“Le président Gbagbo veut construire une Côte d'Ivoire homogène et égalitaire dans laquelle les citoyens, vont prétendre aux mêmes privilèges et services”. Présent samedi dernier dans le village de Gbalébouo pour parrainer le lancement des activités socio-culturelles et sportives de l'inspection de l'enseignement primaire (IEP) d'Okrouyo (département de Soubré), Miaka Ouretto a developpé quelques points saillants du projet de socité et du programme de gouvernement du chef de l'Etat.
Dans une démarche pédagogique propre à la famille des enseignants à laquelle il appartient, le secsrétaire général du FPI et président du conseil général de Soubré a montré que les principales réformes initiées par le présidsent Gbagbo visent à donner un mieux être à tous les ivoiriens, sans distinction de rang social.
“L'école gratuite jusqu'à la classe de troisième, de l'assurance maladie universelle et de la décentralisation, se recoupent en un objectif commun : donner les mêmes chances à tous les ivoiriens quelles que soient leurs origines sociales”. Miaka Ouretto a invité les instituteurs et la population de Gbalébouo “la coquette” à croire en cette société fondée sur la solidarité et l'égalité qui ne tardera pas à se mettre en place, même s'il précise que “l'égalité totale n'existe pas”. Le président du conseil général de Soubré n'a pas occulté les difficultés du moment liées à la crise, et les désagréments causés par le délestage. Face à ces difficultés, Miaka Ouretto a appelé les ivoiriens à résister en sachant que des efforts sont en train d'être faits pour permettre à la Côte d'Ivoire de sortir de la zone de turbulence. Il a salué surtout la capacité du peuple ivoirien à surmonter les situations difficiles. Un peuple qu'il compare à “l'hydre de la légende à plusieurs têtes” et qui doit être en avant-garde du combat pour la valorisation du continent africain. Ce combat selon l'illustre hôte de Gbalébouo passe par le travail et l'instruction. D'où l'hommage vibrant, qu'il a rendu aux instituteurs qui ont en charge l'éducation de base de la société. “Votre travail est énorme et vous méritez de la nation”, a dit le parrain après un long plaidoyer pour la scolarisation des enfants. La cause a été également entendue par le secrétaire général de préfecture, représentant le préfet de Soubré qui a fait sienne la pensée de Jules Ferry selon laquelle “Les peuples qui ont les meilleures écoles sont les premiers peuples”. L'administrateur civil a en outre salué l'engagement du Pr. Miaka Ouretto pour la cause du développement. Même son de cloche pour Guillaume Gnapo, inspecteur de l'enseignement primaire d'Okrouyo qui reste également convaincu que la formation des citoyens permettra à la Côte d'Ivoire d'entrer dans le concert des nations comme acteur principal.
Pour sa part, M. Anoi Bruno, vice-président du conseil général de Soubré a levé un coin de voile sur le programme d'activité du conseil qui, dira-t-il, accorde un intérêt particulier à l'éducation et à la santé. La fête riche en couleur, en son et en originalité a vu la participation du colonel Laurent Dasset directeur de l'intendance des l'Armées et fils du village de Gbalébouo.
Junior Dekassan envoyé spécial
Dans une démarche pédagogique propre à la famille des enseignants à laquelle il appartient, le secsrétaire général du FPI et président du conseil général de Soubré a montré que les principales réformes initiées par le présidsent Gbagbo visent à donner un mieux être à tous les ivoiriens, sans distinction de rang social.
“L'école gratuite jusqu'à la classe de troisième, de l'assurance maladie universelle et de la décentralisation, se recoupent en un objectif commun : donner les mêmes chances à tous les ivoiriens quelles que soient leurs origines sociales”. Miaka Ouretto a invité les instituteurs et la population de Gbalébouo “la coquette” à croire en cette société fondée sur la solidarité et l'égalité qui ne tardera pas à se mettre en place, même s'il précise que “l'égalité totale n'existe pas”. Le président du conseil général de Soubré n'a pas occulté les difficultés du moment liées à la crise, et les désagréments causés par le délestage. Face à ces difficultés, Miaka Ouretto a appelé les ivoiriens à résister en sachant que des efforts sont en train d'être faits pour permettre à la Côte d'Ivoire de sortir de la zone de turbulence. Il a salué surtout la capacité du peuple ivoirien à surmonter les situations difficiles. Un peuple qu'il compare à “l'hydre de la légende à plusieurs têtes” et qui doit être en avant-garde du combat pour la valorisation du continent africain. Ce combat selon l'illustre hôte de Gbalébouo passe par le travail et l'instruction. D'où l'hommage vibrant, qu'il a rendu aux instituteurs qui ont en charge l'éducation de base de la société. “Votre travail est énorme et vous méritez de la nation”, a dit le parrain après un long plaidoyer pour la scolarisation des enfants. La cause a été également entendue par le secrétaire général de préfecture, représentant le préfet de Soubré qui a fait sienne la pensée de Jules Ferry selon laquelle “Les peuples qui ont les meilleures écoles sont les premiers peuples”. L'administrateur civil a en outre salué l'engagement du Pr. Miaka Ouretto pour la cause du développement. Même son de cloche pour Guillaume Gnapo, inspecteur de l'enseignement primaire d'Okrouyo qui reste également convaincu que la formation des citoyens permettra à la Côte d'Ivoire d'entrer dans le concert des nations comme acteur principal.
Pour sa part, M. Anoi Bruno, vice-président du conseil général de Soubré a levé un coin de voile sur le programme d'activité du conseil qui, dira-t-il, accorde un intérêt particulier à l'éducation et à la santé. La fête riche en couleur, en son et en originalité a vu la participation du colonel Laurent Dasset directeur de l'intendance des l'Armées et fils du village de Gbalébouo.
Junior Dekassan envoyé spécial