en être autrement ? Ne dit-on pas que celui qui règne par l’épée périra par l’épée ? « Tu m’as fait partir par des manigances, mais tu connaîtras pire que moi », telle est la malédiction qu’aurait prononcée Dieng Ousseynou dès son éviction de la FIF en 2002 à l’égard de Jacques Anouma. Qui dit avoir le sommeil troublé à la fin de chaque CAN, histoire de se moquer des Ivoiriens. Aujourd’hui, les ivoiriens espèrent que le patron de la FIF sache enfin partir et reconnaitre qu’il a failli. C’est pourquoi en chœur, ceux-ci affirment, trop c’est trop, Anouma doit partir. Toujours selon un président de fédération, même si comparaison n’est pas raison, Jacques Anouma fait mentir cette assertion « Dieng reste le meilleur dirigeant de la FIF parce qu’il a tout gagné. Jacques Anouma, lui, malgré les moyens financiers colossaux, il ne gagne rien, il y a problème ». Pour dire que l’argent ne fait pas tout.
Quand Anouma et ses hommes pourrissent l’atmosphère
Dans sa pseudo révolution de la FIF, Anouma devrait se défaire de nombreuses personnes qui avaient causé la perte de Dieng. Il ne l’a pas fait. Mieux, ce sont ces personnes qui se la coulent douce et partagent avec lui, les dividendes de leurs forfaits. Son noyau dit-il devait construire une fédération moderne, que nenni. Le copinage et l’amateurisme riment avec la FIF version Anouma. Qui a plutôt opté de manger avec ses amis au grand dam du sport roi ivoirien.
Ouraga Dominique
Leg : Jacques Anouma paie t-il le prix de sa trahison