Le Secrétariat National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités (SNGRC) a remis au Premier ministre Guillaume Soro le rapport provisoire du Plan national de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption. C’était au cours d’une cérémonie solennelle qui s’est tenue, le mercredi 10 mars 2010, à la Primature.
Cela, en présence des représentants du Programme des Nations Unies pour la Développement (PNUD), de la Banque Africaine de Développement (BAD), de l’Union européenne (UE) et de MM. Paul-Antoine Bohoun Bouabré, ministre du Plan et du Développement, Koné Mamadou, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Charles Diby Koffi, ministre de l’Economie et des Finances, et Emile Guiriéoulou, ministre de la Fonction publique et de l’Emploi.
Le chef du Gouvernement a félicité Mme Roberte Amani-Druide, Secrétaire National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités pour le travail effectué et a fait savoir que la bonne Gouvernance n’est pas un simple concept, mais une volonté de bâtir un Gouvernement transparent. Il a promis que ce plan une fois adopté en Conseil des ministres sera mis en œuvre dans les meilleurs délais. Il a invité tout un chacun à la sollicitude et à l’engagement au travail dans le cadre du Gouvernement.
Les représentants du PNUD, de la BAD et de l’Union européenne présents à cette manifestation ont dit toute leur disponibilité à accompagner la mise en œuvre de ce plan. M. Koné Mamadou, Garde des sceaux, ministre de la Justice et des droits de l’Homme a fait savoir qu’il compte assainir le secteur judiciaire par la mise en place des Tribunaux de commerce présidés par des juges professionnels et assistés d’assesseurs issus du monde des affaires, de la banque et de l’assurance. Il a aussi plaidé pour la mise en place de la Cour des Comptes en invitant le Gouvernement à se saisir du projet de loi de création de cette Cour.
Pour sa part, M. Paul-Antoine Bohoun Bouabré, ministre du Plan et du Développement, a voulu prendre à son compte les déclarations du Premier ministre. Il a réaffirmé que les documents remis seront pris en compte au niveau du Conseil du Gouvernement pour analyses, propositions et commentaires, afin de se l’approprier et de l’adopter en Conseil des ministres. Après quoi, sa mise en œuvre sera soutenue par le chef du Gouvernement.
Cela, en présence des représentants du Programme des Nations Unies pour la Développement (PNUD), de la Banque Africaine de Développement (BAD), de l’Union européenne (UE) et de MM. Paul-Antoine Bohoun Bouabré, ministre du Plan et du Développement, Koné Mamadou, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Charles Diby Koffi, ministre de l’Economie et des Finances, et Emile Guiriéoulou, ministre de la Fonction publique et de l’Emploi.
Le chef du Gouvernement a félicité Mme Roberte Amani-Druide, Secrétaire National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités pour le travail effectué et a fait savoir que la bonne Gouvernance n’est pas un simple concept, mais une volonté de bâtir un Gouvernement transparent. Il a promis que ce plan une fois adopté en Conseil des ministres sera mis en œuvre dans les meilleurs délais. Il a invité tout un chacun à la sollicitude et à l’engagement au travail dans le cadre du Gouvernement.
Les représentants du PNUD, de la BAD et de l’Union européenne présents à cette manifestation ont dit toute leur disponibilité à accompagner la mise en œuvre de ce plan. M. Koné Mamadou, Garde des sceaux, ministre de la Justice et des droits de l’Homme a fait savoir qu’il compte assainir le secteur judiciaire par la mise en place des Tribunaux de commerce présidés par des juges professionnels et assistés d’assesseurs issus du monde des affaires, de la banque et de l’assurance. Il a aussi plaidé pour la mise en place de la Cour des Comptes en invitant le Gouvernement à se saisir du projet de loi de création de cette Cour.
Pour sa part, M. Paul-Antoine Bohoun Bouabré, ministre du Plan et du Développement, a voulu prendre à son compte les déclarations du Premier ministre. Il a réaffirmé que les documents remis seront pris en compte au niveau du Conseil du Gouvernement pour analyses, propositions et commentaires, afin de se l’approprier et de l’adopter en Conseil des ministres. Après quoi, sa mise en œuvre sera soutenue par le chef du Gouvernement.