La Fif recevra dans les prochains jours un fax de l’avocat de Vahid Halilhodzic qui réclame son salaire jusqu’au mois de juillet prochain. Soit six mois !
Il fallait s’y attendre ! A peine dégommé de l’encadrement technique des Eléphants, samedi, que Vahid Halilhodzic se fait entendre. Et, de quelle manière ? Déjà, l’on sait qu’il s’est rapproché de son avocat. Pas besoin d’avoir un master en droit pour comprendre que la Fif sera bientôt assignée en justice. « Ces gens-là ne m’ont pas respecté. J’ai appris la nouvelle par fax. Pour l’instant, je ne veux pas beaucoup parler. C’est vraiment dégoûtant. J’ai normalement un contrat jusqu’au 31 juillet… », martèle-t-il. Les responsables de la Fédération ivoirienne de football (Fif) devront donc s’attendre à recevoir les gouttes du crachat récemment lancé en l’air. « Je vais saisir mon avocat (…). Je fais jusque-là un bon travail et je comptais poursuivre avec le Mondial. C’est moi qui ai qualifié l’équipe… Nous avons eu le meilleur parcours des pays africains lors des qualifications au Mondial et à la Coupe d’Afrique des nations et, à présent, on remet tout en cause après une défaite, qui était la première depuis que je suis là », ajoute Vahid Halilhodzic. En clair, le technicien franco-bosniaque est « dégoûté » par son limogeage. Telle une histoire d’amour, l’idylle entre Vahid Halilhodzic et les dirigeants du football ivoirien est en train de tourner au vinaigre. Dans un tel cas de figure, il faut sortir le chéquier. Et vite ! Emargeant régulièrement à la comptabilité de la Maison de verre à hauteur de 505.000 euros annuels soit 331 millions 258 mille francs Cfa, le mouton de sacrifice après la Can angolaise ratée exige un dédommagement. Pour être honnête, Vahid Halilhodzic gagnait bien sa vie en tant que sélectionneur des Eléphants. Pour la petite histoire, il était classé 19è salaire mondial. Un petit calcul permet de s’apercevoir que la Fif doit encore six mois de salaire à l’ancien attaquant et entraîneur du Psg. Exactement 165 millions 629 mille francs Cfa !
Sanou Amadou (stagiaire)
Il fallait s’y attendre ! A peine dégommé de l’encadrement technique des Eléphants, samedi, que Vahid Halilhodzic se fait entendre. Et, de quelle manière ? Déjà, l’on sait qu’il s’est rapproché de son avocat. Pas besoin d’avoir un master en droit pour comprendre que la Fif sera bientôt assignée en justice. « Ces gens-là ne m’ont pas respecté. J’ai appris la nouvelle par fax. Pour l’instant, je ne veux pas beaucoup parler. C’est vraiment dégoûtant. J’ai normalement un contrat jusqu’au 31 juillet… », martèle-t-il. Les responsables de la Fédération ivoirienne de football (Fif) devront donc s’attendre à recevoir les gouttes du crachat récemment lancé en l’air. « Je vais saisir mon avocat (…). Je fais jusque-là un bon travail et je comptais poursuivre avec le Mondial. C’est moi qui ai qualifié l’équipe… Nous avons eu le meilleur parcours des pays africains lors des qualifications au Mondial et à la Coupe d’Afrique des nations et, à présent, on remet tout en cause après une défaite, qui était la première depuis que je suis là », ajoute Vahid Halilhodzic. En clair, le technicien franco-bosniaque est « dégoûté » par son limogeage. Telle une histoire d’amour, l’idylle entre Vahid Halilhodzic et les dirigeants du football ivoirien est en train de tourner au vinaigre. Dans un tel cas de figure, il faut sortir le chéquier. Et vite ! Emargeant régulièrement à la comptabilité de la Maison de verre à hauteur de 505.000 euros annuels soit 331 millions 258 mille francs Cfa, le mouton de sacrifice après la Can angolaise ratée exige un dédommagement. Pour être honnête, Vahid Halilhodzic gagnait bien sa vie en tant que sélectionneur des Eléphants. Pour la petite histoire, il était classé 19è salaire mondial. Un petit calcul permet de s’apercevoir que la Fif doit encore six mois de salaire à l’ancien attaquant et entraîneur du Psg. Exactement 165 millions 629 mille francs Cfa !
Sanou Amadou (stagiaire)