Suite aux évènements malheureux qui ont endeuillé les houphouétistes, le mois dernier à Gagnoa, la direction du rassemblement des républicains (Rdr) a apporté son soutien aux victimes. Une délégation, conduite par le ministre Hamed Bakayoko, directeur national de campagne chargé de la jeunesse, qui avait à ses cotés dame Anne Ouloto, secrétaire nationale chargée de la solidarité, des messieurs Kpokpa Alexis, directeur de campagne chargé des villes de Gagnoa et Issia, Alexis Zékré, directeur départemental de campagne, est venue saluer la mémoire des
disparus et réconforter les blessés. « Le président Alasane Dramane Ouattara nous envoie vers vous pour vous dire « yako ». Il me charge de vous dire qu'il sera aux côtés des parents des victimes. On ne peut pas négliger nos militants.
Il me charge de vous dire que ces crimes ne resteront pas impunis ». Telle est la teneur du message que la direction du Rdr a apporté à ses militants. Pour le ministre Bakayoko, l'un des fondements de la crise en Côte d'Ivoire est l'impunité. Une pratique dont la fin est proche. « L'impunité est un leurre momentané, nous ne sommes plus loin du bout du tunnel », a-t-il exhorté son auditoire. Pour encrer ses propos dans la réalité, l'envoyé du Rdr a donné l'exemple de l'apartheid. Mandela à qui, il a fait allusion, a passé 27 ans en prison avant de voir ses efforts couronnés par la victoire de l'ANC.
Aujourd'hui, on parle de l'apartheid au passé, « un jour, c'est comme cela qu'on parlera de la refondation au passé parce que son temps sera révolu », a martelé le ministre. Malgré la douleur, il a demandé aux militants de ne pas baisser les bras. « Nous devons continuer la lutte pour la mémoire de nos martyrs », a-t-il conseillé ; puis il a poursuivi en ces termes : « je vous
demande dans cette épreuve de rester forts, de rester croyants, on ne vous abandonnera pas », rassure le ministre. Il a ensuite rendu visite aux différentes familles éplorées. Les parents de Koné Noha, Coulibaly Zana, Brou Anekou Christian, Koné Madou et Diomandé Mamadou ont reçu chacun la somme de 200 mille francs pour essuyer leurs larmes. Quant aux blessés et incarcérés, au nombre de 18, c'est la somme de 300 mille francs qui leur a été remise pour
leurs soins. La direction du Rdr n'a pas oublié les structures spécialisées telles que les jeunes et les femmes.
Alain Kpapo à Gagnoa
disparus et réconforter les blessés. « Le président Alasane Dramane Ouattara nous envoie vers vous pour vous dire « yako ». Il me charge de vous dire qu'il sera aux côtés des parents des victimes. On ne peut pas négliger nos militants.
Il me charge de vous dire que ces crimes ne resteront pas impunis ». Telle est la teneur du message que la direction du Rdr a apporté à ses militants. Pour le ministre Bakayoko, l'un des fondements de la crise en Côte d'Ivoire est l'impunité. Une pratique dont la fin est proche. « L'impunité est un leurre momentané, nous ne sommes plus loin du bout du tunnel », a-t-il exhorté son auditoire. Pour encrer ses propos dans la réalité, l'envoyé du Rdr a donné l'exemple de l'apartheid. Mandela à qui, il a fait allusion, a passé 27 ans en prison avant de voir ses efforts couronnés par la victoire de l'ANC.
Aujourd'hui, on parle de l'apartheid au passé, « un jour, c'est comme cela qu'on parlera de la refondation au passé parce que son temps sera révolu », a martelé le ministre. Malgré la douleur, il a demandé aux militants de ne pas baisser les bras. « Nous devons continuer la lutte pour la mémoire de nos martyrs », a-t-il conseillé ; puis il a poursuivi en ces termes : « je vous
demande dans cette épreuve de rester forts, de rester croyants, on ne vous abandonnera pas », rassure le ministre. Il a ensuite rendu visite aux différentes familles éplorées. Les parents de Koné Noha, Coulibaly Zana, Brou Anekou Christian, Koné Madou et Diomandé Mamadou ont reçu chacun la somme de 200 mille francs pour essuyer leurs larmes. Quant aux blessés et incarcérés, au nombre de 18, c'est la somme de 300 mille francs qui leur a été remise pour
leurs soins. La direction du Rdr n'a pas oublié les structures spécialisées telles que les jeunes et les femmes.
Alain Kpapo à Gagnoa