Aux grands maux, de grands remèdes ! Toujours plus proche et à l'écoute de son peuple, le chef de l'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo, à l'image d'un bon médecin, a pris soin pendant quelques semaines, de poser le diagnostic du délestage et lui administrer une meilleure thérapie. D'ici une semaine, voire la fin du mois de mars, les coupures longues et fréquentes de courant ne seront que de vieux souvenirs pour l'ensemble des populations éburnéennes. "Nous avons encore une semaine à subir le délestage. Le temps que la turbine d'Azito soit réparée. J'ai demandé au premier ministre de veiller à ce que la gestion de ce délestage préserve les secteurs aussi sensibles que sont les centres de santé, les stations de pompage d'eau, les installations stratégiques du pays, les industries dont dépend la vie économique du pays". Ainsi parle Laurent Gbagbo. Le berger qui s'est toujours préoccupé de la survie de son troupeau. Souvenons-nous que lorsqu'en 2008, les rues d'Abidjan et de l'intérieur étaient en effervescence, pour dénoncer la cherté de la vie, effet de la crise financière mondiale, le Président Laurent Gbagbo s'est personnellement investi à trouver des solutions idoines aux difficultés quotidiennes de son peuple. On a encore en mémoire son adresse qualifiée de "thérapie" du 5 avril 2008. Qui avait fait baisser la fièvre sociale. Fin d'un calvaire, jubile-t-on au sein de la population. Que n'a-t-on pas entendu ? Que n'a-t-on pas écrit au sujet du délestage sur le compte du Président Gbagbo ? "Gbagbo, la source des malheurs des Ivoiriens" ou encore "depuis que Gbagbo est président, nous souffrons, qu'il quitte le pouvoir pour qu'on soit heureux". Ces quelques lamentations des Ivoiriens rappellent les agissements des enfants de Dieu en captivité en Egypte. Dont l'Eternel a inspiré un de ses serviteurs, Moïse, à sortir son peuple de la servitude du Pharaon. Sur le chemin de la Terre promise, face aux difficultés de tous ordres, les anciens esclaves ont commencé à murmurer contre Moise et son Dieu. En disant à Moise et Aaron qu'ils vivaient encore mieux dans leurs situations d'esclaves en Egypte. "Et toute l'assemblée des enfants d'Israël murmura dans le désert contre Moïse et Aaron. Les enfants d'Israël leur dirent : Que ne sommes-nous morts par la main de l'Eternel dans le pays d'Egypte, quand nous étions assis près des pots de viande, quand nous mangions du pain à satiété ? Car vous nous avez menés dans ce désert pour faire mourir de faim toute cette multitude ", Exode 16 verset 2 à 3. "Et l'Eternel dit à Moise : Voici, je ferai pleuvoir pour vous du pain du haut des cieux. Le peuple sortira, et en ramassera, jour par jour, la quantité nécessaire, afin que je le mette à l'épreuve, et que je voie s'il marchera, ou non, selon ma loi", verset 4 du même chapitre. Après ces épreuves, les enfants de Dieu parvinrent à la Terre promise. A méditer !
Zéré de Mahi
gnolou06823266@yahoo.fr
Zéré de Mahi
gnolou06823266@yahoo.fr
