Parachuté comme un messie à la tête du football ivoirien, Jacques Anouma Bernard Daniel (ouf !) a plutôt plongé le sport roi dans les méandres des échecs. Tuant du coup ce football, sport dans lequel de nombreux ivoiriens avaient placé un espoir après la coupe d’Afrique des Nations de Sénégal 92. Hélas, milles fois hélas, c’était sans compter avec l’actuel président de la FIF, en réalité porte malheur.
je suis arrivé avec mon équipe lors de la CAN 2002 à Bamako où la Côte d’Ivoire à eu un parcours catastrophique qui a entrainé la démission du président en Février 2002... J’ai assuré l’intérim pendant un an et c’est en décembre 2002 que j’ai pris les rennes de cette Fédération. Nous nous sommes fixés plusieurs priorités; d’abord de faire en sorte que la Côte d’Ivoire, en 4 ans, arrive à la Compétition de la Coupe du Monde. Pour y arriver, il fallait développer un concept de Marketing, attirer les différents sponsors; développer le Football des Jeunes… et nous avons atteints notre objectif. En 3 ans nous avons participés à une Coupe du Monde des moins de 17 ans et une Coupe du Monde des moins de 20 ans et avec notre classification pour le Mondial 2006, nous faisons le grand chelem avec les seniors; c’est donc un parcours parfait.
L’autre aspect important était de faire en sorte que la Fédération fonctionne comme une véritable entreprise. Nous avons donc nommé un directeur général pour coordonner toutes les activités. Nous avons eu le malheur d’arriver en pleine année de guerre; puis le principal sponsor – Craven A – avec une apportassions de 600 million de Francs CFA nous annonçait son départ à la fin de la saison et il a fallu pallier à ce départ aussitôt. Nous avons eu la chance d’avoir le FDPCC (le Fonds de Production de Café et Cacao) qui est tout de suite venu, puis Côte d’Ivoire Télécom. Ensuite nous avons réfléchi avec le Ministère des Finances à une parafiscalité pour le Football. Aujourd’hui 50% de nos recettes viennent d’une taxe spéciale sur les cigarettes qui est versée pour le football. Cette taxe représente aujourd’hui environ 1milliard de Francs CFA et nous pensons que lorsque le pays sera réunifié les sommes seront plus importantes. Aujourd’hui nous sommes une valeur sûre pour les sponsors qui se multiplient; nous avons approché le secteur pétrolier, puis ce sera les banques et les autres secteurs. Mon objectif est que d’ici 10 ans, la FIF (Fédération Ivoirienne de Football) n’ait plus à tendre la main à l’État, bla bla bla ! bla bla bla ! » Tel est la profession de foi de Jacques Anouma, le 20 septembre 2005 dans une interview à lui accordée par la chaine World investment news. (Voir toute l’interview en encadré). A la lire et à regarder le visage d’ange du patron de la FIF, l’on ne lui donnerait pas le ciel, mais ici toute la richesse ivoirienne sans hésiter. Ce qui fut d’ailleurs fait par les autorités ivoiriennes et l’ensemble des entreprises citoyennes.
Malheureusement pour la Côte d’Ivoire, son football et heureusement pour Jacques Anouma, celui-ci avait sa petite idée derrière la tête, c’est-à-dire détruire le sport roi au profit de ses comptes bancaires. Lui, petit comptable qu’il était dans une agence de voyage, qui rêvait comment s’assurer une retraite dorée.
Depuis l’arrivée de Jacques Anouma à la tête de la fédération ivoirienne de football en février 2002, ce sport a connu une descente aux enfers. Tant les résultats ont chuté de façon spectaculaire.2004, à peine arrivé, les couleurs sont annoncées avec l’élimination aux tours préliminaires. On a toléré parce qu’on a considéré l’homme comme un novice. 2006, les Eléphants sont finalistes donnant du coup raison à ce qu’on avait pensé d’Anouma. Mais en 2008 et 2010, 4ème place, c’est encore la chute avec de piètres prestations de la ‘’séléphanto’’. Au mondial 2006, malgré la pléiade de stars du ballon rond, c’est l’élimination au 1er tour. Un curieux palmarès qui fini par démontrer que le président de la FIF est un piètre looser qu’il faut éloigner de la sélection nationale si l’on veut aller loin. Car 15 ans après l’unique titre africain que détient la Côte d’Ivoire, il faut panser le football. Eu égard aux nombreuses fautes lourdes commises par Jacques Anouma. Des fautes qui ont décliné sur le football ivoirien au niveau international. reconnaissent pas ladite ONG, histoire de reprendre le marché.
Cela a entrainé un énorme préjudice au point que Team Vie Sauve a porté plainte contre Jacques Anouma et la FIF. A ce procès que Jacques Anouma a caché aux ivoiriens, la Côte d’Ivoire a perdu et a été condamné à payer une énorme somme. En marge à cela, la FIF avait fait croire à l’ensemble des Ivoiriens que les billets du mondial 2006 étaient finis à Abidjan alors que ceux-ci avaient fait de la rétention. lesdits billets se sont retrouvés plus tard sur le marché noir à Paris au détriment des ivoiriens, véritables bénéficiaires. Ces deux scandales mis ensemble, la FIFA a décidé de frapper fort en retirant la vente des billets du mondial 2010 réservés aux Ivoiriens à la FIF, pour faire elle même la vente via le net. Là encore, Anouma et ses hommes ont menti au Président Gbagbo et aux ivoiriens en faisant croire que la FIFA a décidé de vendre les billets du Mondial 2010 sur le net pour des raisons de sécurité et de garanties. Une grosse couleuvre qu’on a fait avaler aux amoureux du football ivoirien qui voudraient aller à Jo ‘Bourg pour supporter les Eléphants. Pauvres ivoiriens ! La vérité est tout autre. Par la faute à Jacques Anouma, non seulement le blason des Eléphants est terni eu égard à leurs piètres prestations, c’est le football ivoirien qui perd de l’éclat tant au niveau national qu’international. Peu importe, seul comptent pour l’homme des lauriers et quels bons lauriers et le poste de président de la FIF. Fier qu’il soit d’être désigné pour faire partie d’une commission ad ‘hoc de la FIFA chargée de réfléchir sur le marketing et le financement du football par la FIFA. Démontant ainsi qu’il se fiche du devenir du football ivoirien.
Yann-Inès
je suis arrivé avec mon équipe lors de la CAN 2002 à Bamako où la Côte d’Ivoire à eu un parcours catastrophique qui a entrainé la démission du président en Février 2002... J’ai assuré l’intérim pendant un an et c’est en décembre 2002 que j’ai pris les rennes de cette Fédération. Nous nous sommes fixés plusieurs priorités; d’abord de faire en sorte que la Côte d’Ivoire, en 4 ans, arrive à la Compétition de la Coupe du Monde. Pour y arriver, il fallait développer un concept de Marketing, attirer les différents sponsors; développer le Football des Jeunes… et nous avons atteints notre objectif. En 3 ans nous avons participés à une Coupe du Monde des moins de 17 ans et une Coupe du Monde des moins de 20 ans et avec notre classification pour le Mondial 2006, nous faisons le grand chelem avec les seniors; c’est donc un parcours parfait.
L’autre aspect important était de faire en sorte que la Fédération fonctionne comme une véritable entreprise. Nous avons donc nommé un directeur général pour coordonner toutes les activités. Nous avons eu le malheur d’arriver en pleine année de guerre; puis le principal sponsor – Craven A – avec une apportassions de 600 million de Francs CFA nous annonçait son départ à la fin de la saison et il a fallu pallier à ce départ aussitôt. Nous avons eu la chance d’avoir le FDPCC (le Fonds de Production de Café et Cacao) qui est tout de suite venu, puis Côte d’Ivoire Télécom. Ensuite nous avons réfléchi avec le Ministère des Finances à une parafiscalité pour le Football. Aujourd’hui 50% de nos recettes viennent d’une taxe spéciale sur les cigarettes qui est versée pour le football. Cette taxe représente aujourd’hui environ 1milliard de Francs CFA et nous pensons que lorsque le pays sera réunifié les sommes seront plus importantes. Aujourd’hui nous sommes une valeur sûre pour les sponsors qui se multiplient; nous avons approché le secteur pétrolier, puis ce sera les banques et les autres secteurs. Mon objectif est que d’ici 10 ans, la FIF (Fédération Ivoirienne de Football) n’ait plus à tendre la main à l’État, bla bla bla ! bla bla bla ! » Tel est la profession de foi de Jacques Anouma, le 20 septembre 2005 dans une interview à lui accordée par la chaine World investment news. (Voir toute l’interview en encadré). A la lire et à regarder le visage d’ange du patron de la FIF, l’on ne lui donnerait pas le ciel, mais ici toute la richesse ivoirienne sans hésiter. Ce qui fut d’ailleurs fait par les autorités ivoiriennes et l’ensemble des entreprises citoyennes.
Malheureusement pour la Côte d’Ivoire, son football et heureusement pour Jacques Anouma, celui-ci avait sa petite idée derrière la tête, c’est-à-dire détruire le sport roi au profit de ses comptes bancaires. Lui, petit comptable qu’il était dans une agence de voyage, qui rêvait comment s’assurer une retraite dorée.
Depuis l’arrivée de Jacques Anouma à la tête de la fédération ivoirienne de football en février 2002, ce sport a connu une descente aux enfers. Tant les résultats ont chuté de façon spectaculaire.2004, à peine arrivé, les couleurs sont annoncées avec l’élimination aux tours préliminaires. On a toléré parce qu’on a considéré l’homme comme un novice. 2006, les Eléphants sont finalistes donnant du coup raison à ce qu’on avait pensé d’Anouma. Mais en 2008 et 2010, 4ème place, c’est encore la chute avec de piètres prestations de la ‘’séléphanto’’. Au mondial 2006, malgré la pléiade de stars du ballon rond, c’est l’élimination au 1er tour. Un curieux palmarès qui fini par démontrer que le président de la FIF est un piètre looser qu’il faut éloigner de la sélection nationale si l’on veut aller loin. Car 15 ans après l’unique titre africain que détient la Côte d’Ivoire, il faut panser le football. Eu égard aux nombreuses fautes lourdes commises par Jacques Anouma. Des fautes qui ont décliné sur le football ivoirien au niveau international. reconnaissent pas ladite ONG, histoire de reprendre le marché.
Cela a entrainé un énorme préjudice au point que Team Vie Sauve a porté plainte contre Jacques Anouma et la FIF. A ce procès que Jacques Anouma a caché aux ivoiriens, la Côte d’Ivoire a perdu et a été condamné à payer une énorme somme. En marge à cela, la FIF avait fait croire à l’ensemble des Ivoiriens que les billets du mondial 2006 étaient finis à Abidjan alors que ceux-ci avaient fait de la rétention. lesdits billets se sont retrouvés plus tard sur le marché noir à Paris au détriment des ivoiriens, véritables bénéficiaires. Ces deux scandales mis ensemble, la FIFA a décidé de frapper fort en retirant la vente des billets du mondial 2010 réservés aux Ivoiriens à la FIF, pour faire elle même la vente via le net. Là encore, Anouma et ses hommes ont menti au Président Gbagbo et aux ivoiriens en faisant croire que la FIFA a décidé de vendre les billets du Mondial 2010 sur le net pour des raisons de sécurité et de garanties. Une grosse couleuvre qu’on a fait avaler aux amoureux du football ivoirien qui voudraient aller à Jo ‘Bourg pour supporter les Eléphants. Pauvres ivoiriens ! La vérité est tout autre. Par la faute à Jacques Anouma, non seulement le blason des Eléphants est terni eu égard à leurs piètres prestations, c’est le football ivoirien qui perd de l’éclat tant au niveau national qu’international. Peu importe, seul comptent pour l’homme des lauriers et quels bons lauriers et le poste de président de la FIF. Fier qu’il soit d’être désigné pour faire partie d’une commission ad ‘hoc de la FIFA chargée de réfléchir sur le marketing et le financement du football par la FIFA. Démontant ainsi qu’il se fiche du devenir du football ivoirien.
Yann-Inès