Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec chants d’allégresse » Psaume 126, verset 5. C’est le thème de la fête des moissons de l’Eglise méthodiste unie de Côte d’Ivoire (Emuci), district d’Abobo, édition 2010, qui s’est tenue dimanche dernier.
Tout a commencé dès 8h du matin, par une procession en fanfare de l’entrée du village au temple Emmanuel d’Anonkoua- Kouté. Pendant le culte, la Révérende pasteur Ayitié Pierrette épouse Beugré, a consacré des moments forts de sa prédication à l’explicitation du thème.
Elle a relevé qu’il faut préparer d’emblée la terre, puis planter avant d’attendre patiemment la récolte. Ce cycle agricole et les péripéties qui peuvent survenir avant la moisson, ont, par extrapolation, été comparés au cycle de vie de l’homme, marqué par les difficultés de la vie, la maladie, le chômage, etc.
Une fois que l’on triomphe de tous ces obstacles, la moisson ne peut qu’être bonne. La récolte se fait alors avec des chants d’allégresse. Et cela fait oublier les larmes de celui qui veut être béni. Car selon la révérende, il faut apprendre à semer jusqu’à l’agonie, s’attendre à Dieu pour de riches bénédictions dans sa tombe. Après le culte, qui a duré une heure, la fête des moissons à proprement dite a été célébrée. Avec en point de mire la vente d’une Bible à une Américaine.
Elle se l’est adjugée à 2 millions 100 mille F Cfa. Il y a eu également la vente d’eau, de pain et du panier de la ménagère. L’apothéose a été le partage du fruit de la moisson, tout en bénissant tous les invités.
La Révérende a prié le Seigneur afin qu’il garde la Côte d’Ivoire pour d’autres moissons plus fructueuses.
Cissé Mamadou
Tout a commencé dès 8h du matin, par une procession en fanfare de l’entrée du village au temple Emmanuel d’Anonkoua- Kouté. Pendant le culte, la Révérende pasteur Ayitié Pierrette épouse Beugré, a consacré des moments forts de sa prédication à l’explicitation du thème.
Elle a relevé qu’il faut préparer d’emblée la terre, puis planter avant d’attendre patiemment la récolte. Ce cycle agricole et les péripéties qui peuvent survenir avant la moisson, ont, par extrapolation, été comparés au cycle de vie de l’homme, marqué par les difficultés de la vie, la maladie, le chômage, etc.
Une fois que l’on triomphe de tous ces obstacles, la moisson ne peut qu’être bonne. La récolte se fait alors avec des chants d’allégresse. Et cela fait oublier les larmes de celui qui veut être béni. Car selon la révérende, il faut apprendre à semer jusqu’à l’agonie, s’attendre à Dieu pour de riches bénédictions dans sa tombe. Après le culte, qui a duré une heure, la fête des moissons à proprement dite a été célébrée. Avec en point de mire la vente d’une Bible à une Américaine.
Elle se l’est adjugée à 2 millions 100 mille F Cfa. Il y a eu également la vente d’eau, de pain et du panier de la ménagère. L’apothéose a été le partage du fruit de la moisson, tout en bénissant tous les invités.
La Révérende a prié le Seigneur afin qu’il garde la Côte d’Ivoire pour d’autres moissons plus fructueuses.
Cissé Mamadou