L’inattendue élimination des Eléphants en quarts de finale de la Can 2010 a grandement ouvert la porte à la succession du sélectionneur national, Vahid Halilhodzic. Mais en dépit de la cohorte de techniciens annoncés sur le banc, aucun contact, pour l’instant, n’est allé jusqu’à sa finalisation officielle. Une situation qui favorise le maintien de coach Vahid.
On ne peut pas s’en cacher. Le débat sur l’encadrement technique des Eléphants est d’actualité. Et le départ du sélectionneur national, Vahid Halilhodzic, est au centre des discussions. Il ne se passe plus de jours sans que la presse nationale n’en fasse écho. Une dizaine de techniciens de valeur ont été annoncés à la succession du Franco-Bosniaque. Mais depuis l’entame du débat, le Fédération ivoirienne de football(Fif) n’a pas encore donné sa position. Le président de l’instance fédérale, Jacques Anouma, a quasiment terminé ses consultations dans ce sens. Il a écouté toutes les composantes de la structure qu’il dirige. « Si c’est l’encadrement technique qui est le problème, je prendrai les mesures qui s’imposent. Et dans les meilleurs délais », avait prévenu le patron de la Maison de verre de Treichville. A onze jours du match contre la Corée du Sud, en Angleterre, on ne connait pas encore le nom du nouveau sélectionneur des Eléphants. Mais du 24 janvier 2010, jour de l’élimination de la Côte d’Ivoire face à l’Algérie, à ce jour, la Fif n’a pas encore annoncé le limogeage de Vahid. Et comme son contrat court jusqu’au 15 juillet 2010, il reste de fait, le sélectionneur de l’équipe nationale. A ce titre, c’est lui qui sera sur le banc des Eléphants le 03 mars. En plus de ce qu’il convient d’appeler le parallélisme des formes dans cette affaire qui oblige l’instance fédérale à maintenir Vahid pour l’instant, il y a le fait que les négociations engagées avec les autres entraîneurs, selon des sources dignes de foi, n’auraient pas encore abouti à des résultats concrets.
Que va décider Jacques Anouma le 27 février ?
« Jusqu’à preuve du contraire, le président n’a pas encore donné sa position officielle sur le départ de Vahid. Comme son contrat court jusqu’en juillet, pour l’instant c’est lui qui est à la barre. Et s’il n’a rien décidé jusqu’au 3 mars, c’est Vahid qui sera sur le banc contre la Corée du Sud pour le match amical ». La source qui livre cette information est tellement fiable qu’il n’y a pas de place pour le doute. Qu’à cela ne tienne. Car d’ici au 27 février, date du discours de Jacques Anouma à la nation après la débâcle de Cabinda, beaucoup de choses peuvent changer. Toutes les informations, concernant le maintien ou non de Vahid, peuvent être sues dans cette adresse à la nation. A partir de là, les Ivoiriens sauront si Vahid Halilhodzic gardera le banc des pachydermes jusqu’à la Coupe du monde en Afrique du Sud ou s’il le libèrera au profit d’un autre technicien. L’autre situation qui oblige la Fédération à garder la mesure, c’est le fait que Vahid Halilhodzic est sous contrat avec elle jusqu’au 15 juillet 2010. Si elle décide de se séparer de lui alors que lui-même fait des pieds et des mains pour se maintenir à son poste, il va falloir lui verser les cinq mois de salaire restants. Ce ne sera pas moins de 150 millions Fcfa de droit, au bas mot, que la Fif va débourser. Parce que l’ex-coach du PSG touche plus de trente millions Fcfa par mois. Verser 150 millions Fcfa à quelqu’un pour vous avoir éliminé, la fédé regarde. Surtout que les structures financières étatiques ne seraient plus enthousiastes à débourser des fonds pour le sport et pour le football notamment. Quand on se réfère à tous ces aspects, Vahid serait bien parti pour garder son poste. Mais sait-on jamais.
Tibet Kipré
On ne peut pas s’en cacher. Le débat sur l’encadrement technique des Eléphants est d’actualité. Et le départ du sélectionneur national, Vahid Halilhodzic, est au centre des discussions. Il ne se passe plus de jours sans que la presse nationale n’en fasse écho. Une dizaine de techniciens de valeur ont été annoncés à la succession du Franco-Bosniaque. Mais depuis l’entame du débat, le Fédération ivoirienne de football(Fif) n’a pas encore donné sa position. Le président de l’instance fédérale, Jacques Anouma, a quasiment terminé ses consultations dans ce sens. Il a écouté toutes les composantes de la structure qu’il dirige. « Si c’est l’encadrement technique qui est le problème, je prendrai les mesures qui s’imposent. Et dans les meilleurs délais », avait prévenu le patron de la Maison de verre de Treichville. A onze jours du match contre la Corée du Sud, en Angleterre, on ne connait pas encore le nom du nouveau sélectionneur des Eléphants. Mais du 24 janvier 2010, jour de l’élimination de la Côte d’Ivoire face à l’Algérie, à ce jour, la Fif n’a pas encore annoncé le limogeage de Vahid. Et comme son contrat court jusqu’au 15 juillet 2010, il reste de fait, le sélectionneur de l’équipe nationale. A ce titre, c’est lui qui sera sur le banc des Eléphants le 03 mars. En plus de ce qu’il convient d’appeler le parallélisme des formes dans cette affaire qui oblige l’instance fédérale à maintenir Vahid pour l’instant, il y a le fait que les négociations engagées avec les autres entraîneurs, selon des sources dignes de foi, n’auraient pas encore abouti à des résultats concrets.
Que va décider Jacques Anouma le 27 février ?
« Jusqu’à preuve du contraire, le président n’a pas encore donné sa position officielle sur le départ de Vahid. Comme son contrat court jusqu’en juillet, pour l’instant c’est lui qui est à la barre. Et s’il n’a rien décidé jusqu’au 3 mars, c’est Vahid qui sera sur le banc contre la Corée du Sud pour le match amical ». La source qui livre cette information est tellement fiable qu’il n’y a pas de place pour le doute. Qu’à cela ne tienne. Car d’ici au 27 février, date du discours de Jacques Anouma à la nation après la débâcle de Cabinda, beaucoup de choses peuvent changer. Toutes les informations, concernant le maintien ou non de Vahid, peuvent être sues dans cette adresse à la nation. A partir de là, les Ivoiriens sauront si Vahid Halilhodzic gardera le banc des pachydermes jusqu’à la Coupe du monde en Afrique du Sud ou s’il le libèrera au profit d’un autre technicien. L’autre situation qui oblige la Fédération à garder la mesure, c’est le fait que Vahid Halilhodzic est sous contrat avec elle jusqu’au 15 juillet 2010. Si elle décide de se séparer de lui alors que lui-même fait des pieds et des mains pour se maintenir à son poste, il va falloir lui verser les cinq mois de salaire restants. Ce ne sera pas moins de 150 millions Fcfa de droit, au bas mot, que la Fif va débourser. Parce que l’ex-coach du PSG touche plus de trente millions Fcfa par mois. Verser 150 millions Fcfa à quelqu’un pour vous avoir éliminé, la fédé regarde. Surtout que les structures financières étatiques ne seraient plus enthousiastes à débourser des fonds pour le sport et pour le football notamment. Quand on se réfère à tous ces aspects, Vahid serait bien parti pour garder son poste. Mais sait-on jamais.
Tibet Kipré
