Le président de la Fédération ivoirienne de football, Jacques Bernard Daniel Anouma, devrait à nouveau se rendre hier en France. Pour continuer ses consultations en vue de désigner le nouveau patron du banc des Eléphants.
Durant combien de temps encore la Côte d’Ivoire va-t-elle rester sans entraîneur ? A moins de cent jours de la Coupe du monde de football, il est toujours difficile d’être précis sur la question. Des trente deux sélections qualifiées pour l’Afrique du Sud, seuls les Eléphants réalisent l’exploit, contre leur gré, de demeurer sans guide technique. Et à ce qu’il paraît, le feuilleton est loin de prendre fin. Et pourtant le temps presse. Un paradoxe. L’épisode Guus Hiddink qui a duré quasiment trois semaines est terminé. Avec tout ce que cela a engendré comme commentaires et spéculations. La fédération va ouvrir un nouvel épisode qu’elle va sans doute soumettre à l’appréciation des sportifs ivoiriens avec certainement pour acteurs principaux le Franco-Ivoirien Philippe Bernard Troussier, le Suédois Sven-Göran Eriksson et l’Anglais Glenn Hoddle. Trois grosses têtes qui étaient déjà dans les starting-blocks de l’instance fédérale. C’est pour rencontrer, à nouveau, ces techniciens que le président de la Fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma, devrait quitter Abidjan hier pour la capitale française. « On fera tout pour avoir un entraîneur de qualité à un prix raisonnable », affirmait récemment le patron de la Maison de verre de Treichville. A moins qu’il ne décide d’explorer une nouvelle piste, les noms des trois entraîneurs suscités figurent déjà sur son calepin.
Eriksson, Hoddle, Troussier, qui Anouma choisira-t-il ?
Le temps presse. Le patron du football ivoirien le sait. Il est bien obligé de presser les pas lui aussi. En faisant un choix, le meilleur, le plus tôt possible. Mais qui de Göran, Troussier ou de Glenn sera le cheval de la Fif pour la Coupe du monde dans quelques semaines au pays arc-en-ciel ? Une certitude, aucun de ces trois techniciens ne coûtera aussi cher que le Néerlandais Guus Hiddink.
Tout ou presque a été dit sur Philippe Troussier. De sa forte personnalité à ses qualités techniques en passant par sa grosse connaissance de l’environnement du football ivoirien et de la Coupe du monde, tout y est passé. Mais seule l’appréciation des membres de la fédé compte. L’homme attend donc les mains croisées. On sait le parcours du Suédois Göran Eriksson. Le top c’est son passage à la tête de la sélection nationale de l’Angleterre d’où il a été remercié il y a longtemps. C’est un technicien d’expérience. Après Guus Hiddink, c’est l’entraîneur de prestige que la Côte d’Ivoire recherche pour sa sélection. Comme le suédois, Glenn Hoddle, le Britanique, a aussi entraîné l’équipe nationale anglaise. Lui également est connu dans la sphère du football mondial. Il fait aussi luxueux. Le président de la Fif a déjà en sa possession les parchemins de ces trois hommes de terrain. Il ne lui reste plus qu’à les analyser davantage et de choisir celui dont le profil sied le mieux aux joueurs comme Drogba Didier, Touré Yaya, Salomon Kalou, Kolo Touré et autres. Une chose est certaine, un choix ne fait jamais l’unanimité. Et Jacques Anouma est dans le mauvais rôle de celui qui choisit. Il assumera donc les conséquences. Qu’elles soient positives ou négatives. Comme un bon chef.
Tibet Kipré
Leg : Le président de la Fif, Jacques Anouma, sera en France ces jours-ci. L’entraîneur des Eléphants devrait être connu cette semaine.
Durant combien de temps encore la Côte d’Ivoire va-t-elle rester sans entraîneur ? A moins de cent jours de la Coupe du monde de football, il est toujours difficile d’être précis sur la question. Des trente deux sélections qualifiées pour l’Afrique du Sud, seuls les Eléphants réalisent l’exploit, contre leur gré, de demeurer sans guide technique. Et à ce qu’il paraît, le feuilleton est loin de prendre fin. Et pourtant le temps presse. Un paradoxe. L’épisode Guus Hiddink qui a duré quasiment trois semaines est terminé. Avec tout ce que cela a engendré comme commentaires et spéculations. La fédération va ouvrir un nouvel épisode qu’elle va sans doute soumettre à l’appréciation des sportifs ivoiriens avec certainement pour acteurs principaux le Franco-Ivoirien Philippe Bernard Troussier, le Suédois Sven-Göran Eriksson et l’Anglais Glenn Hoddle. Trois grosses têtes qui étaient déjà dans les starting-blocks de l’instance fédérale. C’est pour rencontrer, à nouveau, ces techniciens que le président de la Fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma, devrait quitter Abidjan hier pour la capitale française. « On fera tout pour avoir un entraîneur de qualité à un prix raisonnable », affirmait récemment le patron de la Maison de verre de Treichville. A moins qu’il ne décide d’explorer une nouvelle piste, les noms des trois entraîneurs suscités figurent déjà sur son calepin.
Eriksson, Hoddle, Troussier, qui Anouma choisira-t-il ?
Le temps presse. Le patron du football ivoirien le sait. Il est bien obligé de presser les pas lui aussi. En faisant un choix, le meilleur, le plus tôt possible. Mais qui de Göran, Troussier ou de Glenn sera le cheval de la Fif pour la Coupe du monde dans quelques semaines au pays arc-en-ciel ? Une certitude, aucun de ces trois techniciens ne coûtera aussi cher que le Néerlandais Guus Hiddink.
Tout ou presque a été dit sur Philippe Troussier. De sa forte personnalité à ses qualités techniques en passant par sa grosse connaissance de l’environnement du football ivoirien et de la Coupe du monde, tout y est passé. Mais seule l’appréciation des membres de la fédé compte. L’homme attend donc les mains croisées. On sait le parcours du Suédois Göran Eriksson. Le top c’est son passage à la tête de la sélection nationale de l’Angleterre d’où il a été remercié il y a longtemps. C’est un technicien d’expérience. Après Guus Hiddink, c’est l’entraîneur de prestige que la Côte d’Ivoire recherche pour sa sélection. Comme le suédois, Glenn Hoddle, le Britanique, a aussi entraîné l’équipe nationale anglaise. Lui également est connu dans la sphère du football mondial. Il fait aussi luxueux. Le président de la Fif a déjà en sa possession les parchemins de ces trois hommes de terrain. Il ne lui reste plus qu’à les analyser davantage et de choisir celui dont le profil sied le mieux aux joueurs comme Drogba Didier, Touré Yaya, Salomon Kalou, Kolo Touré et autres. Une chose est certaine, un choix ne fait jamais l’unanimité. Et Jacques Anouma est dans le mauvais rôle de celui qui choisit. Il assumera donc les conséquences. Qu’elles soient positives ou négatives. Comme un bon chef.
Tibet Kipré
Leg : Le président de la Fif, Jacques Anouma, sera en France ces jours-ci. L’entraîneur des Eléphants devrait être connu cette semaine.