Le match amical contre la Corée du Sud (0-2) n’a pas réconcilié les Eléphants avec leurs supporters. Pis, à 90 jours du coup d’envoi de la Coupe du monde, la fédération est incapable de trouver un entraîneur à l’équipe. Pourtant, «les entraîneurs se bousculent à la tête de cette équipe.
Et ce ne sont pas des entraîneurs de bas niveau. J’espère avoir la main heureuse», confiait le président Anouma qui, visiblement, a l’embarras du choix.
C’est que dans le cas d’espèce, il y a trop de critères qui entrent en ligne de compte. «J’ai beaucoup de propositions. Je ne vous le cache pas et non des moindres.
Mais il y a beaucoup de critères: le coût financier, le parcours de cet entraîneur, la question pour le président de savoir si cet entraîneur est capable d’apporter un plus…», insiste, sur son site internet personnel, le patron du football ivoirien, qui recherche, en priorité, un technicien expérimenté qui a déjà entraîné une équipe nationale avec en prime une expérience de Coupe du monde de la Fifa.
Evidemment, beaucoup de gens pensent à Guus Hiddink puisqu’il était à la tête de la Corée du Sud à la Coupe du monde 2002 et l’Australie en 2006. Le président Anouma ne dit pas le contraire, sauf qu’il n’a pas encore obtenu la signature du Néerlandais.
A côté de Hiddink, grand favori, il y a un lobbying fort en faveur de Philippe Troussier, qui a conduit le Japon à la Coupe du monde 2002. Jacques Anouma l’aurait même reçu dernièrement à Paris. De même que le Suédois, Sven Goran Eriksson, qui a entraîné l’équipe d’Angleterre de 2001 à 2006 et celle du Mexique (2008-2009).
Dans le cas contraire, le président de la Fif, qui promet de donner un nom cette semaine, pourrait, au pire des cas, se tourner vers un entraîneur de club charismatique du type Eric Gerets, l’ex-entraîneur de Marseille. «Dans tous les cas, c’est encore ouvert. Honnêtement, c’est encore ouvert. Il y en a avec qui je suis plus avancé, d’autres pour lesquels ça reste ouvert… Avant d’annoncer que l’entraîneur de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire, est un tel, il faut que j’aie une signature au bas d’une page», rassure le président de la Fif, qui a convié les patrons de presse et les journalistes sportifs à un déjeuner, hier, en zone 4.
Paul Bagnini
Et ce ne sont pas des entraîneurs de bas niveau. J’espère avoir la main heureuse», confiait le président Anouma qui, visiblement, a l’embarras du choix.
C’est que dans le cas d’espèce, il y a trop de critères qui entrent en ligne de compte. «J’ai beaucoup de propositions. Je ne vous le cache pas et non des moindres.
Mais il y a beaucoup de critères: le coût financier, le parcours de cet entraîneur, la question pour le président de savoir si cet entraîneur est capable d’apporter un plus…», insiste, sur son site internet personnel, le patron du football ivoirien, qui recherche, en priorité, un technicien expérimenté qui a déjà entraîné une équipe nationale avec en prime une expérience de Coupe du monde de la Fifa.
Evidemment, beaucoup de gens pensent à Guus Hiddink puisqu’il était à la tête de la Corée du Sud à la Coupe du monde 2002 et l’Australie en 2006. Le président Anouma ne dit pas le contraire, sauf qu’il n’a pas encore obtenu la signature du Néerlandais.
A côté de Hiddink, grand favori, il y a un lobbying fort en faveur de Philippe Troussier, qui a conduit le Japon à la Coupe du monde 2002. Jacques Anouma l’aurait même reçu dernièrement à Paris. De même que le Suédois, Sven Goran Eriksson, qui a entraîné l’équipe d’Angleterre de 2001 à 2006 et celle du Mexique (2008-2009).
Dans le cas contraire, le président de la Fif, qui promet de donner un nom cette semaine, pourrait, au pire des cas, se tourner vers un entraîneur de club charismatique du type Eric Gerets, l’ex-entraîneur de Marseille. «Dans tous les cas, c’est encore ouvert. Honnêtement, c’est encore ouvert. Il y en a avec qui je suis plus avancé, d’autres pour lesquels ça reste ouvert… Avant d’annoncer que l’entraîneur de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire, est un tel, il faut que j’aie une signature au bas d’une page», rassure le président de la Fif, qui a convié les patrons de presse et les journalistes sportifs à un déjeuner, hier, en zone 4.
Paul Bagnini