Le cheikh Aïma, Boikary Fofana, président du Conseil supérieur des imams (Cosim) était hier chez Bouréima Badini, Représentant du facilitateur du dialogue inter-ivoirien. A sa sortie d'audience, le guide religieux s'est confié à la presse.
Quelles sont les raisons de cette rencontre avec M. Bouréima Badini?
Les raisons se situent dans la constance de nos démarches pour chercher les voies et moyens pour la sortie de crise. Nous sommes venus, en ce moment précis, nous renseigner sur l'évolution des choses. Et voir aussi ce qu'il est possible de faire et ce que nous pouvons faire pour les (les observateurs, ndlr) aider, aider les acteurs politiques pour une meilleure sortie de crise. On croyait que tout était fini à un moment donné. Mais on voit que tout ressurgit. Les mêmes termes reviennent. Et comme on le dit, les mêmes causes aboutissent aux mêmes effets, si rien n'est fait. Nous voulons faire quelque chose avant qu'il ne soit trop tard.
Que lui avez-vous proposé pour le retour définitif de la paix ?
C'est d'aider les uns et les autres à respecter les termes de l'aspect. Parce que pour le religieux que nous sommes, nous tenons beaucoup au respect des engagements. Cela fait partie des fondements de notre foi.
Peut-on espérer une sortie rapide de cette crise ?
L'espoir, c'est Dieu seul qui peut nous le donner. Mais nous sommes tout le temps optimistes. Tant qu'il y a la marche, le balancement des mains ne s'arrête pas. Nous sommes optimistes en tant que croyants. Mais il faut travailler, nous travaillons.
Quels sont les sujets qui ont été abordés principalement ?
Naturellement, nous essayons de nous renseigner sur les dernières évolutions. Il y a eu beaucoup de mouvements vers Ouaga. Il y en a eu beaucoup également à l'extérieur. La Cei (ndlr, Commission électorale indépendante) a été reconstituée, le gouvernement a été remis en place. Est-ce qu'on avance, ou bien on s'arrête ou on récule ? Il faut savoir où nous sommes.
Avez-vous été rassuré ?
Nous avons des raisons d'être optimistes. Mais il faut travailler.
Propos recueillis par Bamba K. Inza (stagiaire)
Quelles sont les raisons de cette rencontre avec M. Bouréima Badini?
Les raisons se situent dans la constance de nos démarches pour chercher les voies et moyens pour la sortie de crise. Nous sommes venus, en ce moment précis, nous renseigner sur l'évolution des choses. Et voir aussi ce qu'il est possible de faire et ce que nous pouvons faire pour les (les observateurs, ndlr) aider, aider les acteurs politiques pour une meilleure sortie de crise. On croyait que tout était fini à un moment donné. Mais on voit que tout ressurgit. Les mêmes termes reviennent. Et comme on le dit, les mêmes causes aboutissent aux mêmes effets, si rien n'est fait. Nous voulons faire quelque chose avant qu'il ne soit trop tard.
Que lui avez-vous proposé pour le retour définitif de la paix ?
C'est d'aider les uns et les autres à respecter les termes de l'aspect. Parce que pour le religieux que nous sommes, nous tenons beaucoup au respect des engagements. Cela fait partie des fondements de notre foi.
Peut-on espérer une sortie rapide de cette crise ?
L'espoir, c'est Dieu seul qui peut nous le donner. Mais nous sommes tout le temps optimistes. Tant qu'il y a la marche, le balancement des mains ne s'arrête pas. Nous sommes optimistes en tant que croyants. Mais il faut travailler, nous travaillons.
Quels sont les sujets qui ont été abordés principalement ?
Naturellement, nous essayons de nous renseigner sur les dernières évolutions. Il y a eu beaucoup de mouvements vers Ouaga. Il y en a eu beaucoup également à l'extérieur. La Cei (ndlr, Commission électorale indépendante) a été reconstituée, le gouvernement a été remis en place. Est-ce qu'on avance, ou bien on s'arrête ou on récule ? Il faut savoir où nous sommes.
Avez-vous été rassuré ?
Nous avons des raisons d'être optimistes. Mais il faut travailler.
Propos recueillis par Bamba K. Inza (stagiaire)