Après Y. Choï le vendredi dernier, le Rassemblement des femmes houphouëtistes (RFHDP) a rencontré le représentant du facilitateur de la crise ivoirienne, Bouréïma Baldini. C’était hier, au siège du bureau international du travail (BIT) sis au Plateau.
L’objectif de cette rencontre qui a duré plus d’une heure (11h-12h15mn) était de faire part à M. Boureïma Baldini, représentant du facilitateur de la crise ivoirienne, Son Excellence Blaise Compaoré, président de la république du Burkina Faso, des inquiétudes des femmes, face aux reports répétés des élections en Côte d’Ivoire. La cinquantaine des femmes présentes avec à leur tête, Mesdames Henriette Dao Coulibaly du Pdci-rda, Touré Virginie du Rdr et Traoré Pauline du Mfa, ainsi que la représente de la président de l’Udpci Bonao Cécile, a transmis un message clair à Bouréïma Baldini. La présidente des femmes du Rhdp, M. Dao Henriette Coulibaly a fait savoir le regret des femmes du fait de la non-reprise du contentieux prévu du 1er au 21 mars, la reconstitution des CEI locales demandée par le camp présidentiel et les demandes de radiations non fondées dont 70% des noms incriminés font partie de la liste de 2000. Aussi, note-elle avec regret, la liste électorale blanche (5.300.000) électeurs) établie sur la base du listing électoral de 2000. Après avoir énuméré ces faits qui sont la cause du blocage des élections en Côte d’ivoire, Mme Dao Henriette Marianne assistée par ses sœurs a demandé avec insistance à M. Bouréïma Bladini de transmettre au facilitateur Blaise Compaoré leur principale doléance. Celle de tout mettre en œuvre pour le respect scrupuleux du chronogramme et la fixation d’une date effective et définitive pour le premier tour de l’élection présidentiel car, leur volonté est d’aller aux élections dans les plus brefs délais. Ensemble, elles ont averti que, fatiguées des multiples reports des dates d’élections, elles ne toléreront plus d’avoir une nouvelle rallonge de M. Gbagbo à la tête du pays.
Etienne Lemistick
L’objectif de cette rencontre qui a duré plus d’une heure (11h-12h15mn) était de faire part à M. Boureïma Baldini, représentant du facilitateur de la crise ivoirienne, Son Excellence Blaise Compaoré, président de la république du Burkina Faso, des inquiétudes des femmes, face aux reports répétés des élections en Côte d’Ivoire. La cinquantaine des femmes présentes avec à leur tête, Mesdames Henriette Dao Coulibaly du Pdci-rda, Touré Virginie du Rdr et Traoré Pauline du Mfa, ainsi que la représente de la président de l’Udpci Bonao Cécile, a transmis un message clair à Bouréïma Baldini. La présidente des femmes du Rhdp, M. Dao Henriette Coulibaly a fait savoir le regret des femmes du fait de la non-reprise du contentieux prévu du 1er au 21 mars, la reconstitution des CEI locales demandée par le camp présidentiel et les demandes de radiations non fondées dont 70% des noms incriminés font partie de la liste de 2000. Aussi, note-elle avec regret, la liste électorale blanche (5.300.000) électeurs) établie sur la base du listing électoral de 2000. Après avoir énuméré ces faits qui sont la cause du blocage des élections en Côte d’ivoire, Mme Dao Henriette Marianne assistée par ses sœurs a demandé avec insistance à M. Bouréïma Bladini de transmettre au facilitateur Blaise Compaoré leur principale doléance. Celle de tout mettre en œuvre pour le respect scrupuleux du chronogramme et la fixation d’une date effective et définitive pour le premier tour de l’élection présidentiel car, leur volonté est d’aller aux élections dans les plus brefs délais. Ensemble, elles ont averti que, fatiguées des multiples reports des dates d’élections, elles ne toléreront plus d’avoir une nouvelle rallonge de M. Gbagbo à la tête du pays.
Etienne Lemistick
